« La production effrénée de plastiques engendre une pollution aux impacts croissants, qui entraînera des coûts considérables à mesure que les crises qu’elle suscite se multiplieront. En ce qui concerne la crise climatique, l’industrie plastique est responsable de 5,3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (chiffres de 2019). Si rien ne change, ces émissions pourraient doubler, voire tripler d’ici 2050. »
Source : The Conversation
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plastique micro
2024
Microplastics are ubiquitous environmental contaminants for which there are documented human exposures, but there is a paucity of research evaluating their impacts on human health. We conducted a rapid systematic review using the “Navigation Guide” systematic review method. We searched four databases in July 2022 and April 2024 with no restriction on the date.
L’addiction de nos sociétés vis-à-vis du plastique ne se dément pas. Or, les preuves de la toxicité de ce matériau, auquel il est désormais impossible d’échapper, s’accumulent depuis quelques années.
L’association Expédition MED alerte sur la hausse notable de la pollution plastique dans cette mer semi-fermée, qui s’accumule notamment entre la Corse et l’île toscane de Capraia
Une étude de la VUB chiffre pour la première fois les concentrations de ce polluant dans la Senne, le canal, les égouts. En tête des microplastiques les plus fréquemment retrouvés ? Les fibres textiles.
Ces petites particules de plastique, avec leurs milliers d'additifs, peuvent engendrer des inflammations, perturber la réponse immunitaire ou encore le système endocrinien. Si les mécanismes précis demeurent flous, les connaissances progressent.
Une étude à partir des bulbes olfactifs de 15 personnes décédées montre que des microplastiques peuvent y être détectés, suggérant une voie potentielle de translocation des microplastiques vers le cerveau.
Une étude révèle que les microplastiques s’accumulant dans l’atmosphère pourraient avoir un impact sur les régimes de précipitation et le climat global.
Alors que les représentants de près de 200 pays se réunissent en Colombie cette semaine pour discuter de la mise en œuvre d'un pacte mondial visant à inverser la perte de biodiversité, une autre menace environnementale majeure, la pollution plastique, est au centre d'un autre sommet de l'ONU.
Peu connue, la pollution des sols par les microplastiques est en fait importante. Elle a des effets négatifs sur les petits habitants du sol, sur les cultures mais aussi sur les volailles. Le site “Chemistry World” fait le point.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques ont fait une découverte choquante : pour la première fois au monde, des microplastiques ont été retrouvés dans la respiration des dauphins.
L’accumulation de nano- et microplastiques dans les organismes marins, notamment les poissons, se reflète dans nos assiettes. Avec quels dangers pour la santé ?
De nouvelles études montrent la présence de microplastiques dans les pénis et cerveaux humains. Si ces résultats, encore isolés, font débat dans la communauté scientifique, notre contamination aux plastiques inquiète unanimement.
Les micro et nanoplastiques envahissent notre environnement et notre corps, mais une nouvelle technologie portable développée par des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique permet enfin de les détecter rapidement et à faible coût. Un outil indispensable pour protéger notre santé et nos écosystèmes. Les micro- et nanoplastiques sont partout : dans nos aliments, notre …
Une étude publiée ce lundi dans le «Journal of the American Medical Association» par des chercheurs brésiliens assure que des particules et fibres de plastiques peuvent gagner le cerveau via les cavités nasales.
Nous sommes exposés à des pollutions invisibles au quotidien, mais savons-nous vraiment ce qui entre dans nos corps ? De l'air que nous respirons aux produits que nous consommons, ces toxines invisibles envahissent notre organisme et affectent notre santé. Dans cette vidéo, découvrez les sources cachées de cette pollution et ce que vous pouvez faire pour vous protéger. Préparez-vous à être choqué par ce que vous allez apprendre !
Après le cœur, les poumons, la moelle osseuse, les testicules ou encore le sperme, ils se répandent maintenant dans notre cerveau. Et c'est un problème.
Selon une étude menée en 2021 et en 2022, la pollution des plages autour du plus grand lac d’Europe occidentale est «préoccupante», révélant une moyenne de 7 600 particules de microplastiques par mètre carré.
