Les Soulèvements de la Terre

OA - Liste

facebook espace50x10

veille documentaire
obsant.eu/lst

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.

espace50x10

Résultats pour:
carburants
La hausse de la production de carburants d'aviation durables (SAF) en 2024 s'avère inférieure aux projections, a regretté mardi la principale association de compagnies, dont les membres comptent majoritairement sur ces produits pour décarboner leurs activités.0,7% du carburant consommé par les avionsEn 2024, la production de ces carburants d'origine non fossile ("sustainable aviation fuels", SAF en anglais) atteindra 1,3 milliard de litres contre 600 millions en 2023, a souligné l'Association internationale du transport aérien (Iata) dans un communiqué.
Selon une étude, les subventions accordées aux voitures de société à essence et diesel coûtent 42 milliards d'euros par an aux contribuables de l'UE.
Prix élevés, demande trop faible, incertitudes : la production de carburants aériens durables en Europe traverse une zone de turbulences.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, candidate à un second mandat, défend la technologie des carburants de synthèse pour atteindre l'objectif de neutralité climatique des automobiles en 2035, un moyen de prolonger l'utilisation des moteurs thermiques, selon un document publié jeudi.Une concession confirmée par Ursula von der LeyenL'Union européenne a validé au printemps 2023 l'obligation imposée aux automobiles neuves de ne plus émettre de CO2, mesure centrale du plan climat des Vingt-Sept.
Le plus gros parti au Parlement européen désire revoir la mesure concernant l'interdiction des moteurs thermiques dès 2035.
Ces produits, essentiellement destinés au continent africain, contiennent en effet des niveaux trop élevés en souffre, en manganèse et/ou en benzène, nocifs pour la santé et l'environnement.
Les principales compagnies aériennes européennes ont appelé mercredi à s'inspirer des mesures prises aux Etats-Unis pour stimuler la production de carburants d'origine non fossile sur le Vieux continent, à quelques mois d'échéances électorales.Au nom de la lutte contre le changement climatique, l'Union européenne a imposé l'an passé des obligations graduelles d'incorporation de carburant d'aviation durable (sustainable aviation fuel, SAF) dans le kérosène pour les avions au départ de l'UE.
L'avionneur européen Airbus et le pétrolier français TotalEnergies ont signé un "partenariat stratégique" pour développer ensemble les carburants d'aviation durables (SAF, en anglais), et permettre la décarbonation du transport aérien, ont-ils annoncé mercredi dans un communiqué commun.
Les projets de production de carburants d'aviation durables (SAF) de synthèse se multiplient en Europe mais les investissements doivent maintenant se concrétiser pour permettre la décarbonation du secteur aérien, relève l'ONG Transport & Environnement (T&E) dans une étude publiée mercredi.Quarante-cinq projets (25 projets industriels et 20 projets pilotes) ont été recensés dans l'Union européenne, en Norvège et en Islande, soit 17 de plus qu'en novembre 2022, comptabilise T&E.
Nestlé veut réduire ses émissions de CO2 dans le transport de marchandises grâce aux biocarburants, a-t-il annoncé mercredi, en précisant qu'il avait signé des accords avec Hapag-Lloyd, Maersk et CMA CGM, trois des plus grandes sociétés de fret maritime au monde. Avec ces accords, le géant suisse de l'alimentation entend utiliser "avec effet immédiat" des carburants à plus faibles émissions pour "la moitié" de ses besoins annuels de transport de marchandises, indique-t-il dans un communiqué.
Des scientifiques de l’Institut de recherche de Potsdam (Allemagne) se sont penchés sur les conséquences de la production d’agrocarburants sur le changement climatique. Ces derniers sont plus émetteurs de CO2 que la combustion de carburants d’origine fossile, selon leur étude publiée dans la revue Nature Climate Change, le 26 juin. « Le défrichement lié à la production d’agrocarburants modernes entraîne des facteurs d’émission de CO2 qui sont plus élevés que ceux liés à la combustion de diesel fossile », souligne Florian Humpenöder, coauteur de l’étude, dans un communiqué. Solution : un contrôle strict de l’utilisation des terres, afin que la demande en agrocarburants ne pousse pas à défricher des forêts par exemple.
La réduction des émissions industrielles et des transports passe par le développement de carburants non-fossiles de synthèse: pour promouvoir les projets de production de ces électro-carburants, des acteurs de la filière ont annoncé mardi la création d'un "Bureau français des e-fuels".Ce Bureau vise à promouvoir une "filière française d'e-fuels, vertueuse, compétitive et durable" auprès des acteurs publics et privés afin d'encourager les projets et à réunir experts, universitaires, industriels et financiers sur le sujet, indiquent-ils dans un communiqué.
TotalEnergies va investir 70 millions d'euros en 2024 pour moderniser la bioraffinerie de La Mède (Bouches-du-Rhône), a annoncé le groupe mercredi dans un communiqué.Le site de La Mède, actif depuis 2019, est "capable de produire 500.000 tonnes de diesel renouvelable" par an. L'investissement "permettra de moderniser les installations du site pour qu'il puisse traiter davantage d'huiles de cuisson usagées et graisses animales" pour en faire des carburants.
La décarbonation du secteur aérien est au cœur du Salon du Bourget, qui a ouvert ses portes le 19 juin. Pour façonner "l’avion vert", l’industrie privilégie le développement des carburants durables. Biocarburants, carburants de synthèse ou hydrogène, France 24 décrypte différentes pistes mises en avant et leurs limites.
Les biocarburants doivent permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Mais le transport aérien mise à terme sur l'hydrogène, une source d'énergie aux multiples contraintes, qui induit de très nombreux de changements.
L'aviation représente quelque 3% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Pour décarboner le secteur, des carburants d'aviation "durables" (SAF) sont développés. Le point sur ces essences nouvelle génération, confrontées à des défis majeurs...- De quoi s'agit-il?Les SAF ("sustainable aviation fuel") sont des carburants issus de la biomasse, c'est-à-dire produits à partir de ressources renouvelables. A l'heure actuelle, ils peuvent être fabriqués par exemple à partir d'huiles végétales ou de ressources agricoles riches en glucose.
Les compagnies aériennes ont réclamé mardi leur "juste part" des carburants d'origine non-fossile, dont la production est vouée à bondir dans les cinq prochaines années et qui sont essentiels à l'aviation pour commencer à se décarboner. La capacité de production de ces carburants, issus notamment de la biomasse (bois, végétaux...) ou d'huiles usagées, devrait atteindre 69 milliards de litres à l'horizon 2028, une tendance "extrêmement encourageante" selon le directeur général de l'Association internationale du transport aérien (Iata), Willie Walsh.
Eurodéputés et Etats membres de l'UE se sont mis d'accord dans la nuit de mardi à mercredi pour réduire les émissions polluantes du transport aérien en imposant un taux minimum de carburants "verts" pour les avions au départ du continent.Le texte, volet de l'ambitieux plan climat européen, prévoit que les carburants disponibles dans les aéroports de l'UE compteront en 2025 dans leur composition au moins 2% de "carburants aériens durables" (SAF), puis 6% en 2030, avec une augmentation progressive jusqu'à 70% d'ici 2050, précise un communiqué du Parlement européen.
En offrant une alternative plus propre aux carburants fossiles, ces e-fuels pourraient servir la cause de la transition énergétique.


page-master :