Nucléaire militaire

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Bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasakiwikipedia

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2024

La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont exhorté mardi l'Iran "à mettre immédiatement fin à son escalade nucléaire", selon les porte-paroles des trois ministères des Affaires étrangères, qui condamnent les mesures prises par Téhéran pour augmenter fortement le rythme de production d'uranium hautement enrichi.
À l’occasion de la cérémonie de remise du prix Nobel de la paix, Terumi Tanaka, survivant du bombardement atomique à Nagasaki en 1945, a livré un discours pour l’abolition de la bombe atomique. Le combat des survivants, appelés “hibakusha”, va se heurter au défi de leur disparition progressive : leur moyenne d’âge atteint 85 ans.
L'Iran a commencé à alimenter de nouvelles centrifugeuses qui vont lui permettre "d'augmenter fortement" son rythme de production d'uranium hautement enrichi, selon un rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique consulté par l'AFP vendredi.Ce changement au sein du site de Fordo aura comme effet "d'augmenter de manière significative le taux de production d'uranium enrichi jusqu'à 60%", selon le rapport de l'AIEA.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), chargée de surveiller le programme nucléaire iranien, a confirmé le projet de Téhéran destiné à enrichir de l’uranium à un faible niveau.
Récemment, la Chine et les États-Unis sont parvenus à un accord très important concernant l'arme nucléaire et l'intelligence artificielle.
Face au durcissement de la guerre en Ukraine, plusieurs pays recensent ou construisent leurs abris antinucléaires. Mais pas la France, qui compte sur la puissance de sa dissuasion.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
La Russie a toujours été prête à utiliser l'arme nucléaire. Depuis le premier jour de l'invasion de l'Ukraine jusqu'à aujourd'hui.
Le groupe communiste à l'Assemblée nationale a demandé mardi la relance d'une commission d'enquête sur les conséquences des essais nucléaires en Polynésie française, après qu'une précédente commission sur le même thème a vu ses travaux interrompus par la dissolution.
L'Iran a annoncé vendredi la mise en service de "nouvelles centrifugeuses avancées", en représailles à l'adoption d'une résolution critique à Vienne condamnant les activités nucléaires de Téhéran, pointé du doigt pour son manque de coopération.Un texte « politiquement motivé »Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé jeudi par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon des sources diplomatiques interrogées par l'AFP.
Alors que les tirs inédits de missiles balistiques par la Russie sur Dnipro représentent un seuil supplémentaire dans l’escalade, les pays occidentaux affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et poursuivront leur soutien à l'Ukraine.
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) examine jeudi une résolution admonestant l'Iran pour son manque de coopération sur le dossier nucléaire, avec le risque d'une riposte immédiate de Téhéran.Les Occidentaux persistent et signent: après déjà un rappel à l'ordre en juin, ils ont soumis un nouveau texte, mettant en avant l'absence d'avancées ces derniers mois.
Un programme nucléaire "troublant": les diplomates occidentaux ont dressé jeudi à Vienne un réquisitoire sévère contre l'Iran et fait adopter une nouvelle résolution critique, dénoncée par Téhéran comme "politiquement motivée".Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), ont indiqué à l'AFP des sources diplomatiques.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a salué mercredi un engagement "concret" de l'Iran, après la mise en place par Téhéran de mesures pour stopper l'expansion de son stock d'uranium hautement enrichi. «»"Je pense que c'est un pas concret dans la bonne direction", et ce "pour la première fois", a-t-il déclaré devant la presse, au premier jour du Conseil des gouverneurs de l'instance onusienne, à Vienne.
Le président russe Vladimir Poutine a signé un décret élargissant les possibilités de recours à l'arme nucléaire. Le document a été publié, rapporte mardi l'agence Tass.
Le chef de la diplomatie russe a promis mardi une réponse "appropriée" aux tirs ukrainiens de missiles américains ATACMS contre la Russie, dénonçant l'implication des Etats-Unis dans ces frappes et y voyant une "nouvelle phase" dans le conflit.
Les frappes aériennes menées par Israël fin octobre contre l'Iran ont touché "un élément du programme nucléaire" de la République islamique, a déclaré lundi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. "Ce n'est pas un secret, ça été publié, un élément du programme nucléaire a été touché dans cette attaque mais le programme en soi et sa capacité à fonctionner n'ont pas encore été éliminés", a dit à la Knesset (Parlement) M. Netanyahu, dont le pays est considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, s'est rendu vendredi sur deux importants sites nucléaires en Iran, au moment où Téhéran affirme vouloir lever "doutes et ambiguïtés" sur son programme controversé.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a été reçu jeudi à Téhéran par le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, au moment où la montée en puissance du programme nucléaire de l'Iran cristallise les tensions avec les pays occidentaux. Abbas Araghchi était en 2015 le négociateur en chef côté iranien des pourparlers sur le nucléaire avec les grandes puissances.

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