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Dans leur course au profit à tout prix, les entreprises du CAC 40 nous mènent droit vers un réchauffement climatique à +2,7°C. C’est que révèle le nouveau rapport d’Oxfam France « Une France à CAC 40 degrés : les investissements verts loin derrière les actionnaires ». Loin de respecter l’Accord de Paris, les grandes entreprises françaises continuent de privilégier la rémunération des actionnaires au détriment des investissements dans la transition.
Alors que se tient le Forum de Davos, notre rapport annuel sur les inégalités pointe une nouvelle fois la concentration extrême des richesses notamment entre les mains de certains actionnaires.
Alors que le Forum économique mondial de Davos, en Suisse, s'ouvre lundi et se tiendra jusqu'au 19 janvier, l'ONG Oxfam publie un nouveau rapport dénonçant le doublement du patrimoine des cinq plus grandes fortunes du monde depuis 2020.
Les ultrariches voient d’année en année leur poids financier grandir à la faveur de leur participation au capital de multinationales pendant que le patrimoine et les revenus cumulés de cinq milliards de personnes sur Terre ont reculé.
A dix jours de la COP28, l’ONG révèle dans un nouveau rapport sur les inégalités climatiques que les 1 % les plus riches émettent plus de CO2 que 66 % de la planète. «Libération» s’est penché sur ces multimilliardaires.
Les inégalités économiques sont aussi climatiques : selon un rapport de l’ONG Oxfam publié le lundi 20 novembre, l’“élite des pollueurs”, composée de quelque 77 millions de personnes les plus aisées du monde, était à l’origine de 16 % du total des émissions de gaz à effet de serre en 2019.
Bien qu’ils soient largement responsables de l’aggravation de la crise climatique en Afrique de l’Est, les pays riches n’ont versé à l’Éthiopie, au Kenya, à la Somalie et au Soudan du Sud que 2,4 milliards de dollars en financement du développement lié au climat en 2021. Ce montant est largement en-dessous des 53,3 milliards de dollars dont l’Afrique de l’Est a besoin chaque année pour atteindre ses objectifs climatiques d’ici 2030.
Dans une lettre publiée ce mercredi et relayée par Oxfam France, plus de 200 millionnaires demandent à payer plus d’impôts «pour notre bien commun».
« Chaque milliardaire représente un échec de politique publique », affirme l’organisation, qui propose dans un rapport de réduire par deux le nombre de milliardaires d’ici à 2030.
Alors que les ministres européens de l’Énergie se retrouvent ce vendredi à Prague pour débattre des propositions de la Commission, l’ONG plaide pour que davantage de grandes entreprises soient mises à contribution.
« L’intensification du changement climatique fait peser une pression croissante sur le système humanitaire, qui n’est plus en mesure d’apporter une réponse adéquate. » C’est ce qu’affirme la nouvelle étude sur « l’augmentation des besoins financiers humanitaires liés à des catastrophes climatiques extrêmes ces 20 dernières années » menée par Oxfam et publiée ce mardi 7 juin.
Alors que le forum de Davos est sur le point de débuter en Suisse, Oxfam publie une nouvelle étude pointant l'enrichissement exponentiel des plus puissants industriels, alors que 263 millions de personnes pourraient basculer dans la pauvreté en 2022.
Les entreprises de l’agroalimentaire, de l’énergie et de la pharmacie sont dans la ligne de mire de l’ONG, qui propose une taxation exceptionnelle sur les bénéfices de la pandémie.
Alors que la COP15 Désertification se tient jusqu'au vendredi 20 mai à Abidjan, en Côte d'Ivoire, plusieurs rapports ont été publiés sur l'état très inquiétant de la planète. Le plus récent, publié par Oxfam ce mercredi 18 mai, estime que la faim fait une victime toutes les 48 secondes en Afrique de l'Est. Si le continent est le plus touché par les épisodes de sécheresse, l'Europe n'est pas épargnée non plus avec une vague qui frappe actuellement la France.
La fortune des milliardaires a plus augmenté depuis le début de la pandémie qu’en une décennie. Il s'agit même de "la plus forte augmentation jamais enregistrée" selon Oxfam, qui a dévoilé lundi son dernier rapport sur les inégalités mondiales. En France, de mars 2020 à octobre 2021, la fortune des milliardaires a augmenté de 86 %.
De nombreuses ONG ont exprimé leur déception à l'issue de la COP26 de Glasgow, samedi soir, jugeant l'accord décevant même s'il laisse une étroite fenêtre pour limiter le réchauffement climatique à +1,5°C, comme le prévoit l'accord de Paris.
L’empreinte carbone des 1% les plus riches de la population mondiale sera 30 fois supérieure au seuil par habitant fixé par l’Accord de Paris pour limiter le réchauffement à 1,5 °C d’ici 2030, dénonce une nouvelle étude publiée vendredi par Oxfam. Les émissions de CO2 des 50% les plus pauvres devraient quant à elles rester bien inférieures à cette limite, précise l’organisation internationale.
