« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie, décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie) selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans « Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2 énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.
Deux groupes de réflexion ont étudié vingt-quatre entreprises mondiales de l’industrie, des services et du commerce pour établir un palmarès de leurs stratégies de réduction des émissions de CO2.
Les républicains dénoncent les fonds qui intègrent des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance dans leurs investissements. Une dérive qui, selon eux, pénalise les épargnants et menace les majors du Big Oil, explique dans sa chronique Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».
L’utilisation par Vladimir Poutine des centrales ukrainiennes comme moyen d’intimidation des Occidentaux met en lumière la faiblesse des conventions internationales qui protègent ces installations civiles.
Pénuries de matières premières, tensions entre Etats, logistique défaillante… Pour l’Europe, l’accumulation de problèmes va rendre les objectifs de transition énergétique complexes et coûteux, relève Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde », dans sa chronique.