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En quête de preuves pour appuyer ses convictions, un YouTubeur complotiste a mené une expérience unique en Antarctique. Cette aventure l’a poussé à reconsidérer sa vision du monde et à admettre une réalité scientifique incontournable : notre planète est bien ronde.
Imaginez un iceberg trois fois plus grand que la ville de New York se déplaçant à nouveau après des mois d’immobilité. C’est l’histoire fascinante d’A23a, un énorme bloc de glace surnommé « mégaberg », qui intrigue les scientifiques et ravive l’intérêt pour les mystères des océans. Pourquoi un tel iceberg est-il si important ? Que peut-il révéler sur les écosystèmes marins et sur les changements climatiques ?
En 35 ans, la végétation en Antarctique s'est étendue à un rythme alarmant, révélant l'impact direct du réchauffement climatique. Une étude basée sur des données satellites met en lumière une transformation rapide et préoccupante du continent blanc.
L'analyse de bulles d'air emprisonnées dans des carottes de glace vieilles de plus de 200 000 ans témoigne de moments dans l'histoire de la planète où la concentration de CO2 dans l'atmosphère a subitement augmenté. Et suggère que nous pourrions être à l'aube d'un événement similaire...
L’équivalent de quatre ans supplémentaires d’émissions mondiales de CO₂ pourraient être bientôt relargué dans l’atmosphère, venant aggraver le changement climatique.
La superficie occupée par les plantes, principalement des mousses, a été multipliée par quatorze depuis 1986, avec une accélération récente. Cette colonisation pourrait être liée à la hausse des températures et la réduction de la banquise.
As a six-year investigation into the Thwaites glacier in Antarctica wraps up, the scientists involved are pessimistic for the future of this glacier and the consequences for sea level rise
Des débris et déchets marins menacent le littoral isolé de l'Antarctique et ses écosystèmes marins uniques. Car sur ces déchets peuvent se greffer des espèces étrangères à l'Antarctique.
L’Antarctique, continent le plus froid de la planète, connaît lui aussi une vague de chaleur pendant son hiver, d’une durée exceptionnellement longue, selon l’institut britannique spécialisé dans l’étude des régions polaires.
L'Antarctique a enregistré sur le mois de juillet des températures en moyenne de 10 °C au-dessus de la normale.
Le continent blanc, qui se réchauffe le plus vite dans le monde, a enregistré des températures anormalement élevées en juillet et début août.
L’iceberg A23a est actuellement le plus grand iceberg au monde, mesurant environ 4000 kilomètres carrés, soit 38 fois la taille de Paris. Il s’est détaché de la plateforme de glace Filchner-Ronne en Antarctique en 1986 et est resté immobile pendant plus de 30 ans, coincé au fond de la mer de Weddell.
En plein hiver austral, le continent de glace est actuellement l’endroit le plus anormalement chaud de la Terre. Si ce phénomène n’est pas inédit, il est le signe que le réchauffement climatique commence à transformer réellement la planète.
There is increasing concern that the Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC) may collapse this century with a disrupting societal impact on large parts of the world. Preliminary estimates of the probability of such an AMOC collapse have so far been based on conceptual models and statistical analyses of proxy data. Here, we provide observationally based estimates of such probabilities from reanalysis data. We first identify optimal observation regions of an AMOC collapse from a recent global climate model simulation. Salinity data near the southern boundary of the Atlantic turn out to be optimal to provide estimates of the time of the AMOC collapse in this model. Based on the reanalysis products, we next determine probability density functions of the AMOC collapse time. The collapse time is estimated between 2037-2064 (10-90% CI) with a mean of 2050 and the probability of an AMOC collapse before the year 2050 is estimated to be 59±17%.
La fonte des calottes glaciaires est probablement largement sous-estimée, affirme une étude publiée ce mardi 25 juin dans la revue Nature Geoscience. Car l’eau de mer s’infiltre sous les glaces terrestres, accélérant leur disparition.
Amsterdam, New York, Shanghai ou encore Le Caire sont gravement menacées. L'un des glaciers les plus célèbres de l'Antarctique occidental, surnommé «glacier de l'apocalypse» en raison de sa capacité à provoquer une énorme élévation du niveau de la mer, fond encore plus vite qu'on ne le pensait jusqu'ici. Thwaites, comme il est officiellement appelé, est aussi grand que la Grande-Bretagne, ce qui en fait le glacier le plus large du monde. Actuellement, sa fonte à elle seule est responsable d'environ 4% de l'élévation du niveau de la mer à l'échelle mondiale. Au cours des trente dernières années, la vitesse à laquelle il perd de la glace avait déjà doublé. Mais selon une étude récente menée par l'Université de Californie, le pire reste à venir.
Le 20 mai 2024, l'Antarctique a observé la séparation de l'iceberg A-83, mesurant 380 km2, de la plate-forme de glace de Brunt. Les satellites Copernicus Sentinel-1 de l'ESA et Landsat 8 de la NASA ont joué un rôle crucial dans l'observation de cet événement, fournissant des images radar et des données thermiques. Cet événement souligne l'importance de la surveillance satellitaire pour comprendre l'impact du changement climatique sur les calottes glaciaires.
Le glacier Thwaites, l’une des plus grosses et plus instables masses de glace terrestres, située dans la péninsule de l’Antarctique de l’Ouest, inquiète depuis de nombreuses années les chercheurs pour sa fonte accélérée : surnommé par les scientifiques le « glacier de l’Apocalypse », il est responsable à lui seul de 4 % de la hausse annuelle du niveau des mers. Mais il pourrait fondre encore plus vite qu’on ne le pensait jusque-là, d’après une étude publiée lundi 20 mai dans la revue Proceedings of the (...)
