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2025
Qatar: début mi-2026 des exportations de GNL issu de l'expansion du plus grand champ gazier au monde
- Afp,
Le Qatar commencera à exporter du gaz naturel liquéfié (GNL) issu de son projet d'expansion de production du plus grand champ gazier naturel au monde à la mi-2026, a annoncé mardi le géant national de l'énergie du pays. L'augmentation de la production sur ce champ, qui s'étend sous le Golfe jusqu'au territoire iranien, devrait porter la capacité de production totale du Qatar à 142 millions de tonnes par an d'ici 2030.
Le groupe français TotalEnergies a annoncé lundi l'acquisition de 5% de Western LNG, développeur d'un projet d'usine de gaz naturel liquéfié (GNL) prévue sur la côte pacifique du Canada, en Colombie-Britannique. Le pétrolier, qui se présente comme le 3e acteur mondial du GNL, a aussi signé un accord prévoyant l'achat pendant 20 ans de 2 millions de tonnes de GNL par an (Mt/an) provenant de la future usine de liquéfaction, sous réserve de la décision finale d'investissement du projet.
La première pierre de l'usine de gaz naturel liquéfié (GNL) Marsa LNG a été posée jeudi à Oman, un site qui doit notamment servir à alimenter le transport maritime, ont annoncé TotalEnergies et son partenaire local, la compagnie OQEP.
Le ministre de l'Energie du gouvernement Trump avait un message clair lundi à Houston, au Texas, où les énergéticiens sont rassemblés: il est temps de redonner la priorité à la production d'énergies fossiles plutôt qu'à la lutte contre le réchauffement climatique. S'exprimant en ouverture de la CERA Week, un événement professionnel majeur, Chris Wright a évoqué l'abandon de certaines normes ou les efforts du président américain pour promouvoir le gaz naturel liquéfié (GNL) comme exemples de changements par rapport à la présidence de Joe Biden, dont il s'est moqué.
Le gouvernement irlandais a donné son feu vert mardi pour le développement d'un tout premier terminal de gaz naturel liquéfié (GNL), qui servira de source alternative de gaz et de réserve d'urgence en cas de perturbation de l'approvisionnement.
La France, un des pays européens les mieux dotés en terminaux de gaz naturel liquéfié (GNL), a augmenté de 81 % ses importations de GNL russe entre 2023 et 2024 et versé 2,68 milliards d'euros à la Russie, rapporte le centre de réflexion IEEFA mardi.La France pèse autant dans les importations de GNL parce qu'elle exploite notamment cinq terminaux de regazéification, décrypte Ana Maria Jaller-Makarewicz, analyste à l'Institute for Energy Economics and Financial Analysis.
Alors que l’Union européenne tente de se défaire de ses exportations de gaz russe, les importations françaises de GNL ont fortement augmenté en 2024. La France étant particulièrement bien équipée pour réceptionner en terminaux méthaniers.
2024
De nombreux pays dans le monde - dont la France - ont recours aux navires méthaniers pour pourvoir à leur approvisionnement en gaz. Les navires transporteurs de gaz naturel liquéfié (ou GNL, soit du gaz naturel sous forme liquide), accueillent et déchargent le fret de gaz dans des terminaux méthaniers. Ces installations portuaires sont spécialement équipées pour la réception et le stockage du GNL, ainsi que son acheminement vers les points de consommation.
L'Ukraine a reçu vendredi son premier lot de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance des États-Unis, alors qu'un important accord permettant le transit de gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine arrive à expiration.Malgré la guerre, Moscou continuait à acheminer du gaz via l'Ukraine dans le cadre d'un accord de plusieurs milliards d'euros, que Kiev a annoncé refuser de renouveller après son expiration à la fin de l'année.
Les soixante-trois projets de terminaux d’exportation de GNL prévus d’ici à 2030 pourraient émettre plus de 10 milliards de tonnes de CO2 à cet horizon, quasiment l’équivalent des émissions annuelles des centrales à charbon, selon l’ONG Reclaim Finance.
La Lituanie a célébré vendredi l'acquisition formelle d'un terminal flottant de gaz naturel liquéfié (GNL), une nouvelle étape sur le parcours de ce pays balte visant à mettre fin à sa dépendance vis-à-vis du gaz russe.Baptisé Independence, le terminal a déjà été exploité pendant dix ans sur la base d'un contrat de location. Il est considéré dans ce pays balte comme une pierre angulaire de sa stratégie de sécurité énergétique.
