Nucléaire civil

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septembre 2024

Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche) a connu mercredi un "arrêt automatique" au lendemain de son démarrage, et les équipes d'EDF procèdent à des contrôles techniques et à des analyses avant de pouvoir relancer sa "divergence", c'est-à-dire la réaction nucléaire.
Au lendemain de son redémarrage, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville s'est arrêté automatiquement mercredi, a annoncé EDF, qui assure que cet arrêt est la preuve que "le système de sécurité fonctionne bien". Des contrôles sont en cours.
Viser l’allume. Le dernier né des réacteurs nucléaires français a (enfin) produit ses premiers électrons dans la nuit de lundi à mardi, mais le rythme de croisière est encore loin d’être atteint. En pleine relance de l’atome, ce chantier, qui continue d’être marqué par une interminable série de déboires techniques et financiers, est un symbole embarrassant.
Après 12 ans de retard, le premier réacteur français est inauguré ce 16 mai dans la Manche. S’il est dérivé d’une technologie qui équipe les 18 centrales nucléaires d’EDF, sa taille, ses équipements de sureté et sa puissance sont inédits.
Entre le début des travaux en 2007 à Flamanville et le chargement du combustible préalable au démarrage du réacteur prévu cet été par EDF, il se sera écoulé dix-sept ans… au lieu des cinq prévus à l’origine pour le construire.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a déclaré avoir évoqué la sécurité de la centrale nucléaire russe de Koursk avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi, en pleine incursion ukrainienne dans cette région russe. Kiev a lancé le 6 août une incursion sans précédent en territoire russe, dans la région de Koursk, déclenchant des combats à moins de 50 kilomètres de la centrale nucléaire.
L'EPR de Flamanville a « divergé » (opération qui initie la réaction en chaîne dans le cœur du réacteur) ce 3 septembre à 15h54. S'ensuivra un programme de tests qui doit permettre d'atteindre un niveau de puissance de 25%, palier à partir lors duquel l'EPR « sera connecté au réseau électrique national pour la première fois et produira alors de l'électricité », une échéance attendue « d'ici la fin de l'automne 2024 », indique EDF.
Nouveau retard pour l'EPR de Flamanville : EDF a annoncé lundi qu'il faudrait attendre trois mois supplémentaires pour voir son nouveau réacteur alimenter le réseau électrique, lequel ne recevra pas ses premiers électrons avant "la fin de l'automne", alors que l'électricien tablait jusqu'ici sur la fin de l'été.L'énergéticien a annoncé de manière concomitante avoir reçu le feu vert de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour lancer la production des premiers électrons de l'EPR, avec douze ans de retard sur le calendrier initial.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui a reçu lundi le feu vert pour commencer à produire ses premiers électrons, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -

août 2024

EDF a déposé vendredi sa demande d'autorisation pour procéder à la première "divergence", c'est-à-dire la première fission nucléaire, du réacteur EPR de Flamanville (Manche), a indiqué à l'AFP l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).L'ASN "a reçu aujourd'hui la demande d'EDF pour la divergence de l'EPR", a indiqué le gendarme du nucléaire, qui doit l'examiner "dans les prochains jours".
Le gouvernement suisse s'est dit mercredi favorable à un éventuel retour du nucléaire à long terme, face aux évolutions du marché de l'électricité et aux incertitudes géopolitiques.Les Suisses ont approuvé par référendum en 2017 la sortie progressive du nucléaire en votant une loi interdisant la construction de nouvelles centrales. Cette loi était alors le résultat d'un long processus engagé après l'accident nucléaire de Fukushima, provoqué par un gigantesque tsunami, en mars 2011, au Japon.
Dans le puits d’Asse II du côté de Bruswick (centre de l’Allemagne) du chlorure de potassium a été extrait et du sel gemme de 1916 à 1964. L’extraction de sel a cessé en 1964. En 1965, le gouvernement fédéral a acheté la mine abandonnée pour l’utiliser comme centre de stockage de déchets nucléaires. La suite ? Un désastre... Un laboratoire bidon pour des bidons réels Officiellement, il s’agissait seulement d’un essai (d’enfouissement irréversible de déchets nucléaires)
La prolongation du fonctionnement des réacteurs existants nucléaires? repousser la fin de vie a toujours un prix, et peut s’avérer être un jeu dangereux. Les réacteurs nucléaires français arriveront tous en fin de vie entre 2020 et 2040. À moins de miser sur la prolongation. Ce que EDF estime tout à fait jouable malgré des composants non-remplaçables, un vieillissement accéléré et l’apparition de phénomènes non anticipés.
La Chine poursuit sa course à l'atome à un rythme sans équivalent dans le monde et à un coût bien moins élevé qu'ailleurs, grâce à une industrie mature et un accès au capital privilégié, deux éléments dont le nucléaire français est pour l'instant dépourvu.Pékin a donné mardi le feu vert à 11 nouveaux réacteurs, pour un investissement de moins de 28 milliards d'euros, selon le média chinois Jiemian.En comparaison, le coût prévisionnel du programme de construction des six nouveaux réacteurs (EPR) commandés par l'Etat français est de 67,4 milliards d'euros, selon les Echos.
Vladimir Poutine a accusé jeudi l'Ukraine d'avoir tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, dans la région russe du même nom, en proie à une offensive d'ampleur des forces de Kiev depuis plus de deux semaines, sans toutefois présenter directement de preuves de ces allégations."L'ennemi a essayé de frapper la centrale nucléaire pendant la nuit", a affirmé le président russe au cours d'une réunion télévisée avec des membres de son gouvernement et les gouverneurs des régions frontalières de l'Ukraine.
Une chronique de Charles Cuvelliez, Ecole polytechnique de Bruxelles (ULB).
L’énergie nucléaire ne se développe jamais au grand jour. Elle s’est implantée progressivement dans de nombreux pays dans le monde, sans débats publics, à l’abri des discussions sur sa dangerosité, sur ses risques et sur la gestion à long terme des déchets radioactifs qu’elle génère.
La Chine a donné cette semaine le feu vert à 11 nouveaux réacteurs nucléaires répartis sur cinq sites, selon l'agence d'Etat Chine nouvelle, poursuivant ainsi ses efforts pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre.L'approbation a été donnée lundi lors d'une réunion du Conseil d'Etat (gouvernement) présidée par le Premier ministre Li Qiang, a précisé l'agence de presse officielle.
Pas défaitistes, les antinucléaires ! Face à la relance de l'atome, les opposants se sont retrouvés au festival Les Bure'lesques, dans la Meuse, pour imaginer un plan B et transmettre l'héritage de leur lutte aux jeunes.
Quelque 880 tonnes de débris hautement radioactifs se trouveraient encore à l’intérieur des réacteurs de la centrale, alors que les efforts visant à la déclasser ont commencé.

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