Microplastics and nanoplastics may be present in food, primarily from environmental contamination where foods are grown or raised.
Omniprésents dans l'environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l'organisme des poissons, jusqu'à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne publiée mercredi et réalisée près de Toronto.
Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.
Une étude a récemment démontré la présence de microplastiques dans le pénis humain. Plusieurs chercheurs se demandent aujourd’hui si cette problématique pourrait causer des problèmes érectiles et reproducteurs.
The contaminants have also recently been found in testes and semen amid concerns about falling male fertility
Des chercheurs de l'université américaine de Cornell ont étudié l'exposition aux microplastiques pour les habitants des 109 pays les plus développés et industrialisés.
D’importantes quantités de microplastiques ont été détectées dans les testicules de tous les sujets testés dans le cadre d'une récente étude. Ces particules seraient impliquées dans la baisse de la qualité des spermatozoïdes et de la fonction testiculaire globale.
Des microplastiques viennent d’être découverts dans des testicules. Cette pollution pourrait participer au déclin mondial de la fertilité. Explications.
Des microplastiques dans notre eau de bouteille. Et donc dans notre corps. C’est l’une des dernières alertes qui a retenti dans les médias. Le plastique est nocif pour notre planète et pour notre santé. On le sait, et pourtant sa production continue à augmenter. 174 pays négocient en ce moment à Ottawa (Canada) pour mettre le holà, via un traité international contraignant visant à réduire la pollution plastique. En principe, du moins.
Suite à cette étude sur l'impact des microplastiques sur le système digestif, les chercheurs ont tiré la sonnette d'alarme.
Tombés du ciel ou charriés par les écoulements, les micro-plastiques, déchets minuscules de moins de cinq millimètres,...
À Écaussinnes, en Belgique, les microbilles de plastique de l’usine TotalÉnergies Petrochemicals s’éparpillent partout. Pour lutter contre cette pollution, des députés européens aimeraient un règlement.
Microplastics and nanoplastics (MNPs) are emerging as a potential risk factor for cardiovascular disease in preclinical studies. Direct evidence that this risk extends to humans is lacking.
Des chercheurs de l’université Jinan, en Chine, viennent de montrer qu’en chauffant l’eau jusqu’à ébullition pendant cinq minutes, les microplastiques qu’elle contient disparaissent.
L’analyse la plus étendue à ce jour des concentrations de microplastiques dans le placenta humain révèle des résultats inquiétants : tous les placentas testés présentaient des concentrations élevées de particules plastiques.
Scientists express concern over health impacts, with another study finding particles in arteries
Les microplastiques sont partout, dans tous les environnements du globe. De cette triste réalité, les scientifiques ont voulu tirer profit, en les utilisant comme marqueur temporel pour dater les séries géologiques et notamment le début de l’Anthropocène. Problème : ces minuscules particules semblent avoir la capacité de migrer à travers des couches géologiques plus anciennes !
Depuis décembre, les plages galiciennes sont envahies par des millions de microbilles. Un désastre qui inquiète écologistes comme pêcheurs, qui tentent d’organiser le nettoyage du littoral et déplorent l’inaction politique.
Une nouvelle technique de microscopie permet de détecter la présence de nanoplastiques dans l’eau. Or, l'eau en bouteille contient également.
La pollution plastique est partout, dans l'eau, les crevettes, nos maisons, et nos organismes. « Aucun être vivant n'a les outils biologiques pour digérer ce plastique, le dégrader complètement », alerte la chercheuse Nathalie Gontard. Mais des alternatives existent. Interview.
Une marée de granulés en plastique s’abat sur les plages du nord de l’Espagne. Des centaines de milliers de microbilles de la taille de lentilles ont recouvert des plages de Galice, des Asturies et de la Cantabrie après la perte d’un conteneur par un navire marchand.
Une nouvelle étude montre que les taux de pollution aux micro-plastiques sont 100 à 1000 fois plus élevés qu’on ne le pensait jusque là. Des résultats qui tranchent avec l'image d'un produit pur et sain véhiculé par les industriels.
