Plastiques

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« La production effrénée de plastiques engendre une pollution aux impacts croissants, qui entraînera des coûts considérables à mesure que les crises qu’elle suscite se multiplieront. En ce qui concerne la crise climatique, l’industrie plastique est responsable de 5,3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (chiffres de 2019). Si rien ne change, ces émissions pourraient doubler, voire tripler d’ici 2050. »
Source : The Conversation

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Pr Jean-Pascal van Ypersele

2023

Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele a réagi après l'adoption de l'accord final de la Cop 28.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, candidat malheureux à la présidence du Giec, a écrit une lettre ouverte "au nom du climat" adressée au président de la COP28, la conférence climat de l’Onu qui se déroule jusqu’au 12 décembre à Dubaï (Émirats arabes unis). Dans cette missive, cosignée par le climatologue américain Michael E. Mann, directeur du "Earth System Science Center" à l’université d’État de Pennsylvanie, M. van Ypersele entend rappeler "quelques données scientifiques essentielles" à Sultan Al Jaber, le président controversé de la COP28, également à la tête de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, candidat malheureux à la présidence du Giec, a écrit une lettre ouverte "au nom du climat" adressée au président de la COP28, la conférence climat de l'Onu qui se déroule jusqu'au 12 décembre à Dubaï (Émirats arabes unis).
Cet été a été marqué par les catastrophes naturelles. Les incendies, les inondations et les vagues de chaleur se sont multipliés. Pour évoquer ces dérèglements climatiques, Jean-Pascal van Ypersele était l’invité du RTL info Signatures ce mercredi soir. Le spécialiste belge du réchauffement climatique a répondu aux questions de Luc Gilson et Christophe Deborsu. Au niveau mondial, le mois de juillet a été le plus chaud jamais enregistré, depuis que l’on mesure la température. En Belgique, ce fut supportable. Mais faut-il dès lors s’inquiéter pour l’année prochaine ? Il risque de faire assez chaud ?
Ce mercredi, l’élection à la Présidence du GIEC (Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) aura lieu à Nairobi, au Kenya. 195 délégations éliront le scientifique qui présidera les travaux du GIEC pour les années qui viennent.
Alors qu’une vague de chaleur s’installe dans le sud de l’Europe, les phénomènes climatiques extrêmes semblent s’aggraver. S’il y a une petite accélération, tout cela figurait dans les rapports du Giec, dit le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele qui en brigue la présidence.
L'élection du Bureau du GIEC en vue du 7e cycle de rédactions de rapport a lieu fin juillet 2023. Le bureau comporte 34 membres. Il est responsable de gérer le processus de rédaction de rapports et de conseiller l’assemblée des États membres dans la prise de décision, tout en supervisant la qualité des travaux scientifiques et de la communication. Jean-Pascal van Ypersele est candidat à la Présidence, avec le soutien de la Belgique. Nous lui avons demandé d’exposer ses motivations et sa vision pour le GIEC. L'interview a été réalisée par Alain Tondeur (Plateforme wallone pour le GIEC) et Soumaya Majdoub (Centre climat belge, membre de l’équipe de campagne de Jean-Pascal van Ypersele).
ENGAGÉ A DÉFENDRE Le GIEC, la voix mondiale du climat Le meilleur lien entre la science et les décideurs politiques du monde entier Un GIEC plus inclusif, plus dynamique et plus pertinent
Jean-Pascal van Ypersele est candidat à la présidence du Giec. Le climatologue belge souhaite y inclure plus de chercheurs issus des pays en voie de développement, pour rendre la voix du climat « plus forte ».
La candidature du climatologue et professeur à l’UCLouvain n’attendait plus qu’à être formellement appuyée par le gouvernement fédéral. C’est chose faite depuis ce week-end : Jean-Pascal van Ypersele rejoint officiellement la course à la future présidence du GIEC. Une candidature tournée vers l’inclusivité et la collaboration internationales.
Il l'a fait savoir via Linkedin
Toutes les réactions suite au nouveau rapport dévoilé par le Giec.

2022

Ce dimanche s’ouvre la COP27, le plus grand rassemblement annuel sur l’action climatique. Cette année, la grande messe du climat a lieu à Charm el Cheikh, en Egypte. Alors qu’il y a urgence, quels sont les enjeux de cette COP ? Qu’en attendre concrètement ? Quel sera le poids de la Belgique ? Réponse avec Jean-Pascal Van Ypersele, professeur à l’UCLouvain et peut-être futur président du GIEC.
Le conseil des ministres a décidé vendredi de soutenir la candidature du climatologue belge Jean-Pascal Van Ypersele à la présidence du Giec, le groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat créé en 1988 sur l'impulsion des Nations unies.
Le climatologue et membre du GIEC Jean-Pascal van Ypersele est sans appel: sans réaction, on se dirige tout droit vers le scénario du pire.
Le troisième volet du dernier rapport du GIEC sur le climat a été dévoilé lundi. Interrogé sur La Première, le climatologue Jean-Pascal van Ypersele pointe l’importance des changements de comportements que les citoyens peuvent décider d’adopter, surtout si ces changements sont accompagnés par les politiques, qui doivent mettre à la disposition des citoyens les moyens de le faire.

2021

La COP26 a accouché d’un ensemble de décisions qui vont aider à la mise en œuvre de l’Accord de Paris. C’est un pas dans la bonne direction, c’est bien plus que du bla-bla, mais c’est très insuffisant. Parmi les points positifs, je vois : ...
Il l’a dans les mains. Blasé, Jean-Pascal Van Ypersele est venu avec le tout premier rapport du Giec (le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) sur le plateau de l’édition spéciale de notre JT ce midi. "Il a été publié en 1990", précise le professeur de climatologie à l’Uclouvain. Il, e lit qu’une seule phrase du rapport. "L’effet de serre accentuera les deux extrêmes du cycle hydrologique, c’est-à-dire qu’il y aura plus d’épisodes de pluies extrêmement abondantes et plus de sécheresses prononcées."

2020

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2019

Prolonger les centrales nucléaires? Le serpent de mer divise la Belgique entière depuis la loi de sortie, qui prévoit leur fermeture entre 2022 et 2025. Alors quand un climatologue de renom, Jean-Pascal van Ypersele, opposé de longue date à l’énergie atomique, se prononce en faveur d’une prolongation de centrales au-delà de la date butoir, les partisans de l’atome prennent la balle au bond. À l’image du Forum nucléaire: "L’ancien vice-président du Giec plaide pour la prolongation de quelques centrales nucléaires", a tweeté le lobby du secteur, renvoyant vers les propos que le climatologue de l’UCLouvain a tenus dans le journal De Zondag.
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Dans son nouveau rapport publié mercredi, le GIEC tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme. La planète est surexploitée et si l’homme ne modifie pas radicalement sestechniques agricoles et ses habitudes alimentaires, le réchauffement climatique va s’accentuer et la sécurité alimentaire sera menacée. Jean-Pascal van Ypersele, présent au sommet du GIEC en Suisse."On ne peut pas sauver le climat sans s’occuper de la manière dont l’agriculture et la gestiondes forets et des sols se passe

2018

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Jean-Pascal van Ypersele, ancien vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), dresse un inventaire du travail accompli depuis trois décennies par l’institution onusienne et propose quelques réformes indispensables. Un article de notre partenaire, le JDLE.