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2025
Alors que les grandes puissances militaires peaufinent leurs prochaines générations d’avions de combat, l’US Air Force vient de lever le voile sur certains détails de son futur bijou technologique : le F-47, un chasseur furtif de sixième génération promis à devenir le plus avancé jamais conçu.
2024 fut une année charnière pour le développement du secteur aérien. Depuis 2022, de nombreux d’acteurs se sont mobilisés autour du renouvellement des permis d’exploitation des 3 principaux aéroports du pays. En effet, ces permis d’exploitation arrivaient à échéance et les procédures de renouvellement pour les vingt prochaines années ont mobilisé de nombreux acteurs aux intérêts divergents.
Le Conseil de l’OACI, saisi par l’Australie et les Pays-Bas, a rendu une décision inédite sur la responsabilité d’un Etat membre dans un différend aérien. L’agence de l’ONU pour l’aviation civile, l’OACI, a estimé, lundi 12 mai, que la Russie était responsable de l’accident du MH17, abattu il y a dix ans au-dessus de l’Ukraine, tuant 298 passagers et membres d’équipage. Il s’agit de la première décision du conseil de l’organisation « sur le bien-fondé d’un différend entre Etats membres ».
Dans un contexte de tensions croissantes autour de Taïwan, la Chine poursuit un objectif ambitieux : renverser l’équilibre aérien dans la région du Pacifique. Le développement du chasseur de sixième génération J-36, qui repousse les limites de l’aviation navale, pourrait jouer un rôle déterminant, en permettant à Pékin de repousser l’espace aérien américain jusqu’à 1 000 kilomètres de ses côtes.
Des scientifiques chinois travaillent sur une technologie aussi impressionnante que risquée : permettre à un avion de chasse furtif de sixième génération, le J-36, d’atterrir en toute sécurité sur un porte-avions… même en pleine mer agitée. Ce défi colossal pourrait bien redéfinir la manière dont les puissances navales envisagent la guerre aéronavale dans les prochaines décennies.
Selon une étude de Transport & Environnement, les compagnies aériennes ont retrouvé leur niveau d'émissions de CO2 d'avant la crise du Covid. Près de 70 % de la pollution des avions échappent au marché carbone de l'UE.
Comme si de rien n’était. En 2024, le secteur européen de l’aviation a presque retrouvé ses niveaux d’avant l’épidémie de coronavirus. Selon une nouvelle analyse de Transport & Environnement, il a atteint 96% du nombre de vols et 98% des émissions de CO2 de 2019.
Les projets d’avions à hydrogène, qui permettraient de voler sans kérosène et donc de ne pas polluer les airs, peinent à voir le jour, raconte Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique au « Monde ».
Dans le cadre de la transition énergétique, l’aviation se tourne vers des e-fuels nécessitant des volumes importants d’électricité bas carbone pour être produits. Or, cette électricité est bien moins taxée que l’électricité destinée à des besoins « primaires », tels que le chauffage ou l'éclairage, comme le détaille mon étude publiée dans Climate Policy(1).
Le système innovant conçu par les chercheurs de Caltech repose sur un réacteur photothermocatalytique à petite échelle qui fonctionne exclusivement grâce à l’énergie solaire. Contrairement aux méthodes traditionnelles qui reposent sur l’électricité ou les combustibles fossiles pour produire du carburant, ce réacteur utilise la chaleur solaire pour déclencher les réactions chimiques nécessaires à la production de carburant pour avions.