Nucléaire militaire

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Une arme nucléaire est une arme non conventionnelle qui utilise l’énergie dégagée par la fission de noyaux atomiques lourds (uranium, plutonium dans le cas de la bombe A), ou par une combinaison de ce phénomène avec celui de la fusion de noyaux légers (hydrogène dans le cas des bombes H). L’énergie libérée par l’explosion s’exprime par son équivalent en TNT. Source : wikipedia

Bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasakiwikipedia

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2025

La surprise est restée en travers de la gorge des diplomates. Début avril, Donald Trump a pris tout le monde de court en annonçant la reprise de négociations entre Téhéran et Washington en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien, sept ans après avoir dénoncé le compromis précédent, lors de son premier mandat. Sur ce dossier, une quatrième rencontre était prévue à Rome, samedi 3 mai - avant d’être reportée mercredi - mais personne ne comprend, dans les capitales européennes comme à Téhéran, où veulent en venir les Etats-Unis. Ni quelle est vraiment l’équipe qui doit mener les pourparlers, en dehors de l’incontournable envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, un novice en diplomatie.
Ces négociations indirectes sont conduites, samedi, par le ministre des affaires étrangères iranien, Abbas Araghtchi, et par l’émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.
Il s’agit toujours de s’assurer que l’Iran, en violation de ses engagements, ne se dote pas de l’arme nucléaire. Courant mars, Trump a écrit à Ali Khamenei, le chef de la République islamique, qui lui a répondu. On ignore les formules de politesse utilisées : cher Guide, cher président ? Des négociations ont repris en avril. Américains et Iraniens ont déjà tenu deux séances de pourparlers, à Oman puis à Rome, pilotés par l’envoyé spécial de la Maison Blanche, le polyvalent Steve Witkoff, et le ministre des affaires étrangères iranien, Abbas Araghchi.
Que contient exactement cet arsenal nucléaire ? Où se trouvent ces armes ? Et comment sont-elles déployées ?
L'Iran n'est "pas loin" de disposer de la bombe atomique, a averti le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), avant son arrivée mercredi après-midi à Téhéran pour des discussions sur le nucléaire.
Selon le chef de l'Alliance atlantique, le développement de ces armes antisatellites est très préoccupant. La destruction de satellites provoquerait en effet le chaos sur Terre, de nombreux systèmes dépendant d'eux pour leur fonctionnement. Cela affecterait non seulement le domaine commercial, mais aussi la défense et donc la sécurité de manière générale, a précisé Mark Rutte.
Dans un monde où les menaces liées aux missiles balistiques, hypersoniques et nucléaires sont de plus en plus pressantes, les États-Unis envisagent un projet audacieux qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction : un système de défense spatial capable d’intercepter et de neutraliser ces armes avant qu’elles ne franchissent les frontières de la Terre.
Le président américain Donald Trump, qui s'était retiré avec fracas en 2018 de l'accord sur le nucléaire iranien, veut désormais relancer les discussions avec Téhéran. Entretemps, l'Iran a considérablement fait monter en puissance son programme. Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, soupçonnent depuis très longtemps le pays de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Des allégations rejetées par la République islamique qui défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie.
Les États-Unis viennent de franchir une nouvelle étape dans la modernisation de leur arsenal nucléaire. La bombe à gravité B61-13, une arme de dernière génération, est entrée en production complète sept mois plus tôt que prévu. Développée pour s’adapter aux défis stratégiques du 21e siècle, cette bombe possède une puissance dévastatrice et des technologies avancées.
L'Iran ne cherche pas à se doter de l'arme nucléaire mais "n'aura d'autre choix que de le faire" en cas d'attaque contre le pays, a mis en garde lundi soir Téhéran, après des menaces du président américain Donald Trump.
Les armes nucléaires ont marqué un tournant dans l’histoire militaire, mais leur fabrication reste un défi. Voici pourquoi.
Si le “grand frère” américain retire sa protection, l’Union européenne peut-elle compter sur la France, son seul membre doté de l’arme atomique ? Non, estime Bart De Wever, qui veut faire de l’UE une puissance nucléaire. La presse flamande s’inquiète.
Désarmement: UBS critiquée pour son financement d'armes nucléaires
La hausse du nombre d’armes nucléaires chinoises suscite des inquiétudes croissantes sur la scène internationale. Selon un rapport du Nuclear Notebook publié par la Fédération des scientifiques américains, la Chine posséderait environ 600 ogives et poursuivrait une expansion rapide qui fait d’elle la puissance nucléaire à la croissance la plus rapide parmi les neuf États dotés de l’arme atomique.
L'Iran, la Chine et la Russie ont entamé vendredi à Pékin des discussions à haut niveau sur le nucléaire iranien, sur fond d'intense activité diplomatique des grandes puissances afin d'espérer raviver l'accord international de 2015.Ces échanges interviennent au moment où le président américain Donald Trump, qui avait retiré avec fracas les Etats-Unis de l'accord en 2018 durant son premier mandat, s'est dit ouvert au dialogue avec Téhéran depuis son retour au pouvoir en janvier.
La Chine, l'Iran et la Russie ont appelé vendredi à lever les sanctions visant Téhéran, lors de discussions tripartites à Pékin dans un contexte de forte pression de Washington sur le nucléaire iranien.Ces échanges à haut niveau se tiennent dans la capitale chinoise en pleine effervescence diplomatique, les grandes puissances espérant raviver l'accord international de 2015.
L'Iran a répété lundi qu'il ne négociera pas "sous la pression et l'intimidation" sur son programme nucléaire, après l'annulation par Washington d'une dérogation aux sanctions qui permettait à l'Irak d'acheter de l'électricité à son voisin. Les États-Unis ont confirmé dimanche qu'ils n'avaient pas renouvelé cette dérogation accordée à Bagdad depuis 2018. Il s'agit de "s'assurer que nous ne permettions pas à l'Iran de bénéficier d'un quelconque allègement économique ou financier", a indiqué le département d'Etat dans un communiqué.
Le visage de Stanislav Petrov ne vous dit certainement rien. Pourtant, il a sauvé le monde. Comment ? En ne faisant rien. Dans le cadre de son dossier "Il était une fois", La Libre revient sur l'histoire de cet officier soviétique et sur la nuit où le continent européen a frôlé la Troisième Guerre mondiale.
Préoccupé par l'agression russe et les actes et affirmations de Donald Trump, c'est un Donald Tusk inquiet qui affirme que la Pologne se penche sur la question des armes nucléaires.
Dans un discours au ton grave, le président français a promis mercredi soir un “débat stratégique” sur la protection des alliés européens par la dissuasion nucléaire de la France. Face à un contexte géopolitique instable, le chef de l’État a cherché à la fois à alerter les Français tout en les rassurant, note la presse européenne.
Les stocks d'armes nucléaires à travers le monde continuent d'augmenter, mais combien y en a-t-il, concrètement ?
Le président français Emmanuel Macron a relancé, samedi, le débat sur un parapluie nucléaire européen, se disant prêt à "ouvrir la discussion" afin de compenser un éventuel désengagement américain.
L'Iran a augmenté de manière "très préoccupante" ses réserves d'uranium enrichi à 60%, seuil proche des 90% nécessaires pour fabriquer une arme nucléaire, selon un rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) consulté par l'AFP mercredi.Le total s'élevait à 274,8 kg à la date du 8 février (contre 182,3 kg trois mois auparavant), ce qui marque une nette accélération du rythme de production.
Suite aux récentes déclarations américaines, les Européens tentent d'assurer leur protection militaire.
OpenAI a conclu un accord avec le gouvernement américain pour l’utilisation de ses derniers modèles d’IA dans les laboratoires nationaux de recherche scientifique et pour la sécurité des armes nucléaires.
Des images satellite obtenues par Reuters montrent pour la première fois ce qui ressemble à un gigantesque laboratoire chinois de recherche nucléaire. Sa spécialité : permettre à la fois de rechercher le "Saint Graal" des énergies renouvelables et aider à faire des simulations d’essais sur les armes nucléaires.
Un satellite espion américain a récemment révélé la construction d’une gigantesque installation de fusion laser en Chine.
Shigemitsu TANAKA est un survivant de Nagasaki et coprésident de Nihon Hidankyo (Confédération japonaise des organisations de victimes des bombes A et H), une organisation qui a reçu le prix Nobel de la paix 2024 en décembre dernier. Lors de son voyage en Espagne, il a tenu à raconter son expérience de victime et de survivant de la bombe nucléaire que les États-Unis ont larguée sur sa ville, afin que plus jamais l’histoire ne se répète.
Le Kremlin appelle ce vendredi les Etats-Unis à engager des négociations de désarmement nucléaire "au plus vite", quelques jours après le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.

