Les dernières références du média
filtre:
sciencepost.fr
2025
Dernièrement, l’ADEME a publié une étude portant sur l’éco-anxiété en France. Dans notre pays, pas moins de 4,2 millions de citoyens sont fortement touchés par ce phénomène et certains s’exposent même à des risques psychopathologiques.
Tout comme le photovoltaïque, l’éolien s’inscrit dans l’actuelle transition énergétique. Cependant, certaines interrogations subsistent encore en ce qui concerne le recyclage des éoliennes, notamment les pales. Si plusieurs solutions existent déjà, une nouvelle technologie à vu le jour en Chine, comme le révélait le China Daily le 12 février 2025. A l’Institut de physique chimique de Lanzhou, une équipe a eu l’idée de broyer les pales d’éoliennes avant de les traiter chimiquement. L’objectif ? Intégrer ces dernières dans du béton et des enrobés bitumineux comme l’asphalte afin de construire des routes.
Une approche unique de la formation des robots - Ce centre de formation chinois se distingue par son approche novatrice, qui repose sur le partage massif de données entre différents fabricants. À l’heure actuelle, plus de 100 types de robots provenant d’une douzaine d’entreprises suivent une formation dans ce centre. Ces machines sont formées pour accomplir des tâches fondamentales, dites atomiques, telles que saisir, placer ou transporter des objets. L’idée est de créer un écosystème de données partagé où chaque appareil apprend à partir des actions répétées et des données collectées, ce qui lui permet de s’améliorer progressivement.
Que contient exactement cet arsenal nucléaire ? Où se trouvent ces armes ? Et comment sont-elles déployées ?
Si la majeure partie de la surface terrestre est couverte d’eau, seulement un faible pourcentage concerne l’eau douce. Cependant, les pays ne sont pas égaux face à cette ressource vitale, comme l’indique une récente infographie très parlante.
Alors que de nombreux pays peaufinent encore leurs déploiements de la 5G, la Chine prend une longueur d’avance. À Xiong’an, une ville nouvelle à 110 kilomètres de Pékin, le premier réseau haut débit 10G au monde vient d’être lancé. Ce jalon technologique a été rendu possible grâce à une collaboration entre Huawei et l’opérateur China Unicom, utilisant une technologie de pointe : la 50G-PON (Passive Optical Network), soit l’une des infrastructures internet les plus rapides jamais mises en service.
Dans un futur proche, les soldats américains ne seront plus seuls sur le champ de bataille. À leurs côtés, des robots capables de comprendre, de communiquer et d’agir de manière autonome pourraient bien révolutionner les opérations militaires. Grâce à l’intégration poussée de l’intelligence artificielle dans la robotique, l’armée américaine explore en effet une nouvelle ère de collaboration homme-machine. Lors de la National Robotics Week, des chercheurs du laboratoire DEVCOM ARL (Army Research Laboratory) ont présenté des avancées spectaculaires qui pourraient changer la façon dont les conflits sont menés.
C’est un jalon que les chercheurs en intelligence artificielle redoutaient autant qu’ils l’attendaient. Pour la première fois, une intelligence artificielle a franchi un seuil symbolique : GPT-4.5, un modèle développé par OpenAI, a réussi à passer le test de Turing dans sa version la plus exigeante. Cette réussite spectaculaire soulève autant de fascination que de questions inquiétantes. Sommes-nous à l’aube d’une nouvelle ère où les machines peuvent se faire passer pour des humains… sans que personne ne s’en aperçoive ?
L’élevage joue un rôle trop vaste pour être totalement éliminé. Il soutient la résilience économique de nombreuses régions, transforme des terres impropres à la culture en ressources alimentaires, et génère des sous-produits essentiels à d’autres secteurs. Le supprimer aggraverait les inégalités alimentaires et priverait des millions de personnes de leurs moyens de subsistance.
[…] un groupe de chercheurs écossais a peut-être trouvé une solution révolutionnaire. En s’appuyant sur l’intelligence artificielle (IA) et des données comportementales historiques, ils ont développé un modèle qui peut prédire où les personnes perdues ont de fortes chances de se trouver, en reproduisant leur logique de comportement dans des situations similaires. Ce modèle pourrait radicalement transformer les missions de recherche et de sauvetage, en permettant aux équipes d’intervention de concentrer leurs efforts de manière plus ciblée et efficace.