Veille documentaire
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
Résultats pour:
alimentation famine
Le Global Hunger index 2024 est particulièrement inquiétant.
Contre la famine et la sècheresse, la Namibie projette de tuer 723 animaux. Tantôt jugé cruel, inefficace ou intéressé, ce plan divise
Près de 160 bêtes sauvages ont déjà été abattues depuis le 3 septembre, dans le cadre d’une mesure gouvernementale destinée à fournir de la viande aux populations affamées par la sécheresse.
Le pays d’Afrique australe est menacé par une crise alimentaire. Les autorités ont autorisé l’abattage de plus de 700 animaux, dont des éléphants et des zèbres, censés nourrir les populations des zones les plus touchées. Les experts dénoncent un raisonnement scabreux, constituant un dangereux précédent pour la faune locale.
High-level policy discussions have built momentum for “food system transformation” that would help farmers address the climate crisis.
La situation est disparate, mais l'objectif d'un monde sans faim en 2030, adopté par les Nations unies en 2015, s'éloigne encore plus.
Le conflit qui a éclaté en avril 2023 entre l’armée et les paramilitaires des Forces de soutien rapide a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué le déplacement de plus de neuf millions de personnes, selon l’ONU.
Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.
Le premier ministre Abiy Ahmed nie la grave crise alimentaire qui touche le nord du pays. Les autorités d’Addis-Abeba sont accusées d’abandonner les Tigréens à leur sort afin de parachever la mise à genoux de la province.
Le spectre de la famine de retour en Ethiopie : « La vie des habitants est indescriptible au Tigré »
(02/01) - Noé Hochet-BodinPlus d’un an après la fin de la guerre civile, près d’un millier de personnes sont mortes de faim dans la région, où 2 millions d’habitants souffrent de malnutrition aiguë. Une situation qui risque de s’étendre à l’Amhara voisine.
After hottest day ever, researchers say global heating may mean future of crop failures on land and ‘silent dying’ in the oceans
L'insécurité alimentaire aiguë risque d’augmenter en ampleur et en gravité dans 18 « points chauds » de la faim dans le monde, comprenant un total de 22 pays, selon un nouveau rapport des Nations Unies publié lundi. Le rapport, publié par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), souligne le risque d'un débordement de la crise soudanaise, augmentant le risque d'impacts négatifs dans les pays voisins, et avertit que le phénomène météorologique El Niño fait craindre des extrêmes climatiques dans les pays vulnérables du monde entier.
Changement climatique, insécurité, inflation, pénuries alimentaires : les pays de la région font face à des « défis multidimensionnels », analyse les Nations unies.
Le Malawi, pris dans les affres d’une insécurité alimentaire grandissante, a obtenu un financement d’urgence du Fonds monétaire international, d’un montant de 88,3millions de dollars. Il est le premier pays à bénéficier d’un mécanisme prévu pour faire face aux chocs mondiaux dus à la guerre en Ukraine.
a Corne de l’Afrique et de nombreuses régions d’Afrique de l’Est sont au cœur d’une sécheresse dévastatrice. Pour la cinquième année consécutive, l’absence de pluie a été enregistrée. Les analystes s’attendent à ce que la sixième – qui débutera en mars prochain – soit également une saison «sans pluie». Alors que les champs sont en jachère et que des millions de têtes de bétail meurent de soif, les pays de la région connaissent une situation d’insécurité alimentaire et humanitaire sans précédent. Selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, quelque 22 millions de personnes en Ethiopie, en Somalie et au Kenya risquent de mourir de faim.
COP27 : nourrir leur population ou préserver la planète, les États africains ne veulent plus choisir
(04/10) - En amont de la COP27 de Charm-el-Cheikh sur le climat, qui se tiendra en Égypte du 6 au 18 novembre prochains, un sommet de préparation se tient en ce moment à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo. Le pays, qui détient une grande partie de la deuxième forêt tropicale au monde, a bousculé la communauté internationale en refusant désormais de choisir entre lutte contre la pauvreté et lutte contre le changement climatique. Un moyen de pointer le manque de financements des pays riches, qui donne le ton des négociations à venir.
Ce chiffre provient d'un rapport publié mercredi par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), en parallèle de l'Assemblée générale de l'ONU à New York.
L’accord signé en juillet entre Kyiv et Moscou a permis à plusieurs cargos de quitter les ports de la mer Noire. Mais le rythme est trop faible pour vider les silos ukrainiens et les denrées ne vont pas vers les pays les plus menacés par les pénuries, qui seront au menu des discussions entre l’ONU, la Turquie et l’Ukraine.
Des chercheurs de l’université de Rutgers aux États-Unis ont évalué l’impact de l’utilisation des armes atomiques sur le climat et la production alimentaire. Il en ressort que même un conflit atomique limité à l’Inde et au Pakistan entrainerait une réduction de 7 % des rendements agricoles mondiaux dans les 5 années suivant les explosions et pourrait déboucher sur une famine qui provoquerait la mort de 2 milliards de personnes.
Premièrement, nos systèmes alimentaires sont toujours très dépendants des énergies fossiles. Notre agriculture intensive est très gourmande en engrais azotés (NdlR : produits à partir de gaz naturel) et en pesticides. L'agriculture utilise également des machines très énergivores.