« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie, décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie) selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans « Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2 énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.
Après avoir consulté plus de 1000 jeunes de 16 à 30 ans en Fédération Wallonie-Bruxelles, le Forum des Jeunes publie son Avis sur l’éducation à l’environnement dans l’enseignement secondaire.
Depuis au moins la moitié du vingtième siècle, le paradigme de la ville reposait sur l'idée de nombreuses voitures circulant dans les rues.Soudainement, la pandémie a obligé les gens à se confiner pour éviter la propagation du virus. L'idée est de concevoir une ville "du quart d'heure". C'est-à-dire que l'urbanisme oeuvrerait davantage à s'assurer que les citoyens puissent facilement accéder aux services pour leurs besoins essentiels à 15 minutes de leur domicile,
Ce sont les êtres vivants qui ont progressivement créé l’environnement qui leur convient. Nous ne sommes pas tombés dans une nature opportunément favorable. Des générations d’êtres vivants ont concouru à la formation de l’atmosphère et de l’espace dans lequel nous évoluons. Cet espace est appelé Gaïa ou la « zone critique ». Il occupe environ deux kilomètres au-dessus de notre sol, et deux ou trois au-dessous.