Le gaz naturel liquéfié (GNL), ressource très disputée dans le monde, est souvent présenté comme une énergie de "transition" pour remplacer le charbon, terriblement polluant. Mais son bilan climatique est alourdi par sa production très gourmande en énergie et les fréquentes fuites de méthane dans l'air.Pourquoi le GNL a-t-il le vent en poupe ?En 2024, la demande mondiale de gaz devrait augmenter de plus de 2,5% à un nouveau record historique, soutenu par les besoins de GNL, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Des images satellite montrent que deux méthaniers ont accosté, en août, au port d’Arctic LNG 2, un méga-projet russe de production de gaz naturel liquéfié (GNL) sanctionné par les États-Unis. Transmission de fausses coordonnées GPS, liens avec des sociétés opaques supposément basées à Dubaï : ces navires pourraient faire partie d’une “flotte fantôme” en développement pour exporter le GNL et contourner les sanctions. Le 23 août, les États-Unis ont ajouté les deux méthaniers à leur liste de sanctions.
Le Canada dispose actuellement de 7 projets d'infrastructures pour exporter du gaz naturel liquéfié (GNL). Une contradiction avec les objectifs climatiques du pays qui présente de nombreux autres risques selon une note d'Ember publiée ce 9 juillet.Une demande mondiale « incertaine »La consommation mondiale de gaz pourrait atteindre un pic d'ici la fin de la décennie, selon le scénario tendanciel « STEPS » de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) basé sur les politiques annoncées à ce jour.
Extension de droits d'extraction de gaz, usine de liquéfaction et parc solaire pour l'alimenter: TotalEnergies a annoncé lundi des investissements supplémentaires dans le sultanat d'Oman pour produire du GNL, avec à la clé un contrat de plus de 500 millions d'euros pour Technip Energies.Depuis 2021, TotalEnergies s'est allié à la compagnie pétrolière nationale de ce pays stratégique du Golfe, OQ, pour créer une coentreprise qui produit du gaz naturel à partir du champ Mabrouk North-East, sur lequel elle aura désormais des droits jusqu'en 2050, selon un communiqué.
Les autorités congolaises et le groupe italien d'hydrocarbures Eni ont lancé mardi près de Pointe-Noire (sud du Congo) la production de gaz naturel liquéfié (GNL), en grande partie destiné à l'exportation, a constaté un journaliste de l'AFP.Sur le site de Litchendjili, près de la capitale économique et pétrolière du Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou-Nguesso, en compagnie du PDG d'Eni Claudio Descalzi, a ouvert une vanne, symbolisant le démarrage de cette production.
La décision de Joe Biden de retarder les nouveaux projets d'infrastructures gazières au nom de la "menace" climatique n'aura pas d'effet à court terme pour l'Europe, accro au gaz américain depuis la guerre en Ukraine, mais pourrait avoir des effets dans la prochaine décennie.Applaudi comme une "victoire" par les ONG anti-énergies fossiles, le plan a été accueilli froidement par une industrie gazière en pleine euphorie.
Le gaz liquéfié (GNL), dans lequel TotalEnergies notamment investit beaucoup, a aussi un impact sur le réchauffement climatique, pouvant même parfois "saper le bénéfice d'une conversion du charbon vers le gaz", a mis en garde lundi la climatologue Valérie Masson-Delmotte, interrogée au Sénat.
C'est une victoire majeure pour le climat. Joe Biden a annoncé ce vendredi 26 janvier qu'il instaurait un moratoire sur les nouveaux terminaux de gaz naturel liquéfié (GNL) en raison notamment de l'impact de cette énergie fossile sur le climat. Alors que les États-Unis sont devenus le premier exportateur mondial de GNL, cette décision lance la campagne présidentielle sur le thème de l'écologie.
Le gouvernement américain a annoncé vendredi un moratoire sur la construction de nouveaux terminaux d'exportation de gaz naturel liquéfié (GNL), le temps d'évaluer notamment leur impact sur l'environnement, un coup d'arrêt pour une industrie en pleine accélération."A mesure que les exportations augmentent, nous devons examiner les demandes d'exportation à la lumière des analyses les plus récentes sur le plan économique, environnemental et de la sécurité nationale", a déclaré la ministre de l'Energie, Jennifer Granholm, lors d'une conférence téléphonique.