2025
Le Hamas a annoncé vers 9h30 ce dimanche avoir publié les noms de trois otages israéliennes devant être libérées dans l'après-midi. Israël annonce dans la foulée que le cessez-le-feu avec le Hamas entre en vigueur à 10h15, heure belge. Le début de la trêve avec le Hamas a été reporté en raison de l'absence de cette liste d'otages à fournir par le mouvement palestinien, avait indiqué ce dimanche matin le porte-parole de l'armée israélienne.
Après 15 mois de guerre dans la bande de Gaza, Israël a annoncé dimanche la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu avec le Hamas. Le retard est lié à la publication par le Hamas du nom des otages devant être libérées ce jour.
Même si l’arrêt des violences semble fragile, la libération des trois premières otages israéliennes après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu dimanche à Gaza fait naître un espoir dans un Proche-Orient en plein bouleversement.
Sous l’égide des États-Unis, du Qatar et de l’Egypte, l’accord entre Israël et le Hamas prévoit la libération des 98 otages aux mains du Hamas et, à terme, la reconstruction de l’enclave.
Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages, mettant fin à 15 mois d'une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien, a annoncé une source proche des discussions. Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi soir que des questions restaient "à régler" dans l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas mais qu'il espérait conclure "cette nuit".
Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées jeudi dans la bande de Gaza par des frappes israéliennes, dont le chef de la police du Hamas, Mahmoud Salah, et son adjoint Hussam Shahwan, a annoncé le porte-parole de la Défense civile.
2024
Un bébé de trois semaines est mort ce dimanche 29 décembre en raison du froid, ont annoncé les autorités sanitaires de l’enclave, alors que le dernier hôpital fonctionnel du nord de la bande a été bombardé et vidé.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.
Le ministère de la Santé du Hamas pour Gaza a averti vendredi que tous les hôpitaux du territoire palestinien devraient cesser ou réduire leurs activités "sous 48 heures" faute de carburant dont l'entrée est bloquée, selon lui, par les autorités israéliennes.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé que la mort du chef du Hamas marquait « le début de la fin » de la guerre menée depuis plus d’un an dans la bande de Gaza.
Après onze mois de guerre d’usure, septembre 2024 a vu une nette intensification du conflit, qui semble désormais impliquer plus que jamais la plupart des alliés régionaux de l’Iran face à Israël.
« 7-Octobre, un an après. » Les mineurs, les femmes et les personnes de 60 ans et plus représentent plus de 60 % des 41 870 morts recensés par les autorités de santé de l’enclave palestinienne.
L’obstination du premier ministre de l’Etat hébreu et de ses alliés dans la guerre qu’ils mènent à Gaza et au Liban va à l’encontre des intérêts à long terme de son pays, explique l’historien israélien, dans une tribune au « Monde ».
Depuis le début de la guerre contre le Hamas à Gaza et le Hezbollah dans le Sud-Liban, l’armée israélienne a renforcé ses opérations de brouillage des télécommunications. Et notamment des signaux GPS qui permettent de guider les missiles et drones. Quitte à perturber profondément la vie quotidienne des Libanais et des Israéliens.
Un document, publié le 16 septembre égrène sur 649 pages la liste des morts identifiés au 31 août, et souligne le lourd tribut payé par les moins de 18 ans. En mai, les autorités israéliennes annonçaient quant à elles « la mort de 14 000 terroristes et de probablement 16 000 civils ».
La Défense civile de Gaza a fait état dans la nuit de lundi à mardi de la mort de 40 personnes dans une attaque israélienne sur la zone humanitaire d'Al-Mawasi à Khan Younès, Israël soulignant avoir visé un "centre de commandement" du Hamas.
La guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas palestinien est entrée samedi dans son 12e mois sans signe de répit dans les bombardements meurtriers israéliens et sans espoir d'une trêve rapide ou d'une libération des otages.
Une enquête internationale pour "crimes de guerre" doit être ouverte contre l'armée israélienne, qui a détruit de manière "injustifiée" des quartiers entiers de Gaza le long de la frontière de l'enclave palestinienne avec Israël afin d'y créer une zone tampon, réclame Amnesty international jeudi.
Professoral, une baguette à la main, Benjamin Netanyahou pointe un fin trait bleu sur une carte géante de la bande de Gaza. Un fin trait d’une importance capitale, défend le Premier ministre israélien. "La réalisation des objectifs de la guerre passe par le couloir de Philadelphi", assène-t-il, lors d’une conférence de presse donnée ce lundi 2 septembre. "Nous ne quitterons pas Philadelphi".