Jean-Pascal Van Ypersele

OA - Liste

2025

Le président américain Donald Trump a proposé de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l'Egypte et la Jordanie dans le cadre d'un plan de paix consistant à "faire le ménage" dans le territoire palestinien, où la trêve entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans sa deuxième semaines.

2024

Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mercredi la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens dans les "12 mois" et appelé à des sanctions contre Israël, en colère contre cette résolution non contraignante, la qualifiant de "cynique".
Cette résolution non contraignante, adoptée mercredi, a provoqué la colère d’Israël, la qualifiant de « cynique ».
Les autorités du Hamas parlent d’une centaine de morts après une attaque samedi matin contre une école. Israël affirme qu’elle abritait un centre de commandement du mouvement armé palestinien.
« Les témoignages recueillis font état d’une série d’actes épouvantables tels que la simulation de noyade et le lâcher de chiens sur des détenus », selon le haut-commissaire aux droits de l’homme des Nations unies, Volker Türk.
L’avis rendu par l’organe judiciaire de l’ONU n’est pas contraignant, mais pourrait accroître la pression juridique croissante sur l’Etat hébreu concernant la guerre dans la bande de Gaza.
L’ONG publie ce mercredi un rapport dans lequel elle relate de nombreux crimes, notamment «contre l’humanité», perpétrés contre des civils lors de l’attaque terroriste en Israël. Des faits imprescriptibles au regard du droit international.
Des groupes armés palestiniens de Gaza ont commis "des centaines" de crimes de guerre lors de l'attaque sans précédent du 7 octobre en Israël, selon Human Rights Watch (HRW), qui a publié, mercredi, un rapport sur le sujet, aussitôt démenti par le Hamas.
L'ONU a dénoncé mercredi des informations faisant état d'abus "inacceptables" voire de tortures subies par des détenus palestiniens depuis l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre et la guerre à Gaza, et exigé une enquête.
Israël continue de bombarder la bande de Gaza mardi, émettant des ordres d'évacuations qui ont contraint des centaines d'habitants à fuir à nouveau plusieurs secteurs du sud du territoire palestinien, déjà dévasté par près de neuf mois de guerre. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) estime "qu'environ 250 000 personnes ont été touchées par ces ordres".
Les pays membres de l’Organisation mondiale de la santé ont accordé samedi des droits supplémentaires aux Palestiniens, adoptant lors de l’Assemblée mondiale de la santé une mesure décidée la veille, sur le modèle de celle prise début mai par l’Assemblée générale des Nations unies.
L’Autorité palestinienne a accusé Israël d’avoir perpétré « un massacre » dimanche, en frappant un centre pour personnes déplacées à Rafah. L’attaque, qui a fait au moins 35 morts selon les autorités de Gaza, a été confirmée par l’armée israélienne, qui assure avoir visé « un quartier général du Hamas ».
Réuni en sommet à Manama, à Bahreïn, la Ligue arabe a appelé jeudi au déploiement de "forces internationales de protection et de maintien de la paix de l'ONU dans les territoires palestiniens occupés" par Israël jusqu'à la mise en place d'un État palestinien. Un appel qui coïncide avec l'annonce par Israël de son intention d'"intensifier" ses opérations au sol à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
L'établissement et l'expansion de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés relève "du crime de guerre" et "risque d'éliminer toute possibilité pratique d'établir un Etat palestinien viable", a mis en garde vendredi l'ONU.
Ils sont une "toute petite minorité", leur voix est quasiment inaudible, et ils le savent. Mais quelques dizaines de jeunes activistes israéliens ont malgré tout organisé jeudi un très symbolique convoi d’aide alimentaire vers la bande de Gaza, vite refoulé par la police.
Des soldats de Tsahal ont tiré à balles réelles sur des Palestiniens qui se ruaient sur des camions d’aide humanitaire à Gaza. Des sources israéliennes, qui ont confirmé ces tirs, ont indiqué que les soldats se sont sentis «menacés».
Israël a mené une opération nocturne à Rafah ce dimanche soir, devenue un gigantesque campement pour les réfugiés Palestiniens.
La suspension par plusieurs pays de leurs financements à l'Unrwa, l'agence des Nations Unies pour les réfugiés...