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Romane Bonnemé
2024
Après un été de tous les records de chaleur et des incendies de forêt inédits en Californie, les conséquences tragiques du dérèglement climatique s’invitent à nouveau dans l’actualité américaine. Cette semaine, la Floride a été balayée par l’ouragan Milton, un "monstre" qui a causé la mort d’au moins 16 personnes.
Nonante-sept otages sont toujours retenus par le Hamas à Gaza. Et au moins une trentaine d’entre eux sont morts selon l’armée israélienne. Leurs familles se battent depuis un an, sans cesse, pour obtenir leur libération mais aussi pour maintenir l’attention des autorités sur le sort de leurs proches.
Lobbying. C’est un mot qui a marqué la législature européenne 2019-2024 frappée par le scandale du Qatargate. Si cette affaire a mis en lumière des soupçons de corruption, à différencier de la définition du lobbying, elle a tout de même démontré le besoin de renforcer la transparence autour des rencontres entre les groupes d’intérêt et les membres des institutions européennes. Pourtant, un cadre existe déjà. D’abord, chacun des 29.000 lobbies doit s’inscrire dans un registre de transparence. Ensuite, ces groupes d’influence ont l’obligation d’enregistrer toutes les rencontres organisées avec les membres les plus haut placés de la Commission européenne.
Avec sa promesse de "garantir l’équilibre forestier", le label PEFC est le plus courant dans les forêts wallonnes. Pourtant, certains acteurs environnementaux estiment qu’il ne protège pas suffisamment la biodiversité et préfèrent s’en dissocier.
La recommandation du Conseil Supérieur de la Santé pour un groupe de PFAS est dépassée dans 40 zones de distribution...
Les bases aériennes belges sont-elles à l’origine de pollutions locales aux PFAS ? L’enquête d’Investigation et de Décrypte révèle des niveaux élevés de contamination dans le sol et les eaux de certains quartiers militaires, mais aussi dans les puits et les robinets de civils. C'est le cas à Beauvechain où la teneur en PFAS dans l'eau potable est dix fois au-dessus des recommandations sanitaires.
C’est l’histoire de la multinationale belge de la chimie, Solvay, qui possède l’un des cinq sites français...
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.
2023
C’est une fuite qui fait tache d’huile. Le 27 novembre dernier, le média britannique BBC et le Centre de reporting climatique (CCR) divulguaient des documents montrant que les Émirats arabes unis (EAU), pays hôte de la COP28 qui a débuté hier, se seraient entretenus avec une trentaine de pays, en amont du sommet, pour discuter d’accords sur les combustibles pétroliers et gaziers. Des producteurs de CO2 alors que l’enjeu même de cet évènement est de diminuer ses émissions dans l’atmosphère, et ainsi réduire l’impact sur l’environnement et sur les populations.
Nous vous proposons de revenir sur le déroulement de cette affaire des PFAS dans le Hainaut en pointant les moments qui concernent le cabinet de la ministre Tellier. Parcourez la chronologie ce dossier "PFAS"
Voilà près d’une semaine qu’une enquête d'#Investigation et de Décrypte a révélé que plusieurs communes de Wallonie présentaient des teneurs élevées en PFAS dans l’eau potable, sans que les autorités interviennent avant mars 2023. Pointée par de nombreux élus de l’opposition, la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, a dû répondre de cette situation en Commission de l’Environnement au Parlement wallon ce mardi matin. Dans son argumentaire, elle insiste notamment sur la chronologie des évènements et les échanges d’informations entre son cabinet, le Service public de Wallonie (SPW) et la Société wallonne des eaux (SWDE) à propos du cas de Chièvres.
Jamais auparavant une consultation publique de l’Union européenne (UE) n’avait reçu autant de réponses sur ce type de sujets. 5600 contre quelques centaines habituellement. Représentant près de 60% des répondants, les entreprises chimiques ont fait bloc pour faire connaître leur désaccord à la question posée : celle d’évaluer une possible restriction universelle des molécules per- et polyfluoroalkylées (PFAS) au sein de l’UE.
Jamais auparavant une consultation publique de l’Union européenne (UE) n’avait reçu autant de réponses sur ce type de sujets. 5600 contre quelques centaines habituellement.
Les équipes d’#Investigation et de Décrypte de la RTBF ont mis la main sur des documents mettant en cause la transparence des pouvoirs publics. Il s’agit d’analyses de l’eau de distribution à Chièvres. Ces analyses montrent qu’entre octobre 2021 et mars 2023, les habitants de 12 villages (Chièvres, Tongre-Saint-Martin, Tongre-Notre-Dame, Huissignies, Ladeuze, Moulbaix, Villers-Notre-Dame, Ormeignies, Tourpes, Blicquy, Chapelle-à-Oie, Ellignies-Sainte-Anne, Aubechies) ont consommé une eau contaminée aux PFAS dépassant de 5 fois la dose tolérable fixée par l’Autorité européenne de la sécurité des aliments.
Rouge, bleus, violets… 17.000 petits points ont contaminé la carte de l’Europe. Chacun d’entre eux représente les sites où des substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) ont soit été détectées soit utilisées soit présumées. Dans notre vie, ces PFAS sont partout : nos emballages, nos cosmétiques, nos voitures, nos avions, nos mousses anti-incendie… Leur persistance dans l’environnement et dans les êtres vivants est telle que ces polluants qui se déclinent en des milliers, voire des millions de composés chimiques, ont été qualifiés d’"éternels".
Trois chercheuses belges sont actuellement en Alaska pour étudier le permafrost. Cette couche, normalement gelée en permanence, l’est de moins en moins. La géologue, Sophie Opfergelt, professeure à la faculté des bioingénieurs de l’UCLouvain, coordonne cette expédition.
Supprimer les cabinets pour mieux régner. L’idée revient régulièrement sur la table, cette fois de la part des Engagés. L’actuel président du mouvement à Bruxelles, Christophe De Beukelaer a défendu le 25 septembre dernier la nécessité d’en finir avec les cabinets ministériels, trop volumineux et coûteux. Selon lui, leur suppression permettrait "d’économiser 20 millions d’euros par an", à commencer par "le plus grand du pays" : celui du ministre-président du gouvernement de Bruxelles-Capitale, Rudi Vervoort.
Dans un premier épisode, nous avons vu que d’un cabinet à l’autre, le nombre de personnes passe parfois du simple au double. C’est surtout le cas entre les parties francophone et flamande du pays.
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Ce lundi 24 avril à Ostende, les représentants des Etats côtiers ainsi que de la Commission européenne et du commissaire européen à l’Energie étaient tous réunis derrière un même objectif : faire de la mer du Nord "la plus grande centrale d’énergie verte d’Europe". Ils se sont accordés à multiplier par dix les capacités d’énergie éolienne en mer du Nord d’ici 2050 (300 Gigawatts (GW) contre 30 aujourd’hui).