Le collapswashing, succédant au greenwashing, désigne non seulement la dissimulation des destructions environnementales mais dénonce également ceux qui font croire qu’ils préviennent les risques de déclin ou d’effondrement, alors qu’ils ne font que dissimuler ce qui décline ou s’effondre. Source : Vincent Mignerot
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Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Dans notre société actuelle, les produits en plastique sont omniprésents. Ils ont envahi tous les aspects de notre quotidien, notamment en raison de leur faible coût et de leur grande polyvalence. Pourtant, ces avantages ne suffisent pas à compenser le terrible fléau que représente la pollution plastique pour notre environnement. Une quantité alarmante de déchets plastiques dans les océans
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.
Les émissions de gaz à effet de serre qu’absorbent les océans doivent-elles être considérées comme de la pollution marine ? La question, plus que jamais d’actualité, n’a rien de rhétorique. Et le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) va devoir y répondre.
Notre nourriture, nos boissons et les médicaments que nous prenons, une fois évacués par notre corps, doivent bien aller quelque part. Grâce à un modèle scientifique publié récemment, le parcours d’un véritable déluge de déchets naturels humains partout dans le monde jusqu’au littoral a enfin été exposé à la vue de tous. Et ce n’est pas très joli.
Une étude des plastiques contenus dans le “continent de plastique” qui flotte au milieu de l’océan Pacifique a permis de désigner les principaux pays pollueurs.
Grâce aux filtres à microparticules installés sur un monocoque du dernier Vendée Globe, les scientifiques attendaient une photographie unique de la pollution plastique de zones reculées. Mais ce sont surtout des… fibres de coton qu’ils ont récoltées, autre preuve de l’impact des humains sur les océans.
Comme le rapporte la revue PLOS ONE, des scientifiques ont découvert que les eaux usées d'origine humaine introduisent chaque année 6,2 millions de tonnes d'azote dans les écosystèmes côtiers. Jusqu'à 63 % de cette masse provient de systèmes d'égouts traités, 5 % de fosses septiques et 32 % d'apports non traités. En d’autres termes, cela signifie que les excréments se déversent directement dans les océans du globe.
The Ocean Cleanup, une organisation à but non lucratif connue pour ses efforts visant à nettoyer les océans de nos déchets, s’attaque désormais au vortex de déchets du Pacifique nord, une énorme masse d’ordures située dans l’océan Pacifique entre Hawaï et la Californie.
Les cargos géants perdraient en mer jusqu’à 15 000 conteneurs par an, sans toujours les déclarer. Les boîtes métalliques et leurs cargaisons sont une source de pollutions multiples dont les autorités n’ont pas pris la mesure.
La pollution plastique souille à ce point les océans et mers du globe qu'une nouvelle niche écologique, d'origine anthropique, s'y est formée : la « platisphère ». Les bactéries qui y prolifèrent pourraient provoquer de nouvelles crises sanitaires.
La pollution générée par le plastique est plus complexe qu’elle n’y paraît. Saviez-vous que les microplastiques voguant sur l’eau déplacent des espèces invasives ? Qu’en absorbant les antibiotiques ils favorisent l’antibiorésistance ? Des chercheurs au CNRS font le bilan de leurs inquiétantes découvertes. Des solutions naissent, doucement.
Seule une petite dizaine des 470 "dauphins-pilotes" coincés dans une baie de Tasmanie, en Australie, peuvent encore être sauvés, ont annoncé jeudi les secouristes qui commencent à se résigner à euthanasier les plus en souffrance. Au moins 380 globicéphales ont péri depuis qu'ils ont été découverts, il y a quatre jours, échoués sur des bancs de sable d'une baie située sur la côté ouest de l'île de Tasmanie.