Kaya

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L’équation de Kaya

« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie,
décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de
ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais
Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie)
selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans
« Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2
énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité
énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.

la Commission a établi un système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre (SEQE-UE, ou ETS pour European Union Emission Trading System en anglais). Il s’agit d’une sorte de "bourse du carbone" qui concerne donc les émissions de CO2 ou autres gaz à effet de serre, et qui fonctionne dans tous les pays de l’UE, plus l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège.
Le concept de "zéro émission nette" se réfère aux gaz à effet de serre : il implique que toutes les émissions de gaz à effet de serre produites par les activités humaines doivent être retirées de l’atmosphère grâce à des mesures de réduction, jusqu’à ce que le bilan climatique net de la Terre soit équivalent à zéro, donc après avoir enlevé les diminutions naturelles et artificielles de CO2.
Le réchauffement climatique, la pollution, la déforestation, les guerres, les incendies : tous ces facteurs menacent la biodiversité. L’extinction des espèces végétales est très rapide, c’est pourquoi il est nécessaire de sauvegarder des échantillons de chacune de ces espèces, afin d’être certain de pouvoir les replanter si nécessaire.
Le géant dans le domaine de l’alimentation Nestlé admet dans une publication interne que plus de 60% des produits qu’il vend ne sont "pas conformes à la définition de la santé", selon le Financial Times, qui a consulté cette publication. De plus, Nestlé y admet que, quels que soient les efforts qui seront faits à l’avenir, certaines catégories de ses produits ne pourront jamais être considérées comme 'sains'.


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