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.
2023
Désormais omniprésents sur Terre, les microplastiques ont récemment fait l'objet d'une étude concernant leur possible lien avec les ouragans. Selon les résultats, les océans ne sont pas nécessairement une destination finale pour les microplastiques.
Les microplastiques ont envahi divers environnements. Or, une étude suggère qu'ils pourraient même influencer la météo.
Il sera bientôt impossible d’acheter des paillettes libres ou des produits contenant des microbilles. Une mesure de la Commission européenne, entrée en vigueur le 17 octobre, interdit la vente de ces microparticules de plastique et prévoit le retrait progressif de tous les produits en contenant d’ici 12 ans. L’objectif, lutter contre cette source de pollution, dangereuse pour la faune et la santé humaine.
Des chercheurs au Japon ont confirmé avoir trouvé des microplastiques dans les nuages, et leur présence pourrait modifier le climat de façons encore mal comprises.
La Commission européenne a adopté de nouvelles règles qui empêcheront le rejet dans l'environnement d'environ un demi-million de tonnes de microplastiques, a-t-elle annoncé lundi.
Une nouvelle étude montre une fois de plus que les microplastiques peuvent infiltrer presque tous nos organes, y compris le cerveau. Cependant, les résultats, issus d’expériences sur des souris, montrent en plus de cela que leur ingestion induit des changements de comportement comparables à la démence et qui s’aggravant avec l’âge. Ainsi, les microplastiques pourraient potentiellement être impliqués dans la pathogenèse de maladies neurodégénératives telles qu’Alzheimer.
Selon une nouvelle étude, nous accumulons chaque semaine l'équivalent d'une carte de crédit de microplastiques provenant principalement de l'air et de l'eau. L'étude révèle aussi que ces derniers ont tendance à s’accumuler dans la cavité nasale et à l’arrière de la gorge.
Une fondation australienne a récemment dévoilé une plateforme informant de la « météo du plastique » dans la ville de Paris. L’objectif de ce site est d’alerter la population à propos de ce problème récurrent à l’occasion des actuels pourparlers concernant un Traité international sur les pollutions plastiques.
Températures, couverture nuageuse et pluie… de plastique. Voilà les prévisions données par "The plastic forecast", un nouveau genre de bulletin lancé par la Fondation Minderoo pour alerter sur la pollution liée à notre consommation de plastique. Une météo pour l’instant disponible uniquement pour Paris, où se déroulent jusqu’au vendredi 2 juin les négociations pour un Traité international sur les pollutions plastiques.
La fondation australienne Minderoo et son camion sont dans les rues de Paris pour une semaine afin de mesurer les précipitations de particules microplastiques. L'objectif : faire prendre conscience de cette pollution presque invisible avec des estimations chiffrées.
L’identification de nouvelles souches de bactéries et de champignons adaptés au froid permettrait, si elle est développée à l’échelle industrielle, d’économiser de l’argent et de l’énergie pour le recyclage du plastique.
Des microplastiques, il y en a partout. Ce n’est malheureusement presque plus une surprise d’en trouver dans des endroits retirés. Mais ceux que des chercheurs viennent de trouver au cœur d’agrégats d’algues du côté de l’Arctique les inquiètent encore un peu plus.
Protégée (à première vue) de la pollution humaine, elle est la seule source de nourriture pour une grande faune présente dans les régions arctiques. Maillon central de l’écosystème marin arctique, cette algue est au commencement de la chaîne alimentaire. Mais en étudiant ces algues de plus près, les scientifiques ont fait une découverte inquiétante. Ils viennent de publier leurs conclusions dans la revue Environmental Science and Technology. Selon cette étude, la concentration en microplastique est bien plus importante au cœur des algues que dans l’eau de mer environnante.
Ce type d’agglomérat pourrait contribuer à diffuser des microplastiques dans l’environnement, alertent les chercheurs à l’origine de cette découverte.
