2025
Le gouvernement australien a annoncé un financement supplémentaire de 1,2 milliard d'euros pour sa "banque verte", afin d'accélérer la transition vers les énergies renouvelables.Une capacité d'investissement totale dépassant 31 milliards d'euros"Nous construisons l'avenir de l'Australie", a déclaré jeudi dans un communiqué le Premier ministre travailliste Anthony Albanese.
Après l'annonce par Donald Trump d'un nouveau retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat, le milliardaire américain Michael Bloomberg s'est engagé jeudi à contribuer, à la place du gouvernement, à un financement international pour le climat.
L’ancien maire de New York a décidé de supplanter le gouvernement américain et de contribuer lui-même aux politiques environnementales mises à mal par les décrets anti-écolo de Donald Trump.
Le projet, porté par Open AI, accompagné par l’investisseur SoftBank et le gestionnaire de données Oracle, a pour ambition d’accompagner les énormes besoins de stockage exigés par l’innovation sur l’intelligence artificielle.
As authorities declared 2024 the hottest on record, a key private sector climate alliance, the Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ) abandoned a requirement that members be aligned to the Paris agreement. That was followed by a network of net zero asset managers suspending work, and deleting from its website its statement of commitments that members must adopt, after BlackRock, the biggest of them all, quit its ranks.
Le politologue Edouard Morena revient sur la 5e édition du Building Bridges, le sommet de la finance durable organisé à Genève en décembre dernier – «Un pont qui donne l’illusion de solidité et de progrès mais qui est inadapté face au choc climatique en cours». Décryptage.
Les pays développés de l'OCDE ont échoué à trouver un accord sur l'arrêt progressif des mesures publiques de soutien financier aux industries fossiles, à quelques jours de l'investiture du climatosceptique Donald Trump à la Maison-Blanche.
L'année 2025 s'annonce décisive pour les sujets climat et biodiversité. La COP30 sur le climat qui se tiendra au Brésil coïncidera avec les dix ans de l'Accord de Paris. Les pays devront revoir leurs engagements à la hausse. En 2025, la COP16 Biodiversité devra aussi s'achever sur un accord, tandis que des conférences se tiendront sur les océans et le financement du développement.
2024
Au Brésil, l’agro-industrie accusée d’avoir financé un complot visant à assassiner le président Lula
- Anne-Dominique Correa
L’ancien ministre de la défense de Jair Bolsonaro aurait reçu de l’argent « de personnes de l’agronégoce » pour un projet d’élimination du président Lula, de son vice-président et d’un juge du Tribunal suprême fédéral, selon l’ancien aide de camp de l’ex-président d’extrême droite.
Alors que les députés wallons doivent approuver, ce mercredi, le budget 2025 de la Région, les associations environnementales Canopea, Natagora et WWF appellent à nouveau le gouvernement wallon à établir un plan de financement à l’horizon 2030 "qui devra se baser sur un inventaire clair des dépenses actuelles allouées à la biodiversité ainsi que sur une estimation du déficit à combler pour arriver aux objectifs et obligations internationales et européennes en matière de biodiversité d’ici à 2030".
In the lead-up to COP29, Fausto Corvino emphasized the need for a paradigm shift within the international climate negotiations to ensure that the global rich bear a greater responsibility for climate finance. In this follow-up article, he explains why COP29 has failed in its historic mission to lay the foundations for a rapid and equitable global transition to low-carbon energy....
La COP29 s'est terminée sur un goût amer, les pays en développement n'ayant pas obtenu un montant d'aide climatique au niveau espéré. Une déception qui risque de réduire leurs ambitions futures en matière de réduction de gaz à effet de serre, estiment plusieurs experts.Selon l'accord de Paris, les Etats doivent présenter tous les cinq ans leur plans d'actions climatiques au travers des "contributions déterminées au niveau national" (NDC). La troisième salve de révision, avec des objectifs à 2035, doit être publiée d'ici février.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a affirmé qu'Israël devrait "conquérir" la bande de Gaza et réduire de moitié la population palestinienne locale par "une émigration volontaire".
La promesse des pays riches à la COP29 de débloquer 300 milliards de dollars par an de finance climatique pour les pays pauvres a suscité leur colère, mais elle témoigne également d'une évolution des réalités politiques mondiales. Les deux semaines marathon de la COP à Bakou se sont ouvertes quelques jours après l'élection à la présidentielle américaine de Donald Trump, qui affiche son scepticisme aussi bien sur la question du climat que celle de l'aide internationale.
Le dérèglement climatique menace la planète, ses habitants, sa biodiversité et ses économies. Lors de la COP21 en décembre 2015 à Paris, 195 pays se sont engagés à limiter l’élévation des températures sur terre à moins de 2 °C. Concrétiser cet objectif suppose que les États et les entreprises prennent des engagements très précis et vérifiables. Mais où trouver l’argent pour engager dès maintenant cette transition énergétique alors que la finance reste rivée à des obligations de rendements rapides et élevés et que les acteurs publics et privés sont lourdement endettés ?
Faute d'accord sur l'objectif de financement, la conférence sur le climat est entrée dans les prolongations. "Franchement, c'est assez navrant", réagit Lucie Basch, cofondatrice de l'application Too Good To Go.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
Des émissaires des pays développés sont réunis cette semaine à l'OCDE pour discuter de l'arrêt d'un soutien financier public aux industries fossiles, espérant une évolution de la position américaine avant l'arrivée du climatosceptique Donald Trump à la Maison Blanche en janvier.Ces discussions qui ont démarré lundi se poursuivent jusqu'à jeudi auprès de l'Organisation de coopération et de développement économiques, basée à Paris, "mais il est possible qu'elles se poursuivent après", a indiqué à l'AFP une source proche des négociations.
A trois jours de la clôture officielle de la COP29, les négociations sont toujours enlisées autour du nouvel objectif de financement climat.
Depuis Bakou, les délégués et ONG présents à la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) ont relevé des avancées sur la finance climatique dans la déclaration finale des dirigeants du G20 réunis à Rio dans la nuit de lundi à mardi, sans y voir d'impulsion décisive.Mais ils ont en revanche souligné clairement leur déception face à l'absence d'engagement à accélérer la transition vers l'abandon des énergies fossiles, une formulation qui était un acquis de la COP28 de Dubaï l'an dernier et n'a pas été repris à Rio.