« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie, décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie) selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans « Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2 énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.
L’ensemble de la France métropolitaine est en alerte sécheresse et le niveau des fleuves, plus particulièrement de la Loire, s’approche de ses plus bas historiques par endroits.
La sécheresse met à mal les champs de pommes de terre très gourmandes en eau. Pas plus grandes que des balles de ping-pong, elles ne sont même plus commercialisables.
Météo-France a relevé des niveaux d’ensoleillement et un déficit de pluie historique pour un mois de juillet. Et cela alors qu’une nouvelle vague de chaleur s’installe sur le pays.
La communauté internationale craint que la Russie ne respecte pas l'accord, bloquant encore les exportations de céréales et privant certains pays d'Afrique de denrées essentielles.
Quatre marqueurs clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, a indiqué l'ONU, prévenant que le système énergétique mondial conduit l\'humanité à la catastrophe.
91% de la Grande Barrière de corail a subi un “blanchissement”. Ce phénomène lié au dérèglement climatique est le symbole de la disparition des coraux.
Comme le souligne franceinfo, l’archipel polynésien de 26 kilomètres carrés, divisé en neuf atolls, est menacé par la montée des océans. Pire: si le changement climatique se poursuit à son rythme actuel, les Tuvalu pourraient même avoir disparu dans moins de 50 ans, a alerté Géopolis. C’est le cas de nombreux autres archipels, îles et régions côtières, particulièrement vulnérables face à la montée des eaux.
Elisa Loncón et les nouveaux constituants issus de la société civile ont un maximum de 12 mois pour écrire une nouvelle Constitution avant de la faire valider par référendum.