Ce que nous voyons dans les océans en terme de pollution aux microplastiques "n'est que la pointe de l’iceberg", explique à l'AFP le professeur Richard Thompson, spécialiste de cette pollution et directeur de l'Institut marin et de l’École des sciences biologiques et marines à l’université de Plymouth (sud de l’Angleterre). QUESTION: Qu’est-ce qu’un nurdle, à quoi ça sert et pourquoi les trouve-t-on dans l’environnement ? "Un nurdle est un type de microplastique qui ressemble à une lentille
Microplastic pollution reduces energy production in a microscopic creature found in freshwater worldwide, new research shows. Paramecium bursaria contain algae that live inside their cells and provide energy by photosynthesis. The results of a NEW STUDY showed a 50% decline in net photosynthesis—a major impact on the algae's ability to produce energy and release oxygen
Ce n’est pas demain que les microplastiques dans les cosmétiques et autres produits industriels disparaîtront. Le 1er mars, le comité d’experts européen qui devait décider dans le cadre du règlement Reach de restreindre ces microplastiques « ajoutés intentionnellement » a reporté son vote. « Plus tôt une restriction complète des microplastiques sera adoptée, sans détour ni délai, mieux ce sera », a réagi dans un communiqué l’alliance Rethink Plastic, qui regroupe une vingtaine d’associations environnementales (...)
La proposition de loi devait être votée ce mercredi mais a encore été repoussée.
Récemment, une nouvelle solution a fait son apparition en Corée du Sud et pourrait tout changer concernant la dépollution des océans.
2022
Bien que le plancher océanique soit considéré comme le puits final des microplastiques flottant à la surface de la mer, l’évolution historique de cette source de pollution dans le compartiment sédimentaire, et en particulier le taux de séquestration et d’enfouissement des plus petits microplastiques sur le plancher océanique, est inconnu. Cette nouvelle étude, publiée dans la revue Environmental Science and Technology, montre que les microplastiques sont conservés sans altération dans les sédiments marins, et que la masse de microplastiques séquestrée dans les fonds marins imite la production mondiale de plastique de 1965 à 2016.
Une nouvelle étude sur la pollution atmosphérique révèle que les microplastiques seraient présents en grande quantité dans l’air que nous respirons. Leur quantité serait sous-estimée depuis bien longtemps...
Un cadavre dans le placard. T-shirt, boxer, pantalon, veste, collant ou maillot de foot… Dans lequel de nos vêtements enfilés à la hâte ce matin n’y a-t-il aucune fibre synthétique ? Un rapport, publié ce mercredi par la fondation Changing Markets (CMF) et l’ONG française No Plastic in my Sea, pointe une nouvelle fois le fait que notre garde-robe est remplie de pétrole et de micro-plastiques.
La preuve scientifique d’un risque sanitaire ou environnemental lié aux microplastiques n’est, aujourd’hui, pas établie. Pourtant, le traitement médiatique de ce sujet suggérerait l’inverse. D’après les chercheurs, l’écho donné à leurs travaux témoigne d’abord d’une montée en puissance de notre conscience environnementale.
En filtrant des grandes quantités d’eau, certains cétacés sont particulièrement exposés aux microplastiques. Une nouvelle étude évalue à 10 millions les bouts de microplastiques ingérés chaque jour par les baleines bleues.
Filter-feeding whales are consuming millions of particles of microplastic pollution a day, according to a study, making them the largest consumers of plastic waste on the planet. The central estimate for blue whales was 10m pieces a day, meaning more than 1bn pieces could be ingested over a three- to four-month feeding season. The weight of plastic consumed over the season was estimated at between 230kg and 4 tonnes.
chaque année, 2 à 23 fois plus de plastiques finissent dans le sol que dans les océans.. C’est du moins ce qui ressort des calculs effectués dans cette nouvelle étude. Les plastiques peuvent pénétrer dans le sol par le biais des boues d’épuration, de la fertilisation des engrais organiques, de l’élimination des effluents d’eaux usées et/ou du paillage plastique, et des dépôts atmosphériques.
Un rapport d’analyse publié par l’association Agir pour l’environnement, le 21 juillet, révèle que sur neuf bouteilles d’eau les plus vendues en France [1], sept contiennent des microplastiques.
