2025
Le vice-président des Etats-Unis brandit son catholicisme comme un étendard, allant jusqu’à faire de sa foi une composante de la guerre culturelle lancée par l’administration Trump.
Le président Trump et son chef de la diplomatie ont menacé, vendredi 18 avril, de renoncer à la recherche de la paix en Ukraine, au lendemain des pourparlers inédits avec les Européens et les Ukrainiens, à Paris.
Créé par George W. Bush et étendu par Barack Obama, le sanctuaire abrite des récifs coralliens vierges et des espèces en danger.
Les projets d’avions à hydrogène, qui permettraient de voler sans kérosène et donc de ne pas polluer les airs, peinent à voir le jour, raconte Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique au « Monde ».
Le virus a infecté, depuis août, plus d’un habitant sur neuf, plaçant le système de santé sous tension et entraînant un grand nombre d’absences dans les écoles, administrations et entreprises.
Sous l’impulsion du duo Donald Trump-Elon Musk, l’exécutif américain a annoncé de nombreux licenciements dans l’administration. Difficiles à suivre et à compter, ces coupes dans les effectifs révèlent les cibles prioritaires de la Maison Blanche.
L’organisation NewsGuard a dévoilé jeudi l’existence d’une opération de désinformation qui est parvenue, chose rare, à atteindre une importante audience. Son étude montre également que des chatbots répètent certaines des fausses informations.
La santé des sols est en danger. La présence de métaux à des taux excessifs, synonyme de risques pour la santé humaine et les écosystèmes, a été retrouvée dans 14 % à 17 % des sols agricoles du monde, soit quelque 242 millions d’hectares, révèle une étude internationale publiée jeudi 17 avril dans la revue Science. Entre 0,9 et 1,4 milliard de personnes vivent ainsi dans des zones à haut risque. Une pollution dont l’ampleur risque encore d’augmenter du fait de la consommation croissante de métaux, alertent les chercheurs.
Certes, le président américain a dû reculer dans sa guerre commerciale. Mais le fondement idéologique de ses décisions est plus solide que ne le laisse supposer leur forme confuse, clownesque et brutale. Le trumpisme a des racines profondes et il est là pour durer.
Avec la mise en place d’économies de guerre pour faire face à Moscou, les écologistes voient s’amenuiser l’espoir d’une lutte efficace contre le changement climatique. Pourtant les deux causes – défendre l’Ukraine démocratique et réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) – ne sont pas contradictoires. L’histoire de la Russie depuis 1991 suggère que, sans coup d’arrêt aux visées de son président, Vladimir Poutine, le défi climatique risque d’être encore plus sacrifié, et le monde sera encore plus livré à l’extractivisme.