« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie, décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie) selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans « Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2 énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.
La période de prudence commence ce 9 février. Cela veut dire que les partis politiques vont devoir limiter leurs dépenses en communication pendant quatre mois, notamment sur les réseaux sociaux. Quelles sont les publications les plus sponsorisées depuis les dernières élections et que révèlent-elles de la stratégie des partis ? Analyse à l’aide de données rassemblées par le collectif Adlens.
En 2023, les partis politiques ont dépensé 6 millions d’euros en publicités sur Facebook et Instagram, d’après les chiffres rassemblés par Adlens, un record depuis que le collectif collecte ces données. Le mouvement citoyen We Need To Talk en profite pour rappeler l’une de ses revendications : établir un plafond annuel des partis pour les dépenses des partis sur les réseaux sociaux.
Cette année, la frontière linguistique belge fête ses 60 ans d’existence. Enfin, en théorie, car les origines de cette frontière remontent en réalité à bien avant 1963. Découvrez huit anecdotes sur cette démarcation géographique et politique qui a transformé l’histoire de la Belgique.
Des traces d’insecticides se retrouvent auprès de neuf citoyens wallons sur dix et 23% des adolescents ont du glyphosate dans le sang. Voici les résultats de la première campagne de biosurveillance commandée par le gouvernement wallon et menée auprès de 800 Wallons.