2024

La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont exhorté mardi l'Iran "à mettre immédiatement fin à son escalade nucléaire", selon les porte-paroles des trois ministères des Affaires étrangères, qui condamnent les mesures prises par Téhéran pour augmenter fortement le rythme de production d'uranium hautement enrichi.
À l’occasion de la cérémonie de remise du prix Nobel de la paix, Terumi Tanaka, survivant du bombardement atomique à Nagasaki en 1945, a livré un discours pour l’abolition de la bombe atomique. Le combat des survivants, appelés “hibakusha”, va se heurter au défi de leur disparition progressive : leur moyenne d’âge atteint 85 ans.
L'Iran a commencé à alimenter de nouvelles centrifugeuses qui vont lui permettre "d'augmenter fortement" son rythme de production d'uranium hautement enrichi, selon un rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique consulté par l'AFP vendredi.Ce changement au sein du site de Fordo aura comme effet "d'augmenter de manière significative le taux de production d'uranium enrichi jusqu'à 60%", selon le rapport de l'AIEA.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), chargée de surveiller le programme nucléaire iranien, a confirmé le projet de Téhéran destiné à enrichir de l’uranium à un faible niveau.
Récemment, la Chine et les États-Unis sont parvenus à un accord très important concernant l'arme nucléaire et l'intelligence artificielle.
Face au durcissement de la guerre en Ukraine, plusieurs pays recensent ou construisent leurs abris antinucléaires. Mais pas la France, qui compte sur la puissance de sa dissuasion.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
La Russie a toujours été prête à utiliser l'arme nucléaire. Depuis le premier jour de l'invasion de l'Ukraine jusqu'à aujourd'hui.
Le groupe communiste à l'Assemblée nationale a demandé mardi la relance d'une commission d'enquête sur les conséquences des essais nucléaires en Polynésie française, après qu'une précédente commission sur le même thème a vu ses travaux interrompus par la dissolution.
L'Iran a annoncé vendredi la mise en service de "nouvelles centrifugeuses avancées", en représailles à l'adoption d'une résolution critique à Vienne condamnant les activités nucléaires de Téhéran, pointé du doigt pour son manque de coopération.Un texte « politiquement motivé »Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé jeudi par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon des sources diplomatiques interrogées par l'AFP.