Bombes Climatiques

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2024

Dans un rapport publié ce lundi 2 septembre, l’agence onusienne de l’Organisation météorologique mondiale tire la sonnette d’alarme sur les effets extrêmes du réchauffement climatique qui s’abattent sur le continent africain.
L’été 2024 affiche une anomalie de +0,7°C par rapport à la normale 1991-2020, ce qui en fait le troisième consécutif au-dessus des normales, malgré une sensation de fraîcheur au Nord, selon Météo France publié ce lundi 2 septembre.
Le nord de la Norvège, situé au-dessus du cercle polaire arctique, a enregistré en août des températures record, largement supérieures aux plus hauts enregistrés l'an dernier, a annoncé l'Institut météorologique norvégien.
Selon Météo-France, la moyenne des températures en juillet-août a été plus élevée de 0,7 °C que celle de la période 1991-2020.
Les records de températures, d’orages violents et d’inondations révèlent de nouveaux extrêmes rendus possibles par le changement climatique.
Fin août 2024, aux États-Unis, les autorités ont émis une alerte dans une dizaine de villes, après la mort d’une personne contaminée par le virus de l’encéphalite équine de l’Est après une piqûre de moustique.
Avec 31,3°C enregistrés à Uccle, ce dimanche a été le 1er septembre le plus chaud depuis le début des mesures en Belgique, selon l'Institut royal météorologique (IRM).
L’hydrogène nous sauvera-t-il de la fin du monde fossile ? Nous en sommes pour l’instant loin, d’après Aline Nippert, journaliste scientifique et autrice de l'enquête Hydrogène Mania (Le passager clandestin, 2024), dans lequel elle s’interroge sur le bien fondé de cette obsession pour la molécule H2 censée décarboner nos sociétés. 
Selon une étude publiée dans “Proceedings of the Royal Society B”, la chaleur extrême empêche les bourdons de choisir quelles fleurs butiner. Une mauvaise nouvelle pour la biodiversité et pour l’homme, puisque près d’un tiers des cultures dépendent de la pollinisation par les bourdons.
Une personne est décédée dans le nord-est des États-Unis des suites d'une encéphalite équine de l'Est (EEE), une rare maladie transmise par le moustique, ont annoncé mardi les autorités sanitaires locales.


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