Résilience

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2024

LIMIT | Parlons des limites planétaires
Dix ans après la découverte de milliers d’oiseaux marins morts sur les plages du Pacifique Nord, des biologistes révèlent l’origine de cette extinction de masse, la plus importante jamais observée.
Nos modes de consommation et d'alimentation causent des crises "interconnectées" pour la biodiversité, le climat et la santé, menaçant la survie d'écosystèmes essentiels comme les coraux, alertent des experts du monde entier dans un rapport de référence.
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
Un rapport scientifique international estime à 25 000 milliards de dollars le manque à gagner pour la planète du fait de l’absence de lutte commune contre les crises environnementale, climatique et sanitaire. S’attaquer séparément à la perte de la biodiversité ou au réchauffement ne fait qu’aggraver les problèmes, explique-t-il.
Selon une étude, l'année 2023 a été synonyme d'une baisse importante de l'absorption de carbone par les forêts et les sols.
L'IPBES, le Giec de la biodiversité, vient de publier deux rapports majeurs ces mardi 17 et mercredi 18 décembre. Le premier montre la nécessité de traiter les différents sujets ensemble - changement climatique, biodiversité, santé, eau et alimentation, pour une action efficace. Le second s'intéresse aux obstacles à l'action et appelle à un "changement transformateur" de nos points de vue, nos structures et nos pratiques.
L’IPBES, le « GIEC de la biodiversité », publie une évaluation qui démontre que traiter chaque problème de manière isolée aggrave la situation globale.
Les récifs coralliens illustrent parfaitement l'avertissement lancé mardi dans un rapport de référence des experts du monde entier regroupés dans la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) : les crises - climat, biodiversité, santé... - affectant la planète sont "toutes interconnectées". En ignorant cette interconnexion, les récifs coralliens pourraient disparaître de la surface de la terre d'ici 10 à 50 ans, préviennent ces experts mandatés par l'ONU.
Alors que 2024 sera la première année au-dessus d'1,5°C de réchauffement climatique, une étude révèle que cela pourrait accélérer l'extinction des espèces animales.
La succession des COP biodiversité, climat et désertification n’a pas permis d’aboutir à des accords ambitieux. Mais les liens entre ces trois enjeux sont désormais mieux établis, au sein des négociations internationales.
Comment imaginer la forêt du futur et à partir de quelles espèces ? Le point avec Brigitte Musch, chercheuse à l’ONF et responsable du Conservatoire génétique des arbres forestiers.
Comme le prouve une hécatombe d'éléphants au Botswana, la crise climatique peut favoriser les empoisonnements de la faune à l'échelle mondiale
Des forêts plus vulnérables, malades et sèches. Dans son laboratoire (LSCE – IPSL), Nicolas Viovy modélise l’impact des changements climatiques sur les massifs forestiers.
Science et conscience. Dans un vigoureux manifeste publié au Seuil, les Scientifiques en rébellion détaillent les raisons de leur passage à l’action et enjoignent leurs pairs à sortir d’une prétendue «neutralité» et désobéir avant qu’il ne soit trop tard.
Au-delà des bénéfices pour les communautés environnantes, le La protection des tourbières est essentielle pour atténuer le changement climatique. En raison de leur dégradation actuelle, ils émettent 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre provenant des activités humaines. Et cette situation doit changer au plus vite.
Pour la créatrice du fonds 2050, Marie Ekeland, la construction d’un futur désirable passe par la nécessité de changer la manière de prendre des décisions.
Il est très difficile, sinon impossible, d'établir un lien direct entre le changement climatique et l'instabilité. Ce qui est clair, en revanche, précise le Dr Eleonora Milazzo, c'est qu'il agit comme un accélérateur de risque.
La production devrait reculer de près de 30 % en 2024, à environ 20 000 tonnes. Les aléas climatiques, de plus en plus délétères, viennent s’ajouter aux autres causes de fragilisation des ruches.
Le changement climatique rend plus probables les conditions météorologiques nécessaires à la propagation des incendies de forêt, selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Cette semaine, les dirigeants du monde se sont réunis à Bakou, en Azerbaïdjan, pour COP29 – le dernier cycle de négociations de l’ONU sur le climat. Et le Dr Goodall affirme qu’il est plus urgent que jamais d’agir pour ralentir le réchauffement de notre planète.