2025
« Pêche durable ». Alors que ce concept devrait être simplissime — une pêche qui ne détruit ni la nature ni les humains — la réalité est bien plus sombre : la vaste majorité des logos vantant une « pêche durable » s’approvisionnent auprès des méthodes de pêche les plus destructrices.
Donald Trump avait promis le jour de son investiture de lancer jusqu'à 100 décrets dans les 100 premières heures, où tous les sujets
2024 fut une année de statu quo et donc de retard pour l'action climatique. Si nous souhaitons qu'il en soit autrement en 2025, plusieurs
2024
Alors que l’on ne connaît toujours pas le nombre de décès consécutifs au passage du Cyclone Chido, qui a ravagé Mayotte
Une fois que les préjugés sur la décroissance sont dépassés, il faut s'atteler à répondre aux questions légitimes qui demandent une réflexion. Avec une économie décroissante, comment financer les services publics ? Comment rembourser la dette ? Quels secteurs vont devoir réduire, ou disparaître ?
Après deux semaines de suspense, le Tribunal administratif de Toulouse demande la réouverture de l’instruction et reporte sa décision de plusieurs mois pour l’autoroute A69. C’est via un communiqué de presse du Tribunal administratif de Toulouse que nous apprenons donc que le chantier va continuer. Et “il y a un perdant à coup sûr, c’est la biodiversité”, déclare pour Bon Pote Dorian Guinard, maître de conférences en droit public à l’université de Grenoble-Alpes.
La COP29 a eu lieu cette année en Azerbaïdjan, pays exportateur d’énergies fossiles et qui avait la lourde tâche de faire avancer les négociations climatiques dans un contexte international particulièrement tendu. Dès le début de la COP, le président du pays hôte a déclaré “le pétrole et le gaz sont un cadeau de dieu”. Le même jour, l’équipe de négociation argentine était renvoyée chez elle par le président d’extrême droite climatosceptique Javier Milei, qui avait déjà déclaré que le changement climatique était “un mensonge socialiste”. Le ton était donné.
Élimination et capture carbone ont de nombreuses proximités, notamment la nécessité dans les deux cas de stocker durablement le carbone.
La COP29 aura lieu du 11 novembre au 22 novembre prochain. Élection de Trump, engagement des Etats, greenwashing… nous avons voulu faire le point avec une diplomate et négociatrice européenne.
Le gaz naturel liquéfié (GNL), ressource très disputée dans le monde, est souvent présenté comme une énergie de "transition" pour remplacer le charbon, terriblement polluant. Mais son bilan climatique est alourdi par sa production très gourmande en énergie et les fréquentes fuites de méthane dans l'air.Pourquoi le GNL a-t-il le vent en poupe ?En 2024, la demande mondiale de gaz devrait augmenter de plus de 2,5% à un nouveau record historique, soutenu par les besoins de GNL, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Après des mois de campagne et un suspense jusque dans les dernières heures, c’est bien Donald Trump qui est réélu président des Etats-Unis. Il est donc possible de déclarer sans sourciller que les immigrés mangent des chiens et des chats, d’être ouvertement climatosceptique, de mentir plusieurs fois par jour en interview ou en meeting, d’être mis en examen et de remporter l’élection présidentielle de l’un des plus grands et puissants pays du monde.
“Si vous gagnez 10 000€ par mois, c’est un problème pour le climat”. En général, expliquer ce qu’est le changement climatique et ses impacts ne fait pas vraiment débat. Mis à part les climatosceptiques opportunistes, tout le monde s’accorde à dire que c’est un problème et qu’il faudrait le régler. En revanche, lorsque l’on discute des solutions, et surtout de justice sociale et climatique, c’est souvent là que ça commence à gronder.
Il y a un "écart considérable entre la rhétorique et la réalité". Voilà ce qu'écrit le rapport Emissions Gap Report dès la première page.
Féris Barkat est fondateur de l’association Banlieues Climat. Banlieues Climat redonne la parole aux habitantes et habitants des quartiers populaires autour des questions de la crise climatique et écologique.
On ne compte plus les tribunes publiées ces dernières années par des professionnels des transports pour dire tout le mal qu’ils pensent de cette mesure. Alors s’agirait-il réellement de la pire chose à faire pour un élu local ou au contraire d’une révolution comme le présentent ses promoteurs, souvent des maires ayant misé leur (ré)élection sur cette idée ?