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toxiques
Des analyses réalisées par le média breton Splann ! révèlent comment la mine à ciel ouvert de Glomel, en Bretagne, contamine son environnement aux métaux toxiques. Cette année, l'État a prolongé son exploitation de vingt ans.
En Ardèche, la vidange d’un barrage de 3 millions de m3 a tué des milliers de poissons et déversé dans la rivière d’énormes quantités de métaux lourds. Les riverains, en colère, exigent que leur voix soit enfin entendue.
La fin d’un interminable feuilleton judiciaire ? Vendredi 16 février, le Conseil d’État a cassé la décision du tribunal administratif qui suspendait l’arrêté préfectoral autorisant le confinement des déchets dans l’ancienne mine de Stocamine en Alsace. Le tribunal estime que les requérants, notamment l’association Alsace Nature, « n’avancent aucun élément permettant d’établir que le démarrage des travaux de confinement des déchets sur le site en cause présenterait un danger immédiat pour les intérêts publics qu’ils invoquent » selon France 3.
Malgré l’annonce d’un enfouissement définitif des déchets toxiques, plus de 300 personnes ont manifesté à Wittelsheim, samedi 23 septembre, pour demander le déstockage de Stocamine.
La santé des Européens devra attendre. La réforme du règlement européen Reach sur les substances chimiques, qui devait permettre d’éliminer des milliers de polluants dangereux des produits de grande consommation, a été renvoyée aux calendes grecques par les autorités européennes. Initialement prévue pour la fin de l’année, cette révision vient d’être reportée au quatrième trimestre de 2023, selon les informations du Monde. Les prochaines élections européennes étant programmées en 2024, la réforme n’a désormais « que très peu de chances d’aboutir » sous la législature d’Ursula von der Leyen. Sa mise en œuvre dépendra de la future composition (hautement incertaine) du Parlement européen.
Cerise, pêche, poire, pomme, kiwi… Ces fruits appétissants contiennent des pesticides dangereux. Selon une étude du Pesticide action network (PAN), publiée mardi 24 mai, près d’un tiers (29 %) des fruits produits en Europe sont contaminés par des résidus toxiques. L’ONG s’est concentrée sur cinquante-cinq pesticides classés parmi « les plus dangereux », qui auraient dû être peu à peu abandonnés par les pays européens depuis 2011.
Les travaux d’enfouissement de 42 000 tonnes de déchets industriels à 550 mètres de profondeur sur le site de Stocamine, en Alsace, ont commencé mardi 10 mai. Un premier barrage en béton est en train d’être construit. Ils ne vont pas « compromettre la réversibilité potentielle du stockage des déchets » assure la MDPA (Mines de potasse d’Alsace), l’exploitant du centre de stockage, dans un communiqué.
Plastique PVC, retardateurs de flamme, bisphénols... La Commission européenne a publié, lundi 25 avril, sa « feuille de route » des restrictions de substances chimiques. 4 000 à 7 000 substances ne seront plus commercialisées d’ici à 2030, selon les calculs du Bureau européen de l’environnement (BEE), qui a qualifié l’opération de « plus vaste interdiction de produits chimiques toxiques à ce jour ».
Qu’est-ce qu’il y a exactement sous la nappe phréatique, à Stocamine ? Le parquet de Strasbourg a annoncé, le 8 mars, avoir saisi l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). Ce service de police judiciaire de la gendarmerie nationale va être chargé d’étudier la nature exacte des 42 000 tonnes de déchets toxiques stockés sous la nappe phréatique de Wittelsheim (Haut-Rhin), dans la banlieue de Mulhouse.
Les cosmétiques contiennent des produits chimiques perfluorés dangereux pour la santé. Voici l’alerte lancée par une association à l’occasion de la journée mondiale du rouge à lèvres. Celle-ci appelle les politiques à prendre conscience de cet « enjeu majeur de santé publique et écosystémique ».
Les centrales biomasses sont parmi les sources de pollution de l’air les plus toxiques, et pourtant elles se multiplient, dénoncent les auteurs de cette tribune, professionnels de santé strasbourgeois. Un danger accentué par la déforestation, et par l’insuffisance des valeurs limites pour d’autres polluants nocifs cancérigènes.