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2024

En 2023, le cyclone Ilsa a décimé jusqu’à 90% des populations de fous et de frégates présentes sur une île au large des côtes australiennes, constate une étude publiée début juin.
En analysant 25 000 espèces terrestres et marines, animales et végétales, des chercheurs ont constaté de nombreuses espèces tropicales sont susceptible de bénéficier du réchauffement climatique, révèle une étude publiée ce mercredi 29 mai.
Selon des chercheurs, il faudrait sélectionner des arbres qui peuvent survivre aux conditions climatiques actuelles et futures.
En montagne, les températures diminuent avec l’altitude. Le réchauffement climatique entraine la migration de la flore et de la faune en altitude afin d’y trouver un climat plus clément. Le phénomène est connu et documenté, mais une étude récente, publiée dans la revue Nature, apporte un nouvel éclairage à ces deux phénomènes. Leurs travaux mettent en lumière la vulnérabilité des espèces des sommets à la rapidité des changements de température. En effet, selon les chercheurs, la vitesse de migration des espèces est plus lente. Le CNRS, dont un scientifique a pris part à ces travaux conduits par une équipe taiwanaise, écrit : « plus la vitesse de migration verticale des isothermes est élevée, supérieure à 5 m/an, et plus les chances sont faibles pour les espèces d’ajuster leurs répartitions en altitude, suggérant un retard de migration. » La migration vers le haut de certains isothermes de montagne peut atteindre les 8 mètres par an. Dans l’hémisphère nord, l’isotherme augmente de 6,29 mètres par an au niveau
Une étude montre une baisse de 21 % de la biodiversité en moyenne dans les parcelles de banane fréquemment traitées avec du glyphosate. Le glyphosate perturbe également davantage les espèces natives.
La liste rouge des espèces menacées en France s’allonge ce mercredi 3 avril en intégrant pour la première fois des champignons, victimes de la destruction des habitats naturels et du changement climatique.
Chaque année, nous pousserions près de 1500 espèces animales à l'extinction : connaissez-vous ces espèces éteintes à cause de l'Homme ?
Des associations environnementales ont toutefois regretté, jeudi, que certains changements effectués en 2019 par le président républicain aient été laissés intacts.
Où sont passés les oiseaux ? L'évolution du modèle agricole industrialisé et intensif a conduit à une augmentation dramatique de l'usage des pesticides et des engrais, avec des conséquences désastreuses pour la biodiversité.
L'activité humaine a mené à l’extinction de 1430 espèces d’oiseaux, soit deux fois plus que précédemment estimé. Cela signifierait qu’il existe un grand nombre d’espèces disparues non découvertes.
Des pays du monde entier se réunissent à partir de lundi et jusqu'au 17 février en Ouzbékistan pour se pencher sur le sort de ces espèces, qui incluent les tortues marines et les baleines. Albatros, tortues ou esturgeons... La situation d'espèces migratrices se détériore, alerte un rapport inédit publié lundi 12 février sous l'égide de l'ONU. Parmi les espèces répertoriées par la Convention de Bonn de 1979 sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, qui publie le rapport, une sur cinq est menacée d'extinction et 44% voient leur population décroître. A titre d'exemple, 97% des 58 espèces de poissons répertoriées sont menacées d'extinction. Ce rapport est publié alors que les pays du monde entier signataires de la Convention de Bonn – plus de 130 nations mais pas les Etats-Unis ou la Chine – sont réunis pour une conférence (COP14) dans la cité historique de Samarcande en Ouzbékistan jusqu'au 17 février pour se pencher sur le sort de ces espèces migratrices.
Un rapport historique des Nations Unies révèle la situation alarmante de la vie sauvage : les espèces animales migratrices sont en déclin et le risque d’extinction à l’échelle mondiale s’accroît

