La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
La migration assistée, en botanique, est le fait de déplacer artificiellement des espèces d’arbres d’une zone à une autre. Face à la rapidité du changement climatique, cette méthode est mise en avant en France par l’Office national des forêts (ONF), mais des précautions doivent être prises, alerte de son côté la Société botanique de France (SBF).
Logos, panneaux publicitaires, affiches, audiovisuel… tout nous pousse à consommer, avec son lot d’impacts pour la santé et pour la planète. En plus de ne servir que rarement l’intérêt général, la grande majorité de la publicité n’est produite que par une petite partie des entreprises. Des associations comme des scientifiques luttent pour un usage plus raisonné de l’information dans l’espace public.
Les être humains n’ont jamais cessé de produire des sons, ces vagues vibratoires qui se répandent dans l’espace environnant. Mais depuis l’entrée dans l’ère industrielle, il y a un peu plus de deux siècles, les sons produits par l’activité humaine se sont mué en bruits : il est devenu de plus en plus gênant pour l’être humain, mais aussi pour les espèces animales et végétales. En plus d’augmenter en intensité, le bruit anthropique s’est étendu sur tout le globe