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Le texte complet de la décision de la Commission européenne, qui a donné son feu vert à cet accord le 21 février, est désormais public, et donne des chiffres à ce sujet, selon le journal. L'accord comporte notamment un volet, le MOCP (minimum opex and capital payment") qui sera déclenché si les réacteurs sont indisponibles pendant une "période significative" et ce, pour garantir la stabilité financière de Be-Nuc, la société commune à l'État belge et à Electrabel, propriétaire de 89,91% des deux réacteurs prolongés.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
L'Iran a menacé de s'en prendre aux bases militaires des Etats-Unis au Moyen-Orient en représailles aux frappes américaines sans précédent contre les sites nucléaires iraniens, faisant craindre un embrasement hors de contrôle de la région. Un conseiller de l'ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême iranien, a affirmé que les Etats-Unis "n'avaient plus leur place" au Moyen-Orient et qu'ils devaient s'attendre à des "conséquences irréparables" après leur attaque dans la nuit de samedi à dimanche.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes qui auront des "conséquences éternelles", a prévenu Téhéran, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël où 16 blessés ont été recensés par les secours israéliens et de nombreux dégâts observés par des journalistes de l'AFP. Après avoir laissé planer le doute sur une intervention contre l'Iran, réclamée par son allié israélien, le président américain, Donald Trump, a annoncé que les installations d'enrichissement nucléaire du pays, soupçonné par les Occidentaux de vouloir se doter de l'arme atomique, avaient été "totalement détruites" par les frappes américaines.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».
Donald Trump a salué "un succès militaire spectaculaire" après les frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens, affirmant que les principales installations d'enrichissement d'uranium de l'Iran "ont été complètement et totalement détruites". France 24 fait le point sur cette opération qui marque l'entrée officielle des États-Unis dans le conflit opposant Israël à l'Iran.
Le président américain a communiqué dans la nuit de samedi à dimanche que les forces américaines avaient conduit des frappes contre trois sites d’enrichissement, engageant ainsi son pays au côté d’Israël dans une guerre contre l’Iran.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes accusées par Téhéran de "faire exploser" les chances d'un règlement diplomatique du dossier nucléaire, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël, qui ont fait de nombreux dégâts et 16 blessés, selon les services de secours israéliens.
Le chef d’état-major de l’armée américaine, le général Dan Caine, a livré un récit détaillé de l’opération menée contre les principales installations nucléaires iraniennes.
Une vingtaine de pays arabes et musulmans, dont le Qatar, Oman et le Pakistan, ont appelé lundi à la création d'une "zone exempte d'armes nucléaires" au Moyen-Orient, au quatrième jour d'une escalade militaire entre Israël et l'Iran.
Israël a annoncé vendredi avoir procédé à des frappes contre des sites militaires et nucléaires de l'Iran, et promis de poursuivre son opération militaire "pour éliminer cette menace". Les frappes ont touché plusieurs zones en Iran, notamment la capitale Téhéran (nord) et l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre).
Benyamin Nétanyahou affirme avoir frappé «le cœur du programme nucléaire militaire» de Téhéran. Le chef des Gardiens de la révolution et plusieurs figures militaires et scientifiques ont été tués, confirment les médias officiels iraniens.
Au cours de son opération nocturne vendredi, l'aviation israélienne a bombardé le site de Natanz, le principal complexe d'enrichissement d'uranium en Iran. L'opération a visé d'autres sites mais pas celui de Fordo, où l'Iran a installé en profondeur des centaines de centrifugeuses. Décryptage.
Alors qu'Israël a annoncé vendredi avoir frappé avec succès des sites nucléaires iraniens, il semble néanmoins très compliqué pour l'État hébreu de les neutraliser. Analyse avec Didier Leroy, chercheur à l'Institut Royal Supérieur de Défense (IRSD).
Les dépenses mondiales consacrées aux armes nucléaires ont augmenté de 47% au cours des cinq dernières années, passant de 68 milliards de dollars (59 milliards d’euros) à 100 milliards de dollars (86,8 milliards d’euros), selon un nouveau rapport de la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires (ICAN). Selon ce rapport, les pays disposant d’armes nucléaires étrangères sur leur territoire, dont la Belgique ferait partie, dissimulent le coût de ces armes à leurs citoyens et à leurs législateurs.
L’Agence internationale de l’énergie atomique a accusé ce jeudi 12 juin Téhéran de violer ses engagements sur la non-prolifération des armes nucléaires. La république islamique a depuis annoncé qu’elle allait construire un nouveau site d’enrichissement d’uranium.
Le Royaume-Uni a annoncé mardi(1) avoir choisi le groupe industriel britannique Rolls-Royce pour fabriquer les premiers petits réacteurs nucléaires (SMR) du pays, une technologie moins chère que les centrales classiques mais encore en développement.
Une loi permettant d'allonger la durée de vie des réacteurs nucléaires au-delà de 60 ans est entrée en vigueur au Japon vendredi, alors que le gouvernement revient à l'énergie atomique 14 ans après la catastrophe de Fukushima. La quatrième économie mondiale vise la neutralité carbone d'ici 2050 mais reste fortement dépendante des combustibles fossiles, en partie parce que de nombreux réacteurs nucléaires ont été arrêtés après Fukushima en 2011.
Le projet Cigéo d'enfouissement des déchets nucléaires les plus radioactifs à Bure (Meuse) pourrait coûter au total entre 26,1 et 37,5 milliards d'euros, au lieu des 25 milliards jusqu'ici envisagés, selon le nouveau chiffrage de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) publié lundi et qui doit encore être arbitré par le gouvernement.
Le Conseil de sécurité sécurité nucléaire (CSN) espagnol a annoncé lundi qu'en raison de la panne géante d'électricité, quatre centrales nucléaires se sont automatiquement arrêtées, les réacteurs fonctionnant désormais grâce aux générateurs diesel de sauvegarde. Suite à la coupure de l'alimentation en électricité "les réacteurs des centrales qui étaient en service (Almaraz II, Ascó I et II, Vandellós II) se sont automatiquement arrêtés - conformément à leur conception - et leurs générateurs diesel de sauvegarde ont démarré et maintiennent les centrales dans un état sûr", a dit le CSN dans un communiqué.