L'équivalent de 511 milliards de barils de pétrole auraient été découverts en Antarctique par la Russie, soit près du double des réserves connues de l'Arabie saoudite. Le Continent blanc est supposé intouchable, mais la crainte est forte que la trouvaille ne se transforme en bombe climatique et géopolitique.
Des records de chaleur ont été enregistrés en Antarctique : -9,4°C au lieu des -40°C habituels. Un constat inquiétant quand on sait que le continent a assez de glace pour augmenter le niveau des océans de 58 mètres. De quoi faire disparaître 8000 hectares de côtes en France.
L’Antarctique est-il proche d’un point de bascule, ce seuil menant à terme à une fonte massive et rapide, en raison du réchauffement climatique ? Ce scénario s’est en tout cas produit il y a 8000 ans, selon une nouvelle étude. Celle-ci “met en lumière la rapidité avec laquelle la glace de l’Antarctique pourrait fondre si les températures continuent de monter en flèche”, avertissent ses auteurs.
Ce 19 mars, l’organisme dépendant des Nations unies publie son panorama annuel sur l’état du climat. Des données inédites révèlent que la température moyenne de la Terre s’est hissée 1,45°C au-dessus de celle de l’ère préindustrielle.
Pour empêcher l’effondrement du glacier de Thwaites, des chercheurs ont proposé d’y installer un gigantesque rideau de fer sous-marin de 38,5 kilomètres de long visant à l’isoler des courants marins chauds. Un projet de cette envergure pourrait coûter près de 50 milliards de dollars, sans compter la logistique nécessaire à son déploiement. Cependant, bien que cela semble a priori excessif, les conséquences de l’effondrement du glacier seraient telles que les pertes qui en résulteraient à l’échelle mondiale seraient beaucoup plus élevées (que la réalisation de ce projet).
Le virus H5N1, qui a déjà fait des ravages en Amérique du Sud, a été détecté pour la première fois sur le Continent blanc vendredi 23 février. Une catastrophe pour les oiseaux sauvages qui risquent d’être décimés par le pathogène.
"..On est au devant de quelque chose d'inimaginable et on continue notre petite vie.." Extrait de conférence mis en ligne par l'excellente chaîne LIMITS de Vinz Kanté en février 2024. (Abonnez-vous à cette chaîne pour tout comprendre sur les limites planétaires.
Un arrêt brutal de l'AMOC, qui pourrait plonger une grande partie de l'Europe dans un gel profond, pourrait se produire plus tôt que prévu.
Des glaciologues proposent d’immerger des rideaux pour protéger les calottes glaciaires des remontées d’eau chaude. Leurs collègues crient au loup et à la manœuvre dilatoire. Alors qu’elle attire de plus en plus, la géoingéniérie fait toujours autant polémique.
A crucial system of ocean currents may already be on course to collapse, according to a new report, with alarming implications for sea level rise and global weather — leading temperatures to plunge dramatically in some regions and rise in others. Using exceptionally complex and expensive computing systems, scientists found a new way to detect an early warning signal for the collapse of these currents, according to the study published Friday in the journal Science Advances. And as the planet warms, there are already indications it is heading in this direction.
Plusieurs décès de manchots papous dus au virus H5N1 de l‘influenza aviaire hautement pathogène viennent d’être confirmés dans les îles. Les scientifiques craignent une propagation du virus chez les espèces du continent blanc.
Virus, pollution, dérèglement climatique, mais aussi désaccords diplomatiques… L’isolement du continent glacé ne le protège plus des menaces globales liées à l’homme.
L'iceberg A23a, ancré depuis 1986, entame son déplacement, révélant des informations précieuses sur les comportements glaciaires et les impacts du changement climatique.
Cet iceberg, le plus imposant et le plus ancien au monde, est actuellement en mouvement et se dirige vers l'océan Austral.
Appelé A23a, un iceberg d’un milliard de tonnes a commencé à bouger en antarctique. Son trajet va être très surveillé car il pourrait gêner les voies maritimes ou la faune locale.
Nommé « A23a », il s’agit d’un des plus grands icebergs du monde. Bloqué pendant trente ans, il a commencé à dériver sans que les scientifiques en connaissent la raison.
Injecter des aérosols dans la stratosphère pourrait réduire la fonte des glaces en Antarctique et le risque d'élévation du niveau de la mer, selon des recherches de l'Université de l'Indiana.
La fonte des glaces de l'Antarctique occidental devrait s'accélérer considérablement au cours des prochaines décennies et pourrait augmenter le niveau des mers, même si le monde respecte ses engagements pour limiter le réchauffement climatique, selon une étude publiée lundi 23 octobre.
Un décor figé dans le temps: des scientifiques ont détecté un vaste paysage de collines et de vallées verdoyantes, caché depuis des millions d'années sous la glace de l'Antarctique, selon une étude publiée mardi.
La fonte qui glace. Le processus de fonte de l’Antarctique ne peut pas être inversé et contribuera à la hausse du niveau des océans, même en limitant le réchauffement climatique, alerte une nouvelle étude.
Selon une étude parue dans la revue Nature Climate Change, rien n’empêchera la fonte glaciaire du pôle Sud. Un processus qui ne pourra plus être inversé, même en respectant la limite de 1,5 degré de l'Accord de Paris.
L’Antarctique n’en finit pas de s’amenuiser. Dans une étude publiée le 12 octobre dans la revue Science Advances, une équipe de chercheurs montre que plus de 40 % des plateformes de glace du continent blanc (c’est-à-dire les langues de glace situées à l’extrémité des glaciers et flottant sur l’océan) ont perdu en volume entre 1997 et 2021. 7 500 milliards de tonnes d’eau douce ont été relâchées dans l’océan via ce biais, selon les estimations des scientifiques.