« La production effrénée de plastiques engendre une pollution aux impacts croissants, qui entraînera des coûts considérables à mesure que les crises qu’elle suscite se multiplieront. En ce qui concerne la crise climatique, l’industrie plastique est responsable de 5,3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (chiffres de 2019). Si rien ne change, ces émissions pourraient doubler, voire tripler d’ici 2050. »
Source : The Conversation
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Julie Deshayes
2024
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi des villes comme New York et Madrid, situées à la même latitude, connaissent des climats si différents ? Une des raisons réside dans les courants océaniques, qui transportent la chaleur des tropiques jusqu’en Europe. Mais ces courants, connus sous le nom d’AMOC (Atlantic Meridional Overturning Circulation), ralentissent sous l’effet du changement climatique. Ce phénomène pourrait créer une situation paradoxale où, malgré le réchauffement global, l’Europe subirait un refroidissement – un scénario digne du film Le Jour d'après. Certains médias affirment que nous nous approchons dangereusement d'un point de bascule, où l'effondrement de ce courant deviendrait inévitable. Exagération médiatique ou menace réelle ? Pour éclaircir la question, j'ai l'honneur de recevoir Julie Deshayes, océanographe et directrice de recherche au CNRS, spécialisée sur ces dynamiques au laboratoire L'OCEAN. L’AMOC, un point de bascule imminent ? C’est le sujet de ce nouvel épisode d'Échange C
2023
Plusieurs problèmes de santé liés à la chaleur peuvent être évités en adoptant un mode de vie sain et actif. Mais la jeune génération est moins active que les précédentes, et donc plus vulnérable...
2022
Des glaciers classés au patrimoine mondial de l’Unesco vont disparaître en cascade, alerte l’institution dans une étude. L’océanographe Julie Deshayes détaille les conséquences de ces fontes.