Des analyses commandées par l’association Agir pour l’environnement révèlent l’existence de micro plastiques dans 7 bouteilles d’eau sur 9. L’ONG demande l’interdiction de ces contenants pour la fin du quinquennat.
Du fonds des océans aux sommets des montagnes, les microplastiques sont partout dans l'environnement mais pas seulement. Ils se fraient aussi un chemin dans le corps humain, des poumons au placenta. Une contamination qui dérange même si son impact est incertain.
Du fonds des océans aux sommets des montagnes, les microplastiques sont partout dans l'environnement, mais pas seulement. Ils se fraient aussi un chemin dans le corps humain, des poumons au placenta, une contamination qui dérange même si son impact est incertain.
Cet allié à huit pattes pourrait aider à traquer ces polluants dans l’air ambiant, comme l’ont montré des chercheuses de l’université d’Oldenbourg en Allemagne.
When more than one type of pollution gets wrapped up in the same space, the result can be pretty darn yucky—not to mention dangerous. And the gobs scientists discovered recently on the beaches of the typically picturesque Canary Islands certainly fits the bill.
Pour la première fois, des travaux ont signalé la présence de microplastiques dans la couche de neige du continent le plus isolé et le plus inhospitalier du monde, l’Antarctique. Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique The Cryosphere le 8 juin dernier. La découverte a été faite suite à l’analyse d’échantillons de neige prélevés en 2019 par une doctorante de l’Université de Canterbury (Nouvelle-Zélande) au niveau de la barrière de glace de Ross. « Lorsqu’Alex s’est rendue en Antarctique en 2019, nous étions optimistes sur le fait qu’elle ne trouverait pas de microplastiques dans un endroit aussi vierge et éloigné », relate Laura E. Revell, coauteure de l’étude.
En mars 2022, des scientifiques ont confirmé pour la première fois avoir trouvé des microplastiques dans le sang humain. Ces minuscules fragments se trouvaient dans 80 % des 22 personnes testées - qui étaient des membres ordinaires et anonymes du public. L'échantillon était de petite taille et il n'y a pas encore eu de confirmation explicite que leur présence cause un préjudice direct à la santé humaine, mais avec plus d’études, le temps le dira. Les microplastiques font l'objet d'un examen approfondi. Partout où nous les cherchons, nous les trouvons.
Le sujet est sur (presque) toutes les lèvres et défraie de plus en plus la chronique. Le micro plastique est partout. Mais quels sont ses effets sur l’environnement et notre santé ? Le problème devient de plus en plus sérieux…
Microplastics are deposited in river floodplains and carried down to deeper levels, according to a study published in the journal Science of the Total Environment. Local topography, frequency of floods, and soil characteristics can affect the amount of plastic particles that are deposited and potentially carried into deeper soil.
Selon une étude, des agents pathogènes seraient capables de voyager de la terre ferme vers les mers à l’aide des particules plastiques. Or, les chercheurs estiment que cela peut avoir des conséquences à la fois sur la santé humaine et l’environnement.
La pollution par les déchets plastiques est un véritable fléau mondial. Alors que la production mondiale des plastiques est allée croissant (380 millions de tonnes en 2019) [1], en l’absence d’un recyclage efficace des déchets plastiques (emballages, bouteilles, matériaux de construction, etc.), ceux-ci s’accumulent dans des décharges ou sont déversés dans les océans où soit ils flottent en surface, soit ils sont ingérés par des poissons et des oiseaux (lorsqu’il s’agit de microdéchets), et le plus souvent se déposent sur des rivages [2]. Il s’avère aussi que des chercheurs de l’université libre d’Amsterdam ont mis en évidence, récemment, la présence de microplastique dans le sang d’une vingtaine de personnes en bonne santé…
La communauté scientifique ne s'accorde pas quant à la nocivité des microplastiques pour la santé des humains et des animaux mais, selon certains chercheurs, nous devrions faire preuve de prudence.
The term 'microplastic' was coined just 18 years ago, but already they seem to be just about everywhere. Each year, the average human consumes an estimated 74,000 particles of plastic with unknown health effects. In March of this year, scientists announced they'd found microplastics flowing through our very veins.
