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mpox

août 2024

Ce premier cas de mpox détecté chez un voyageur de 30 ans de retour d’Ouganda, pays touché par un variant du virus récemment apparu en Afrique.
Le jeudi 22 août, les autorités sanitaires thaïlandaises ont annoncé qu’un Européen était porteur du clade 1b de la mpox. Il s’agit du premier cas confirmé en Asie de ce nouveau variant potentiellement plus dangereux et contagieux.
L'épidémie de mpox en cours en Afrique en a déclenché une autre, mondiale celle-ci : une déferlante d'infox, sur fond d'homophobie et de conspirationnisme, après le déclenchement par l'OMS, mi-août, de son niveau d'alerte sanitaire le plus élevé.
En France, 232 sites de vaccination sont d’ores et déjà ouverts pour faire face à l'épidémie de mpox, a indiqué mardi le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal, tout en promettant 100 000 doses de vaccins aux pays les plus touchés.
« Pandémie », implication de Bill Gates, manipulations en laboratoire ou complot des Big Pharma… L’urgence de santé publique déclarée par l’Organisation mondiale de la santé ravive les obsessions des complotistes.
Les Philippines ont fait état lundi d'un premier cas de mpox sur leur territoire depuis le début de l'année, mais les autorités doivent encore déterminer s'il s'agit d'un cas de sous-type clade 1b jugé plus dangereux.
L’OMS a recommandé lundi aux pays touchés par le variant du virus mpox récemment apparu en Afrique de lancer des plans de vaccination dans les zones où des cas sont apparus.
Frédéric Valletoux chiffre ce dimanche 18 août à «150 000 personnes» le nombre de vaccinés dans l’Hexagone depuis la première vague de mpox en 2022. La vaccination reste pour l’instant réservée au «public le plus exposé».
Plus agressif que le variant à l’origine de l’épidémie de 2022, clade 1b a déjà fait des centaines de morts en Afrique. Mais le maillage sanitaire et les stocks de vaccins disponibles en Europe limitent les risques pour la population.
L'OMS doit publier prochainement les premières recommandations de son comité d'urgence sur le mpox mais l'organisation et les ONG de santé appellent d'ores et déjà les fabricants de vaccins à accroître largement leur production.
Le continent africain fait face à une résurgence d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC et baptisée « clade 1b », plus mortelle et plus transmissible que les précédentes. Des cas ont également été détectés en Suède et au Pakistan.
Le continent fait face à la propagation d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC en septembre 2023, plus mortelle et plus transmissible que les précédentes.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique. Identifiée en 1958, cette maladie n’a rien de nouveau. Pourquoi suscite-t-elle de nouvelles inquiétudes ? France 24 fait le point.
L’OMS a déclenché mercredi son niveau d’alerte le plus élevé. Pékin va renforcer ses contrôles vis-à-vis des personnes et des biens susceptibles d’avoir été en contact avec la variole du singe.
L’OMS s’inquiète de la flambée d’un variant plus contagieux et plus dangereux du virus de la mpox, auparavant appelée “variole du singe”. Les cas se multiplient en Afrique, dans des pays qui n’avaient jamais connu la maladie. Un premier cas a été annoncé en Suède, un autre au Pakistan.
L’OMS décrète le plus haut niveau d’alerte contre l'épidémie de mpox (anciennement variole du singe) et déclenche ainsi les mesures conçues pour éviter que cela évolue en pandémie mondiale.
Il s’agit du plus haut niveau d’alerte de l’agence onusienne, déclenchée pour la deuxième fois en deux ans pour cette maladie d’origine virale.
L'Organisation mondiale de la santé a déclenché mercredi son plus haut niveau d'alerte sanitaire au niveau international face à la résurgence des cas de variole du singe (ou mpox pour Monkeypox) en Afrique.
Le laboratoire pharmaceutique danois Bavarian Nordic, dont le titre bondissait jeudi au lendemain de la décision de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) de déclencher son plus haut degré d'alerte face à la résurgence des cas de mpox (variole du singe), s'est dit prêt à produire jusqu'à 10 millions de doses de vaccins d'ici 2025.
La Belgique a facilité le don de 215.000 doses de vaccin contre le mpox, la variole du singe, par l'autorité européenne de préparation et de réaction en cas d'urgence sanitaire (HERA) à l'organisation CDC Afrique. Les ministres démissionnaires de la Santé Frank Vandenbroucke et de la Coopération au Développement Caroline Gennez l'ont annoncé mercredi.
a variole du singe continue de se propager dans le monde. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 934 nouveaux cas ont été enregistrés en juin, soit une légère diminution par rapport au mois précédent. Mais l’OMS suppose que le nombre réel de cas est plus élevé parce que moins de personnes sont testées et que tous les cas ne sont pas déclarés.
L’organisme africain a dénombré quelque 38 465 cas de mpox depuis janvier 2022 ainsi qu’une augmentation de 160 % des cas cette année par rapport à 2023.
Alors que 511 personnes sont mortes dans le pays depuis le début de l’année, une nouvelle souche, transmissible entre humains, notamment par des rapports sexuels, se diffuse dans les pays voisins.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé la prochaine convocation d'une réunion de son comité d'urgence autour de l'épidémie de mpox, aussi appelé "variole du singe". Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, a confirmé l'information lors d'un point presse à Genève, en Suisse.
Le séquençage de virus de la Mpox (naguère appelée variole du singe) provenant de personnes infectées en Ouganda et au Kenya a confirmé qu’il s’agissait de la même souche que celle qui circule en République démocratique du Congo. Elle est plus létale que celle qui a provoqué une épidémie mondiale en 2022.

juillet 2024

L’Organisation Mondiale de la Santé est inquiète, elle estime même que c’est une menace pour la santé mondiale : les cas de variole du singe, aussi appelée MPOX, augmentent de manière exponentielle en République démocratique du Congo. Une nouvelle souche plus dangereuse a déjà fait plusieurs centaines de victimes dans le pays.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis en garde jeudi contre la menace pour la santé mondiale que représente la "variole du singe", appelée Mpox selon la nouvelle terminologie de l'OMS, exprimant son inquiétude concernant une poussée épidémique d'une nouvelle souche plus mortelle du virus en République démocratique du Congo.

avril 2024

En un an, le nombre de cas de variole du singe a triplé en République démocratique du Congo. Le virus y a causé 300 décès depuis le début de l’année, notamment dans l’Est.

novembre 2023

L’Organisation mondiale de la santé mène une mission d’évaluation de l’activité du virus qui se répand notamment à Kinshasa et dans l’est de la République démocratique du Congo.

novembre 2022

La variole du singe tient son nom de l’animal sur lequel le virus a été identifié à l’origine en 1958 : des singes destinés à la recherche au Danemark. Le changement de nom interviendra après une période de transition d’un an.


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