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L'Ukraine a lancé dans la nuit de lundi à mardi une attaque majeure de drones et de missiles sur plusieurs régions russes. Kiev assure avoir frappé une usine chimique produisant des explosifs pour l'armée russe dans la région frontalière russe de Briansk.
Moscou a rapporté mardi avoir été visé ces derniers jours par deux nouvelles frappes ukrainiennes réalisées à l'aide de missiles américains ATACMS, plusieurs missiles ayant "atteint leurs cibles".
Moscou accuse l’Ukraine d’avoir lancé le mercredi 20 novembre sur une cible militaire russe six missiles de longue portée fournis par le Royaume Uni.
L’armée de l’air ukrainienne annonce ce jeudi 21 novembre que la Russie a attaqué la ville de Dnipro en tirant un missile balistique intercontinental depuis la région d’Astrakhan. Une première depuis le début de la guerre en février 2022.
L'Ukraine accuse ce jeudi la Russie d'avoir envoyé un missile intercontinental sur son territoire pour la première fois.
Plusieurs pays occidentaux craignent une attaque aérienne de grande ampleur sur la capitale ukrainienne. Par précaution, ces États ont décidé de fermer temporairement leurs représentations diplomatiques, mercredi 20 novembre.
La garde rapprochée de Donald Trump a vivement dénoncé lundi la décision de Joe Biden d'autoriser l'Ukraine à frapper en territoire russe avec des missiles à longue portée de fabrication américaine.
Moscou accusait l’Ukraine d’avoir tiré dans la nuit de lundi à ce mardi 19 novembre six missiles de moyenne portée fournis par les Etats-Unis contre un site militaire de la région frontalière russe de Briansk.
Après des mois de réticence, le président américain va laisser Kiev tirer des missiles ATACMS sur la Russie.
C'est une déclaration inédite faite par les États-Unis ce 17 novembre.
Une autorisation de Washington à Kiev d'utiliser des missiles américains à longue portée pour frapper la Russie "ne changera rien" à la conduite par Moscou de ses combats avec l'Ukraine, a prévenu lundi un député russe.
Washington a finalement cédé à une demande faite par Kiev depuis des mois : pouvoir utiliser les missiles ATACMS, qui peuvent atteindre une cible à près de 300 kilomètres. L’objectif est de repousser la contre-attaque russe, appuyée par des soldats nord-coréens, dans la région russe de Koursk, conquise en août.
Plusieurs pays, dont la Russie et la France, ont réagi à la décision américaine d’autoriser Kyiv à frapper les territoires russes avec ses missiles longue portée.
Les États-Unis ont autorisé l’Ukraine, dimanche, à frapper des cibles en Russie avec les missiles ATACMS qu’elle lui a fournis. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, ne cessait de militer en ce sens. Mais dans le contexte actuel du conflit, ces missiles ne sont peut-être pas la solution miracle tant espérée.
Selon le «New York Times», le président sortant américain a autorisé l’armée ukrainienne à se servir du système ATACMS pour frapper sur le sol russe, une première depuis le début du conflit qui oppose Moscou et Kyiv.
Comme le dit l’ancien secrétaire à la Défense Perry, en cas de fausse détection d’une attaque, n’importe quel président serait poussé à ne lancer que les Sentinel, à « les utiliser ou les perdre » avant que les ogives attaquantes n’arrivent. Perry pense que la plus grande menace existentielle pour la planète à ce moment de l’histoire est précisément un tel lancement par erreur.
Quelque 200 missiles auraient été lancés par Téhéran sur l’État hébreu, qui mène au Liban une guerre contre le Hezbollah, allié de l’Iran. L’attaque avait été annoncée par les services de renseignement américains plus tôt dans la journée.
L'Ukraine a annoncé samedi avoir frappé deux dépôts militaires de munitions et missiles dans le sud et l'ouest de la Russie, dont un site "clé" pour la logistique des forces russes, quelques jours après avoir revendiqué une attaque similaire.
La tension est encore montée d'un cran entre Moscou et les alliés occidentaux de l'Ukraine à propos d'un éventuel feu vert à l'utilisation par Kiev de missiles à longue portée contre la Russie. Un sujet difficile qui était au menu d'une rencontre vendredi entre les dirigeants américain et britannique, Joe Biden et Keir Starmer.
Le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, et son homologue britannique David Lammy ont renouvelé à Kiev le soutien de leur pays respectif. Mais ce que Volodymyr Zelensky et son armée attendaient, c’était le droit d’utiliser pleinement des missiles longue distance qu’ils ont reçus, observe la presse internationale.