Jean-Baptiste Fressoz

OA - Liste

2024

Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
Le média d'investigation De Olho Nos Ruralistas se veut comme la vigie de l'agrobusiness brésilien, de ses atteintes à l'environnement et de ses liens avec les sphères politiques.
Une enquête publiée ce mardi 25 juin par le consortium «Forbidden Stories» révèle que plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués. Tsahal a affirmé «ne pas blesser intentionnellement des journalistes».
70 % des journalistes environnementaux ont subi des agressions ou des menaces, dénonce l’Organisation des Nations Unies. Des reporters, cités dans le rapport présenté au Chili par l’ONU, se confient sur leurs vies chamboulées.
Traiter des sujets portant sur l’environnement est de plus en plus dangereux pour les journalistes, qui payent leurs enquêtes parfois de leur propre vie : 70 % d’entre eux ont été la cible d’attaques, de menaces ou de pressions depuis 2009.
Des correspondants et présentateurs travaillant pour des médias britanniques et américains dénoncent l’interdiction qui leur est faite de se rendre dans l’enclave, où ne sont présents qu’une poignée de médias étrangers.

2023

Au moins 65 journalistes ont été tués dans la guerre à Gaza depuis le début des attaques israéliennes, rapporte l'Institut international de la presse (International Press Institute, IPI).
De multiples voix s’élèvent depuis plusieurs semaines pour dénoncer le chiffre alarmant de journalistes tués à Gaza. 68 d’entre eux ont été tués depuis le 7 octobre : c’est ce que déclare la Fédération internationale des journalistes (FIJ) ce vendredi. Il s’agit d'"un massacre inédit ces trente dernières années", selon l’organisation. Sur invitation de la FIJ, et pour sensibiliser les députés européens au Parlement européen sur ces décès, le directeur du syndicat des journalistes palestiniens était à Bruxelles cette semaine.
Cinquante-trois journalistes et employés de médias ont été tués depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas le 7 octobre, selon le dernier décompte du Comité pour la protection des journalistes (CPJ), publié mardi.
Il appartient à l’ensemble des journalistes d’être à la hauteur du défi que représente l’emballement du climat pour les générations actuelles et à venir. Face à l’urgence absolue de la situation, n…


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