« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie, décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie) selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans « Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2 énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.
Le réchauffement climatique a un impact sur la gravité et la durée des allergies aux pollens. Avec la hausse des températures, davantage de pollens sont libérés et ils sont plus allergisants.
Le changement climatique augmente le risque d’allergies. Sécheresse, floraison précoce, essences allergisantes et pollution créent un cocktail néfaste pour les personnes allergiques.
Les allergiques souffrent particulièrement cette année, en raison de conditions météorologiques ayant favorisé la dispersion de fortes concentrations de pollen. Une tendance qui devrait encore s’accentuer avec le réchauffement climatique.
Les résultats d’une étude publiée le lundi 8 février montrent que la saison pollinique en Amérique du Nord s’est considérablement allongée en trente ans. La concentration de pollen a également évolué, en partie à cause d’un climat plus chaud.