Terre en vue !

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Chaque jour, nous transgressons les limites planétaires et détruisons nos conditions d’existence sur Terre. La pandémie, comme les catastrophes climatiques, sont autant de coups de semonce de la menace qui plane sur notre espèce. Pourtant, face au désespoir ambiant, nous avons le droit de rêver à un futur joyeux, et surtout les moyens de le concrétiser. Avec un nouveau plafond écologique et un vrai plancher social, nous pourrons apprendre à vivre sans tout détruire.

De nombreuses propositions sont déjà sur la table comme le Green New Deal, les Nouveaux Jours Heureux, le Pacte pour la Vie, etc. Mais toutes se heurtent aux limites actuelles de la politique, rarement convaincue par leur faisabilité. Ce plaidoyer défend une autre alternative, le Pacte social-écologique, qui place l’autonomie au centre, tout en réintégrant les limites de la Biosphère. Rassemblant Citoyens, État et Nature, il décrit comment mettre en place concrètement ce nouvel horizon, à tous les niveaux, afin de faire face aux multiples bouleversements de nos sociétés modernes. Mobilisons-nous, Citoyen, Citoyenne, pour participer à cette grande aventure, le plus important défi à relever pour l’humanité!


Cédric Chevalier est ingénieur de gestion et fonctionnaire de l’environnement détaché comme conseiller de gouvernement. Essayiste, il est l’auteur de nombreuses cartes blanches, analyses et d’un premier essai intitulé Déclarons l’État d’Urgence écologique, coécrit avec Thibault de La Motte, sorti début 2020 aux Éditions Luc Pire. Il a également contribué à l’ouvrage collectif À l’origine de la catastrophe, paru chez Les Liens qui Libèrent en 2020, sous la direction de Pablo Servigne et Raphaël Stevens.


Avant-Propos de Sarah Zamoun, activiste au sein de Rise for Climate

Préface d’Esmeralda de Belgique, journaliste, auteure et activiste pour l’environnement et les droits humains

Postface de Charlotte Luyck, philosophe, spécialiste de l’écophilosophie


Pour organiser une présentation / débat du livre ou prendre contact envoyez vos coordonnées à : terreenvue[@]cedricchevalier.eu


Interview par Anne-Sophie Bruyndonckx de Cédric Chevalier pour son livre "Terre en Vue".
Préface d'Esmeralda de Belgique. Les catastrophes climatiques et la pandémie de Covid-19 sont analysées comme des manifestations des limites d'habitabilité des écosystèmes de la Terre. Leur irruption sur la scène politique invite à élargir le contrat social à la biosphère en signant un pacte social écologique.