2023

Rien qu’en Australie, les chats tueraient plus de 300 millions d’animaux chaque année, d’après une étude de l’ONG Invasive Species Council. Les chats ne font pas la fine bouche. Compagnons de vie adorés des êtres humains, les matous représentent pour autant une réelle menace pour la faune sauvage, d’après les ...
La liste rouge mondiale des espèces menacées mise à jour lundi met en lumière les conséquences du réchauffement...
L’Union internationale pour la conservation de la nature a mis à jour ce lundi 11 décembre, à la veille de la fermeture de la COP28, sa «liste rouge» des espèces menacées dans le monde.
Selon une nouvelle analyse, il y a environ 2 millions d’espèces menacées dans le monde, soit le double de ce qui a précédemment été estimé par l’ONU.
Une étude publiée lundi 11 septembre révèle que la fourmi de feu a été identifiée en Sicile. C’est l’une des espèces les plus invasives au monde, qui peut rendre certains milieux « infréquentables ».
Le réchauffement climatique a de graves conséquences sur l'ensemble de la planète et les poissons subissent eux aussi des chamboulements dus à l'augmentation des températures.
Les espèces exotiques envahissantes ne sont pas seulement néfastes pour la biodiversité. Elles engendrent également des coûts colossaux, bien plus élevés par exemple que ceux liés aux catastrophes naturelles. Et pourtant, elles font bien moins parler d'elles. La France n'est pas épargnée.
Sur terre et dans la mer, les espèces invasives détruisent les écosystèmes, propagent des maladies et causent des centaines de milliards de dollars de dégâts chaque année, selon un rapport historique publié lundi par l'IPBES, panel international d'experts travaillant sous l'égide de l'ONU.
Dans un rapport publié lundi 4 septembre, le « Giec de la biodiversité » alerte sur la gravité des impacts créés par les espèces invasives. Ces invasions sont favorisées par l’érosion de la biodiversité.
D’ici 2050, si aucune mesure n’est prise, le nombre d’espèces envahissantes à travers le monde pourrait augmenter de 36 % par rapport à 2005 et les coûts économiques pourraient quadrupler, selon un nouveau rapport de l’ONU.
C'est la synthèse "la plus complète" jamais réalisée sur le sujet. Après quatre ans de travail, des chercheurs travaillant sous l'égide de l'ONU ont publié lundi leur rapport sur les espèces exotiques envahissantes. Il appellent le monde à "se réveiller" face à ce fléau. Entretien.
Les espèces exotiques envahissantes dans le monde représentent un coût économique estimé à plus de 423 milliards de dollars par an, un montant qui quadruple tous les dix ans depuis 1970, indique lundi l'IPBES, l'équivalent du Giec pour la biodiversité.
La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) dévoile son nouveau rapport sur les espèces exotiques envahissantes. Cette menace mondiale majeure risque de s’accentuer en l’absence d’outils de lutte efficaces.
Des centaines d’espèces exotiques prolifèrent et causent des dégâts croissants à l’environnement, la santé humaine et l’économie, alerte Arnaud Albert, de l’Office français de la biodiversité, qui déplore un «manque de moyens humains».
Le 4 septembre 2023, le résumé pour décideurs l’évaluation mondiale sur la problématique des espèces exotiques envahissantes (EEE) a été officiellement publiée par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES). Ce rapport rappelle l’importante et croissante pression que font peser les EEE sur la biodiversité et présente également les principales pistes pour gérer cette menace.
Ils sont à nos portes et menacent nos cultures… "Ils", ce sont les insectes nuisibles qui ont fait leur apparition en Europe de l’Ouest et qui font des incursions occasionnelles sur notre territoire. Exemple : la Bactrocera dorsalis.
Alors qu’un million d’espèces animales et végétales sont déjà ou seront prochainement menacées de disparition, certaines bénéficient d’un répit grâce à des programmes de préservation et de réintroduction.
Jusqu’à présent, nous pensions qu’environ un quart de la biodiversité évoluait principalement dans le sol. Dans le cadre d’une étude, des chercheurs ont néanmoins récemment réévalué ces résultats en considérant davantage de groupes d’espèces. Finalement, pour plus de la moitié d’entre elles, le sol est un habitat essentiel.
À Nouméa, M. Macron parlera-t-il des requins ? Après plusieurs attaques, la capitale de l’archipel a en effet décidé de procéder à des « prélèvements », au grand dam des associations écologistes.
le traitement des trames écologiques par le Cerema
Une étude, publiée jeudi, quantifie les différents usages que les hommes font des animaux et leur impact global sur la biodiversité.
Des chercheurs de plusieurs universités et instituts de recherche néerlandais et belges, parmi lesquels la VUB, ont averti que plusieurs espèces animales sont menacées de disparition en raison des effets des retombées d'azote dans la nature. Entre autres, les insectes à métamorphose complète comme les papillons, les abeilles et les mouches. "L'augmentation des dépôts d'azote d'origine humaine modifie la qualité des sols dans les écosystèmes naturellement pauvres en nutriments", ont expliqué les scientifiques. En Flandre, ce phénomène est principalement dû à l'agriculture. "En conséquence, les conditions de vie des espèces végétales et animales changent également. Les plantes qui bénéficient d'un surplus d'azote deviennent souvent dominantes, ce qui conduit à l'enherbement des landes ou à la présence de ronces dans les zones boisées."
Des chercheurs de plusieurs universités et instituts de recherche néerlandais et belges, parmi lesquels la VUB, ont averti mardi que plusieurs espèces animales sont menacées de disparition en raison des effets des retombées d'azote dans la nature. Entre autres, les insectes à métamorphose complète comme les papillons, les abeilles et les mouches.
Près de 9.000 otaries, manchots, loutres et petits cétacés sont morts depuis le début de l'année au Chili de la grippe...
On observe un vrai déséquilibre, avec des niveaux de déclin d'espèces dépassant largement les niveaux d'augmentation pour tous les groupes.
Un nouveau rapport sur l’ampleur de la perte de biodiversité à travers la planète nous révèle que près de la moitié des espèces animales sur Terre sont actuellement en déclin. Selon les chercheurs, cet épuisement des populations est en grande partie dû à la dégradation des habitats liée aux activités humaines. Toujours selon ce document, seulement 3 % des espèces voient leur densité de population augmenter, tandis que 49% se stabilisent. Les détails de l’étude sont publiés dans la revue Biological Reviews.
Pendant dix ans, des dizaines de scientifiques, épaulés par les dernières technologies, sillonneront les océans à la recherche de créatures non identifiées. “Une course contre la montre” avant que le réchauffement climatique et la pollution ne fassent disparaître une partie de cette vie marine.
Le président de la LPO (Ligue des protections des oiseaux) alerte sur les pénuries d’eau et leurs effets délétères sur la biodiversité.
Porte-parole de l’ONG de défense des océans Sea Shepherd, Lamya Essemlali alerte sur l’hécatombe de dauphins échoués sur les côtes atlantiques françaises. Et pointe les engins de pêche et l’inaction du gouvernement.
Si la déconnexion des individus vis-à-vis des espaces naturels et des espèces animales s’intensifie, des pistes existent pour renouer avec le non-humain.
Sur l’île africaine, la faune et la flore subissent les assauts des humains. Une récente publication alerte sur le déclin rapide et alarmant des espèces de mammifères.

