La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
Terrestrial ecosystems have taken up about 32% of the total anthropogenic CO2 emissions in the past six decades1. Large uncertainties in terrestrial carbon–climate feedbacks, however, make it difficult to predict how the land carbon sink will respond to future climate change2. Interannual variations in the atmospheric CO2 growth rate (CGR) are dominated by land–atmosphere carbon fluxes in the tropics, providing an opportunity to explore land carbon–climate interactions3–6. It is thought that variations in CGR are largely controlled by temperature7–10 but there is also evidence for a tight coupling between water availability and CGR11. Here, we use a record of global atmospheric CO2, terrestrial water storage and precipitation data to investigate changes in the interannual relationship between tropical land climate conditions and CGR under a changing climate. We find that the interannual relationship between tropical water availability and CGR became increasingly negative during 1989–2018 compared to 1960–1989
Né dans les années 1980, le mot « greenwashing » est de plus en plus utilisé pour pointer du doigt des entreprises qui veulent masquer les incohérences de leurs pratiques avec leur discours en faveur de la protection de l’environnement. Comment le définir précisément ? Comment le débusquer ? On vous explique tout.