Les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (SPFA), plus connues sous le nom « PFAS » (de l’anglais per- and polyfluoroalkyl substances), également appelées polluants éternels du fait de leur persistance dans l’environnement1, autrefois aussi dénommées composés perfluorés, sont des composés organofluorés synthétiques comportant un ou plusieurs groupes fonctionnelsalkyle per- ou polyfluorés. Elles contiennent au moins un groupement perfluoroalkyle –CnF2n–2,3. Il existe probablement entre six et sept millions de PFAS4. Source : wikipedia
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Ces organismes hypothétiques pourraient-ils ravager le monde si les biologistes parvenaient à les créer ? Faut-il interdire absolument toute recherche en ce sens ? Un collectif de trente-huit scientifiques a appelé à un débat mondial dans le journal « Science ». Revue de détail d’un scénario apocalyptique.
L’intellectuel américain, qui a notamment travaillé sur la science nazie, voit dans l’attaque de l’administration Trump contre le monde de la recherche une manifestation du nationalisme chrétien.
il y avait, dans l’archipel, environ 70 espèces d’oiseaux endémiques, autrement dit n’existant nulle part ailleurs. Le résultat d’une unique et mystérieuse arrivée de volatiles, il y a 3,5 à 5 millions d’années, suivie d’une formidable explosion de biodiversité. Il en reste aujourd’hui 21, dont onze sont classées en grand danger par l’UICN et sept autres, vulnérables.