La recommandation du Conseil Supérieur de la Santé pour un groupe de PFAS est dépassée dans 40 zones de distribution...
Les bases aériennes belges sont-elles à l’origine de pollutions locales aux PFAS ? L’enquête d’Investigation et de Décrypte révèle des niveaux élevés de contamination dans le sol et les eaux de certains quartiers militaires, mais aussi dans les puits et les robinets de civils. C'est le cas à Beauvechain où la teneur en PFAS dans l'eau potable est dix fois au-dessus des recommandations sanitaires.
C’est l’histoire de la multinationale belge de la chimie, Solvay, qui possède l’un des cinq sites français...
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.
C’est une fuite qui fait tache d’huile. Le 27 novembre dernier, le média britannique BBC et le Centre de reporting climatique (CCR) divulguaient des documents montrant que les Émirats arabes unis (EAU), pays hôte de la COP28 qui a débuté hier, se seraient entretenus avec une trentaine de pays, en amont du sommet, pour discuter d’accords sur les combustibles pétroliers et gaziers. Des producteurs de CO2 alors que l’enjeu même de cet évènement est de diminuer ses émissions dans l’atmosphère, et ainsi réduire l’impact sur l’environnement et sur les populations.
Voilà près d’une semaine qu’une enquête d'#Investigation et de Décrypte a révélé que plusieurs communes de Wallonie présentaient des teneurs élevées en PFAS dans l’eau potable, sans que les autorités interviennent avant mars 2023. Pointée par de nombreux élus de l’opposition, la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, a dû répondre de cette situation en Commission de l’Environnement au Parlement wallon ce mardi matin. Dans son argumentaire, elle insiste notamment sur la chronologie des évènements et les échanges d’informations entre son cabinet, le Service public de Wallonie (SPW) et la Société wallonne des eaux (SWDE) à propos du cas de Chièvres.
Nous vous proposons de revenir sur le déroulement de cette affaire des PFAS dans le Hainaut en pointant les moments qui concernent le cabinet de la ministre Tellier. Parcourez la chronologie ce dossier "PFAS"
Jamais auparavant une consultation publique de l’Union européenne (UE) n’avait reçu autant de réponses sur ce type de sujets. 5600 contre quelques centaines habituellement.
Jamais auparavant une consultation publique de l’Union européenne (UE) n’avait reçu autant de réponses sur ce type de sujets. 5600 contre quelques centaines habituellement. Représentant près de 60% des répondants, les entreprises chimiques ont fait bloc pour faire connaître leur désaccord à la question posée : celle d’évaluer une possible restriction universelle des molécules per- et polyfluoroalkylées (PFAS) au sein de l’UE.
Les équipes d’#Investigation et de Décrypte de la RTBF ont mis la main sur des documents mettant en cause la transparence des pouvoirs publics. Il s’agit d’analyses de l’eau de distribution à Chièvres. Ces analyses montrent qu’entre octobre 2021 et mars 2023, les habitants de 12 villages (Chièvres, Tongre-Saint-Martin, Tongre-Notre-Dame, Huissignies, Ladeuze, Moulbaix, Villers-Notre-Dame, Ormeignies, Tourpes, Blicquy, Chapelle-à-Oie, Ellignies-Sainte-Anne, Aubechies) ont consommé une eau contaminée aux PFAS dépassant de 5 fois la dose tolérable fixée par l’Autorité européenne de la sécurité des aliments.
Rouge, bleus, violets… 17.000 petits points ont contaminé la carte de l’Europe. Chacun d’entre eux représente les sites où des substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) ont soit été détectées soit utilisées soit présumées. Dans notre vie, ces PFAS sont partout : nos emballages, nos cosmétiques, nos voitures, nos avions, nos mousses anti-incendie… Leur persistance dans l’environnement et dans les êtres vivants est telle que ces polluants qui se déclinent en des milliers, voire des millions de composés chimiques, ont été qualifiés d’"éternels".
Trois chercheuses belges sont actuellement en Alaska pour étudier le permafrost. Cette couche, normalement gelée en permanence, l’est de moins en moins. La géologue, Sophie Opfergelt, professeure à la faculté des bioingénieurs de l’UCLouvain, coordonne cette expédition.
Dans un premier épisode, nous avons vu que d’un cabinet à l’autre, le nombre de personnes passe parfois du simple au double. C’est surtout le cas entre les parties francophone et flamande du pays.
Supprimer les cabinets pour mieux régner. L’idée revient régulièrement sur la table, cette fois de la part des Engagés. L’actuel président du mouvement à Bruxelles, Christophe De Beukelaer a défendu le 25 septembre dernier la nécessité d’en finir avec les cabinets ministériels, trop volumineux et coûteux. Selon lui, leur suppression permettrait "d’économiser 20 millions d’euros par an", à commencer par "le plus grand du pays" : celui du ministre-président du gouvernement de Bruxelles-Capitale, Rudi Vervoort.
1,7 milliard d’euros. C’est la somme qu’aurait versée le gouvernement allemand aux producteurs de charbon en 2022, a révélé le 24 juillet dernier l’association Green Planet Energy. Cinq ans avant la fin programmée du charbon dans le pays, les centrales thermiques allemandes y produisent toujours un tiers de son électricité. Six d’entre elles figurent dans le top 10 des plus gros émetteurs de CO2 d’Europe. Zoom sur ces "hyper-pollueurs" industriels de notre continent.
Ce lundi 24 avril à Ostende, les représentants des Etats côtiers ainsi que de la Commission européenne et du commissaire européen à l’Energie étaient tous réunis derrière un même objectif : faire de la mer du Nord "la plus grande centrale d’énergie verte d’Europe". Ils se sont accordés à multiplier par dix les capacités d’énergie éolienne en mer du Nord d’ici 2050 (300 Gigawatts (GW) contre 30 aujourd’hui).
La pollution atmosphérique en mer du Nord est peu et mal réglementée. La Belgique a inventé un outil révolutionnaire, l’avion renifleur, pour la détecter. Mais il reste sous-exploité, et les contrôles comme les sanctions restent faibles.
La pollution atmosphérique en mer du Nord est peu et mal réglementée. La Belgique a inventé un outil révolutionnaire, l’avion renifleur, pour la détecter. Mais il reste sous-exploité, et les contrôles comme les sanctions restent faibles.
La pollution atmosphérique en mer du Nord est peu et mal réglementée. La Belgique a inventé un outil révolutionnaire, l’avion renifleur, pour la détecter. Mais il reste sous-exploité, et les contrôles comme les sanctions restent faibles.
Alors qu’elle a enregistré des bénéfices records en 2022, la société TotalEnergies est vivement critiquée pour son empreinte carbone. Considérée comme "trompeuse" par certains experts du climat, sa stratégie énergétique ne serait qu’un écran de fumée, la firme continuant à investir massivement dans les énergies fossiles.
L’extraction de la soixantaine de métaux d’un GSM a un tel coût environnemental, social et humain, qu’ils sont...