Kaya

OA - Liste

L’équation de Kaya

« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie,
décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de
ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais
Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie)
selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans
« Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2
énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité
énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.

Des scientifiques ont découvert des organismes qu’on ne pensait jamais retrouver et qui représentent une étape cruciale dans le développement de la vie complexe sur Terre.
La Californie se prépare à lâcher des millions de moustiques génétiquement modifiés dans la nature, mais pour quoi faire ?
La dette d’extinction serait ce moment où les dégâts sont tels que rien ne peut arrêter la dégradation complète d’un milieu, d’une société, d’une civilisation. Selon lui, l’humain s’étant étendu sur l’ensemble de la planète et dominant toutes les parcelles de vie que la Terre peut offrir, nous arrivons à un trop-plein, notre espèce est trop dominante que pour continuer à exister de manière stable.
Les scientifiques s’en doutaient mais une étude est venue confirmer les craintes : de plus en plus d’éléphants naissent sans défenses pour se protéger des braconniers.
Les premiers hommes qui vivaient il y a 400.000 ans dans la région actuellement désertique de la péninsule arabique ont été aidés par les changements climatiques de l’époque pour pouvoir aller et venir hors d’Afrique.
Les régions d’Asie productrice de nombreux biens de consommation occidentaux (vêtements et chaussures) sont touchées par le variant Delta du coronavirus et risquent de ne plus pouvoir approvisionner les magasins dans quelques semaines.
Les régions d’Asie productrice de nombreux biens de consommation occidentaux (vêtements et chaussures) sont touchées par le variant Delta du coronavirus et risquent de ne plus pouvoir approvisionner les magasins dans quelques semaines.
Le rapport du GIEC, qui fait beaucoup parlé de lui, expose deux régions du monde qui sont devenues trop chaudes pour être habitables.
Une étude a analysé quels seraient les meilleurs endroits de la planète où se réfugier en cas d’effondrement de la société, il semblerait que les îles soient les mieux placées mais pas n’importe lesquelles !
La constitution génétique des personnes de cette région présente des preuves d’une épidémie, plus précisément dans les pays qui sont aujourd’hui : la Chine, le Japon, la Mongolie, la Corée du Nord et du Sud et Taïwan.
Le but : sauver la Terre. Le résultat : échec.
Que faire des tonnes de plastique qui pollue les océans, les rivières et la planète de manière générale ? Faisons-en des îles !
Pour la première fois depuis 3000 ans, des diables de Tasmanie sont nés dans la nature en Australie.
Des produits chimiques appelés phtalates provoquent la naissance de bébés humains avec des organes génitaux mal formés et plus petits. Un livre détaillant les défis auxquels la reproduction humaine est confrontée, écrit par le Dr Shanna Swan professeur de médecine environnementale et de santé publique au Mount Sinai Hospital de New York, livre ce constat effrayant : les pénis rétrécissent et les organes génitaux se déforment à cause de la pollution, comme l’explique The Independant. En 2017 déjà, le Dr Swan a co-écrit une étude qui révélait que le nombre de spermatozoïdes avait chuté de 59% en Occident entre 1973 et 2011. Elle étudie la question plus complètement dans son dernier ouvrage.


espace50x10 facebook