D’après une nouvelle étude (1) publiée le 5 novembre, l’empreinte carbone des 1 % les plus riches de la planète sera 30 fois supérieure en 2030 à celle compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, objectif inscrit dans l’Accord de Paris. Ces chiffres sont publiés alors que les délégués du monde entier tentent de maintenir en vie cet objectif à la COP26 de Glasgow.
La Belgique importe des agrocarburants de 67 pays, sans que cela ne nuise aux populations des pays producteurs d’après nos autorités. Fruit de plusieurs mois de recherche dans le nord du Pérou, notre enquête prouve pourtant qu’ils causent déforestation, accaparement de l’eau et des terres et violations des droits humains.
La crise climatique est une réalité et les phénomènes climatiques extrêmes se multiplient aussi en Belgique. Chaque dixième de degré compte et nous devons tout faire pour limiter les dégâts. Après un an et demi, le mouvement climatique est de retour avec une énorme marche pour le climat à Bruxelles. Plus de 80 organisations de tout le pays y participent dont Greenpeace, le CNCD-11.11.11, Oxfam, syndicats, mouvements de jeunesse et citoyens, ...
ces programmes « zéro émission nette » peuvent se révéler beaucoup moins verts qu’ils n’y paraissent. Gourmands en terres, ces derniers pourraient entraîner une hausse de 80 % du prix des denrées alimentaires et une aggravation de la faim dans le monde, tout en permettant aux pays riches et aux entreprises d’entretenir un statu quo néfaste pour l’environnement. L’ONG Oxfam tire la sonnette d’alarme avec son dernier rapport « Pas si net »
À moins de 100 jours de la Conférence des Nations Unies sur le climat à Glasgow, les gouvernements et les entreprises doivent accorder beaucoup plus d'importance à une réduction drastique et rapide des émissions de carbone à court terme. Au stade actuel, l'objectif zéro émission nette constitue un moyen dangereux de faire diversion face à cet impératif de réduction, affirme l'organisation humanitaire Oxfam dans un rapport publié mardi.
Les programmes « zéro émission nette », gourmands en terres, pourraient entraîner une hausse de 80 % du prix des denrées alimentaires et une aggravation de la faim dans le monde, tout en permettant aux pays riches et aux entreprises d’entretenir un statu quo néfaste
Alors que l'Agence des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) doit publier, lundi 12 juillet, un rapport sur l'état de la sécurité alimentaire dans le monde, l'ONG Oxfam révèle dans un rapport rendu public vendredi que le nombre de personnes en situation de famine a été multiplié par six depuis le début de la pandémie.
Plus de 500 000 personnes se trouvent « dans des conditions proches de la famine », soit six fois plus qu’en 2019. D’ici la fin de l’année, onze personnes pourraient mourir de faim chaque minute.
Un nouveau rapport d’Oxfam, publié le 9 juillet, précise que, sans action immédiate, 11 personnes pourraient mourir de faim et de malnutrition chaque minute d’ici la fin de l’année. Ce taux est plus élevé que celui de la mortalité mondiale actuelle due au Covid-19 qui est d’environ sept personnes par minute. Le rapport, intitulé « Le virus de la faim se propage », indique que les conflits restent la principale cause de la faim depuis la pandémie, poussant plus d’un demi-million de personnes dans des conditions proches de la famine, soit six fois plus qu’en 2020.
Le Covid-19 a plongé dans le rouge les économies du monde entier. Les pays du G7, regroupant les plus grands États industriels, ont d'ailleurs débloqué des plans de relance sans précédent pour y faire face. Mais cette crise économique n'est qu'un aperçu de ce que les pays subiront face au changement climatique. Une récente étude de Swiss Re et Oxfam montre que les économies du G7 pourrait se contracter de 8,5 % par an en moyenne d'ici 2050, soit deux fois plus que lors de la pandémie.
Parmi les 25 grandes propositions présentées, le collectif exige notamment des objectifs contraignants en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour l’Etat et pour les entreprises, et une conditionnalité sociale et écologique appliquée à toute aide publique versée aux entreprises. Plus Jamais Ca appelle aussi à la création de centaines de milliers d’emplois dans la transition écologique et sociale. Pour mener à bien cette transition, le rapport suggère que soient taxées les multinationales les plus polluantes et les plus riches, grands profiteurs de la crise.
Les banques sont au cœur de l’économie. Par les choix d’investissements ou de financements qu’elles font, c’est tout un modèle de société qu’elles façonnent. En apportant des soutiens financiers à des entreprises, projets, particuliers ou États, en France ou à l’international, les banques sont responsables d’émissions de gaz à effet de serre.
On estime qu’en 25 ans (1990-2015), nous avons émis autant de CO2 qu’en 139 ans (1850-1989) ! Dans le même temps, les inégalités en matière d’émissions de CO2 se sont renforcées. Le dernier rapport d’Oxfam révèle ainsi que les 1% les plus riches émettent deux fois plus de CO2 que la moitié la plus pauvre de l’humanité.
Si nos décideurs politiques veulent véritablement nous faire basculer dans un monde d’après plus sensible à l’enjeu du climat, l’heure n’est plus à l’incitation mais à l’exclusion des entreprises ne respectant par l’Accord de Paris, plaide Alexandre Poidatz (Oxfam).

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