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2025
Le mouvement islamiste palestinien a affirmé avoir remis toutes les dépouilles auxquelles il avait pu accéder, soit neuf sur un total de 28. Il assure que la « récupération et l’extraction » des autres « nécessitent des efforts considérables et un équipement spécial ».
Les termes de l’accord entre le mouvement islamiste et l’Etat hébreu prévoyaient que tous les otages, vivants ou morts, seraient remis dans les soixante-douze heures suivant la mise en application du cessez-le-feu. Dix-neuf dépouilles manquent encore.
Washington souhaite que le Japon cesse ses importations de produits énergétiques russes, a déclaré mercredi le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, peu après l'annonce par Donald Trump que l'Inde allait arrêter ses achats de pétrole auprès de Moscou.
Selon le récent rapport d’un think tank français, la consommation électrique des data centers devrait tripler d’ici cinq ans. L’une des principales causes de cette forte hausse est l’essor de l’intelligence artificielle. Or, les géants du secteur semblent ne pas avoir d’autre choix que de relancer l’exploitation et l’utilisation d’énergies fossiles comme le charbon et le gaz pour combler cette hausse.
Des sites de production de gaz en Ukraine ont été mis à l'arrêt jeudi après une nouvelle vague de frappes russes, qui mettent sous pression le réseau énergétique à l'approche de l'hiver. La Russie a multiplié depuis plusieurs semaines les tirs de drones et missiles sur les infrastructures électriques et gazières, ainsi que sur le réseau ferroviaire en Ukraine, provoquant des coupures de courant dans quasiment tout le pays.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a exigé ce jeudi 16 octobre la restitution des 19 dépouilles restées dans l’enclave palestinienne.
Le Hamas a étendu mardi sa présence dans la bande de Gaza en ruines, menant une campagne de répression et exécutant des "collaborateurs" présumés, à l’heure où Donald Trump a affirmé que Washington désarmerait le mouvement palestinien s’il ne le faisait pas lui-même.
Le ministre israélien des Finances Bezalel Smotrich, a appelé à la construction de colonies juives dans la bande de Gaza. Selon le ministre d'extrême-droite, cela constituerait la prochaine étape, maintenant que tous les otages israéliens encore en vie ont été libérés, rapporte la presse israélienne.
Les importations russes ont connu une hausse de 113,5% par rapport à l'année dernière.
Le président américain a savouré son triomphe après un échange d’otages et de détenus entre Israël et le Hamas. Sans lever toutes les zones d’ombre autour d’un plan de paix imposé au forceps.
La libération des 20 derniers otages israéliens retenus vivants à Gaza a donné lieu lundi à des scènes de liesse et un véritable soulagement. Trump s’est affiché en grand ordonnateur d’un nouveau Moyen-Orient pacifié, mais la suite des négociations en Egypte pourrait révéler les limites des méthodes brutales du président américain.
La première étape du plan de paix impulsé par Donald Trump doit encore être finalisée. Il faudra ensuite rebâtir une nouvelle autorité politique à Gaza et reconstruire, à peu près tout. À Gaza, les bombardements israéliens ont tout broyé. Des immeubles transformés en poussière, des hôpitaux éventrés, des routes effacées. Selon les estimations de l’ONU, plus de 60% des logements ont été détruits ou gravement endommagés.
Une vingtaine de pays se sont rangés derrière le président américain, soucieux de mettre en œuvre les étapes à venir de la reconstruction et de la gouvernance de la bande de Gaza, gage de paix durable.
Après avoir coordonné les échanges de prisonniers israéliens et palestiniens, le mouvement islamiste reprend progressivement le contrôle de l’enclave palestinienne face à des milices rivales.
S’il n’est accompagné par aucun effort diplomatique significatif, le succès incontestable obtenu le 13 octobre par Donald Trump, avec la libération des otages israéliens et l’arrêt des bombardements sur Gaza, ne sera qu’un retour à la situation qui prévalait à la veille du 7 octobre 2023.
On voit sur ces images qui n’ont pas encore été authentifiées, huit hommes les mains liées dans le dos et les yeux ou la tête bandés, se faire traîner sur une place, être mis à genoux, et alignés avant de se faire abattre.
La paix signée, les otages libérés… Ce mardi était le jour 1 de l’après-guerre. Gaza n’est pas seulement en ruines : elle est le théâtre d’une recomposition violente du pouvoir local. Dans les zones dévastées, des clans puissants s’affrontent pour contrôler l’accès à l’aide, les trafics, les ruines à reconstruire. Dans certaines ruelles de Khan Younis ou Gaza-ville, des escarmouches éclatent entre milices, des groupes qui, hier périphériques, essaient désormais de s’imposer comme autorité locale. Des conflits qui vont nourrir le plan Trump qui prévoit une supervision de l’autorité par des puissances étrangères et surtout par les États-Unis.
L’armée israélienne a annoncé lundi matin que sept otages libérés par le Hamas avaient « franchi la frontière et regagné le territoire israélien ». Treize autres doivent être libérés en échange de deux mille prisonniers palestiniens, conformément à l’accord de paix conclu entre les parties.
Journée historique au Proche-Orient. Treize nouveaux otages ont été remis par le Hamas à la Croix-Rouge, dans le cadre du plan de paix pour Gaza. Plus tôt à l’aube, sept Israéliens avaient déjà été libérés, marquant la première étape de cet accord qui prévoit également la libération de prisonniers palestiniens par Israël. Le président américain Donald Trump, actuellement en escale en Israël pour s’entretenir avec Benyamin Netanyahou, rejoindra ensuite Charm el-Cheikh, où doit se tenir dans l’après-midi un sommet pour la paix.
Plus de deux ans après l’attaque terroriste du 7 Octobre, le Hamas a libéré ce lundi 13 octobre les 20 derniers otages vivants sur les 251 personnes enlevées. «Libé» dresse leurs profils.