Il y a moins d'un mois, des microplastiques étaient détectés pour la première fois dans le sang humain, démontrant la capacité de déplacement de ces particules. Cette fois, c'est dans des poumons que la pollution a été constatée.
Une nouvelle méthode de détection a permis de trouver des microplastiques dans l'organisme de volontaires. Ces résultats sont inquiétants
Grâce aux filtres à microparticules installés sur un monocoque du dernier Vendée Globe, les scientifiques attendaient une photographie unique de la pollution plastique de zones reculées. Mais ce sont surtout des… fibres de coton qu’ils ont récoltées, autre preuve de l’impact des humains sur les océans.
L’étude des données scientifiques collectées pendant le Vendée Globe par le skipper Fabrice Amedeo ont été analysées et le résultat de ces analyses est très surprenant : les eaux de surface de l’océan Atlantique sont deux fois plus polluées par les fibres de cellulose que par les microplastiques. Et l’Atlantique Nord est plus pollué que l’Atlantique Sud... qui, lui, l’est moins que ce qu’on craignait.
Déjà présentes en quantité dans notre atmosphère, ces particules ont été détectées pour la première fois dans notre sang par une équipe de chercheurs néerlandais.
On savait qu’ils étaient déjà présents dans nos organes. Mais ces minuscules bouts de plastique, qu’on ingère ou qu’on respire, circulent aussi dans nos veines, d’après une nouvelle étude. Les conséquences sur la santé doivent encore être examinées.
Des travaux menés en Suisse révèlent que la peinture industrielle se retrouve en grande quantité sous forme de microparticules de plastique dans les mers. Une pollution connue mais sous-estimée jusque-là.
Les microplastiques, polluants déjà retrouvés sur l'Everest, en Arctique ou au milieu des océans, peuvent être transportés entre les continents par des vents en altitude, met en évidence une étude publiée dans la revue Nature Communications.
2021
Wie denkt door zelf geen plastic te gebruiken of ver weg van deze afval in de natuur te wonen, veilig te zijn van deze vervuiling, vergist zich. Dit is een probleem voor de hele mensheid, overal op aarde. Wetenschappers hebben vastgesteld dat microplastics uit Afrika en Noord-Afrika door de lucht tot in de Pyreneeën neerdwarrelen.
Des sommets aux profondeurs. Après les microplastiques découverts mardi sur le Pic du Midi, dans les Pyrénées, voilà ces minuscules particules détectées dans nos selles. Et particulièrement lorsque l’on est atteint de troubles intestinaux. Comme le révèle le Guardian, une étude publiée dans la revue Environmental Science & Technology montre que les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin (MII) présentent 50% de microplastiques en plus dans leurs selles.
Transportés par des masses d’air, les polluants prélevés à l’observatoire du pic du Midi proviennent notamment du nord-ouest du continent africain, en passant au-dessus de la Méditerranée, d’Amérique du Nord ou de l’océan Atlantique.
Des minuscules particules ont été détectées sur le Pic du Midi, révèle une étude parue ce mardi. Une découverte «surprenante dans un endroit isolé des sources de pollution», pointent les chercheurs, même si le risque pour la santé est limité étant donné les faibles quantités relevées.
Une étude française, publiée mardi, révèle la présence de microplastiques, issus de la pollution humaine, dans l’air dit “pur” en altitude, transportés entre les continents par le vent. Les polluants proviennent notamment du nord-ouest du continent africain, en passant au-dessus de la Méditerranée, d'Amérique du Nord ou de l'océan Atlantique.
Les chercheurs ont analysé plus de 200 millions de gènes présents dans des échantillons d’ADN prélevés dans l’environnement et ont découvert 30 000 enzymes différentes capables de dégrader dix types de plastique différents.
Lorsqu’on fait « l’analyse du cycle de vie » d’un produit, il s’agit de l’ensemble de son empreinte sur l’environnement, depuis sa fabrication jusqu’à sa décomposition. Mais le microplastique, qu’on savait déjà tenace, vient de s’enrichir d’une nouvelle étape: ce qui se retrouve dans les océans… peut nous retomber dessus au milieu des gouttes de pluie.
