Jean-Pascal Van Ypersele

OA - Liste

filtre:
hybride

2025

Les enquêteurs s’interrogent sur l’implication de réseaux étrangers dans la multiplication récente d’actes antisémites à Paris.
Le gouvernement suédois a annoncé samedi instaurer à partir du 1er juillet de nouvelles règles renforçant le contrôle de navires étrangers, une mesure qui cible la "flotte fantôme" de la Russie en mer Baltique.
Selon la rédaction, ces couvertures dénigrent l’Ukraine, « la politique migratoire de l’Angleterre, ou colportent des rumeurs sur l’identité sexuelle de Brigitte Macron » et semblent « d’abord destinées au public russe ».
Ils sont dans le collimateur des espions américains, français, danois, allemands, suédois, estoniens... En tout, onze agences de renseignement et de sécurité informatique occidentales ont publié un rapport conjoint, mercredi 21 mai, sur la menace représenté par Fancy Bear, un groupe de pirates informatiques russes lié au GRU, le service russe de renseignement militaire.
La chercheuse en géopolitique Christine Dugoin-Clément, en revenant sur les actions non revendiquées, cyberattaques et autres campagnes de désinformation lancées par le régime de Vladimir Poutine depuis 2007, celui-ci a sapé avec efficacité l’ordre international.
Un navire de la "flotte fantôme" russe a effectué "des manœuvres suspectes à proximité d'un câble énergétique reliant la Pologne à la Suède", a affirmé mercredi le Premier ministre polonais. Des experts estiment que la Russie exploite une vaste "flotte fantôme" composée de centaines de navires, afin d'échapper aux sanctions imposées par les pays occidentaux sur ses exportations de pétrole en raison de la guerre en Ukraine. Plusieurs câbles sous-marins de la Baltique ont été endommagés l'année dernière, et de nombreux analystes estiment que cela fait partie d'une "guerre hybride" menée par la Russie contre les pays occidentaux.
Le feu avait détruit un centre commercial abritant près de 1 400 boutiques. Depuis l’agression russe contre l’Ukraine, Varsovie affirme être la cible de multiples actes de sabotage attribués à Moscou.
Le Quai d’Orsay a condamné, mardi soir, «les acteurs russes et leurs relais» à l’origine de dizaines d’opérations depuis l’été 2023, analysées dans un rapport de Viginum.
Les cas d'attaques de hackers nord-coréens en Europe se multiplient. Et la Belgique n'est pas épargnée.
Le renseignement militaire russe serait derrière le piratage de la campagne de Macron en 2017.