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Pour faire face à la hausse de ses émissions, l'aérien s’apprête à augmenter la part des carburants alternatifs pour faire voler ses avions. Une stratégie dont les résultats pourraient être affaiblis si le trafic n’est pas maîtrisé.
Prix élevés, demande trop faible, incertitudes : la production de carburants aériens durables en Europe traverse une zone de turbulences.
Selon une nouvelle étude de l’ONG Transport & Environment, les compagnies low-cost ont vu leurs émissions carbone s’envoler en 2023.
Le mythe de l'avion vert est une nouvelle fois mis à mal. Le patron de la Lufthansa, le premier transporteur européen, reconnaît lui-même que la conversion de sa flotte aux carburants de synthèse va nécessiter l'équivalent de la moitié de l'électricité produite en Allemagne. De quoi mettre en avant les limites de la décarbonation du secteur.
Air France a dû revoir sa copie. La compagnie proposait depuis cette année à ses passagers une option "environnement" pour réduire l’empreinte carbone de leur vol. Une pratique trompeuse selon plusieurs associations qui ont interpellé l’entreprise dans une tribune et une pétition. Si Air France a fait marche arrière, ce n’est pas la première fois qu’elle se fait rappeler à l’ordre sur sa stratégie de compensation carbone.
Des pistes d'atterrissage qui fondent sous l'effet de la chaleur, des ordinateurs de grands hôpitaux qui plantent sous des températures extrêmes, des vaches qui ne produisent plus de lait... les conséquences des vagues de chaleur et de la sécheresse sont vastes et inattendues. Or, avec le changement climatique, ces épisodes vont se multiplier et s'intensifier. L'adaptation se fait de plus en plus pressante.