Les nurdles sont l\'un des plus grands micropolluants de nos océans; pourtant, ils ne sont toujours pas reconnus comme dangereux par les autorités maritimes.. Un drame pour les écosystèmes marins !
Si les effets des microplastiques sur la santé humaine sont une préoccupation mondiale, on ignore encore beaucoup de choses sur l’ampleur de cette exposition, en premier lieu. Dans le cadre d’une petite étude, une équipe a déterminé quantitativement les concentrations de polyéthylène téréphtalate (PET) et de polycarbonate (PC) dans des échantillons de méconium et de fèces infantiles et adultes.
Une nouvelle étude évalue à 24.000 milliards le nombre de microplastiques présents à la surface des océans. Un chiffre déjà impressionnant, mais qui pourrait encore augmenter, multipliant les risques pour la biodiversité et pour notre environnement.
Selon une étude publiée le 9 septembre, il y aurait 24,4 milliards de milliards de particules de microplastiques, d’une taille comprise entre 1 et 5 millimètres, en suspension dans les mers du globe, cinq fois plus que les précédentes estimations.
L’ingestion de microplastiques par les poissons affecte leur croissance et leur reproduction. Ainsi, le poids des poissons a diminué de 20% à 35%, notamment chez les femelles, selon une étude Aux problème de croissance des poissons s’ajoutent des difficultés de reproduction du fait de l’exposition aux plastiques et à leur toxicité. Le taux de reproduction des espèces étudiées a été divisé par 2 en raison de retards de la ponte, de la diminution du nombre d’œufs ou des troubles du comportement de la progéniture au stade larvaire.
Une équipe de scientifiques français, monégasques et italiens, a pu analyser des déchets marins et des microplastiques en Méditerranée, pour la première fois jusqu’à 2200 m de fond. Ils ont observé que les grands fonds sont des zones d’accumulation importante de nos déchets, avec un impact marqué sur la faune. Ces déchets marins se révélant impossible à éliminer, ils recommandent d’accroître les mesures de prévention.
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Pour la première fois à de telles profondeurs en Méditerranée, une équipe regroupant des scientifiques français, monégasques et italiens a pu analyser des déchets marins et des microplastiques jusqu’à 2200 m de fond. Résultat : les grands fonds sont des zones d’accumulation importante de nos déchets, avec un impact marqué sur la faune. Les scientifiques recommandent d’accroître les efforts de prévention, car cette pollution est impossible à éliminer dans des environnements aussi inaccessibles
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La pollution générée par le plastique est plus complexe qu’elle n’y paraît. Saviez-vous que les microplastiques voguant sur l’eau déplacent des espèces invasives ? Qu’en absorbant les antibiotiques ils favorisent l’antibiorésistance ? Des chercheurs au CNRS font le bilan de leurs inquiétantes découvertes. Des solutions naissent, doucement.
Une nouvelle étude a mis en évidence la présence de microplastiques dans des placentas humains. Les résultats suggèrent que ces microparticules pourraient nuire à la santé et au développement du fœtus. Selon les chercheurs, ces microplastiques ont probablement été ingérés ou inhalés par les femmes enceintes avant de s'infiltrer dans leur placenta.
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Selon une étude israélienne, des microplastiques se trouvent en suspension dans l’air marin au milieu de l’océan Atlantique. Ils peuvent y rester de quelques minutes à plusieurs jours. Une fois que les microplastiques sont dans l’atmosphère, ils sèchent et ils sont exposés à la lumière UV et aux composants atmosphériques avec lesquels ils interagissent chimiquement. Les particules qui retombent dans l’océan sont susceptibles d’être encore plus nocives ou toxiques qu’auparavant pour toute vie marine qui les ingère...
2020
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L’hebdomadaire italien consacre sa couverture aux montagnes d’emballages que les pays occidentaux envoient dans certaines villes africaines. Des déchets mis en circulation par des multinationales qui refusent de les traiter.
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