2022

Préservation des espèces, meilleure séquestration du carbone, risques d’incendie diminués… Détaillant les atouts écologiques et socio-économiques des espaces en libre évolution de la nature, un collectif de scientifiques et de responsables d’association appelle, dans une tribune au « Monde », à accroître leur développement.
Le constat des experts est sans appel: la biodiversité est menacée et les humains doivent conclure de toute urgence un nouveau « pacte de paix avec la nature ». Mais quelles sont les données derrière cette conclusion alarmante? Revue des principaux chiffres au cœur des négociations de la COP15 sur la biodiversité qui se tient à Montréal.
La liste des espèces en voie de disparition s’allonge. L’Union internationale de conservation de la nature (UICN) a publié, vendredi 9 décembre, une version actualisée de sa « liste rouge », qui répertorie les espèces menacées d’extinction à l’échelle régionale et dans le monde. Résultat : 2 028 espèces animales et végétales ont été ajoutées à la dernière évaluation de l’UICN, qui datait de 2021. Au total, la survie de 42 108 espèces (a minima) est menacée. Cela représente 28 % des 150 388 espèces évaluées par l’UICN. La situation de millions d’autres espèces vivantes, non-étudiées par l’organisation, reste inconnue.
A la COP 15 biodiversité à Montréal, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a dévoilé ce vendredi une liste actualisée des espèces présentant un risque d’extinction.
C’est une COP sur la biodiversité qui va rassembler, à Montréal, des scientifiques, des représentants de la société civile, et les négociateurs de 196 pays différents. Elle aurait dû avoir lieu en Chine en 2020 mais crise du Covid, guerre en Ukraine et crise énergétique obligent, elle a été reportée et finalement déplacée au Canada.
La surexploitation des espèces sauvages constitue l’une des causes majeures de disparition de la biodiversité, après la perte d'habitat et le changement climatique. C’est pourquoi la conclusion de la COP sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, vendredi 25 novembre, constitue une avancée majeure. Elle a permis de protéger des centaines d’espèces supplémentaires, parmi lesquelles les requins et les raies. Une première étape avant la COP15 sur la biodiversité qui s’ouvre à Montréal le 7 décembre prochain.
La conférence sur le commerce international des espèces menacées a décidé vendredi de protéger une cinquantaine d'espèces supplémentaires de requins, menacés par le florissant trafic de leurs ailerons en Asie. Une décision qualifiée d'"historique" par le Panama, pays hôte du sommet.



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