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climatique

décembre 2024

Ouragans, sécheresses, inondations : la facture alarmante du réchauffement climatique en 2024
Le président américain Joe Biden a présenté jeudi sa feuille de route climatique pour les États-Unis, fixant un nouvel objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui pourrait toutefois être rapidement balayé par son successeur Donald Trump. Le pays, deuxième plus grand pollueur au monde derrière la Chine, prévoit à présent une baisse de ses émissions de l’ordre de 61 à 66% d’ici à 2035 par rapport à 2005, selon ce plan d’action soumis aux Nations unies.
..C’est une crise des vivants : sous la forme de la sixième extinction des espèces, comme de la fragilisation des dynamiques écologiques par le changement climatique, et de la réduction des potentiels d’évolution de la biosphère. Mais c’est aussi une crise d’autre chose, de plus discret, et peut-être plus fondamental. Ce point aveugle (c’est l’hypothèse de travail), c’est que cette crise actuelle, plus qu’une crise des sociétés humaines d’un côté, plus qu’une crise des vivants de l’autre, est une crise de nos relations au vivant.
L'année 2024, attendue comme la plus chaude dans le monde, sera aussi l'une des plus chaudes et des plus pluvieuses pour la France, poursuivant une décennie de températures hors normes mais conformes aux projections des climatologues, a annoncé jeudi Météo-France.
Climate Central a évalué comment le réchauffement des températures, attribué au dérèglement climatique, a affecté le nombre de jours à + 0°C en décembre, janvier et février dans 123 pays de l'hémisphère nord entre 2014-2023.
Jusqu’à trois semaines de gel en moins dans les régions les plus au nord du continent européen sont imputables au réchauffement climatique, d’après un rapport publié mardi 17 décembre par l’organisme américain Climate Central.
Après deux années de veille médiatique, QuotaClimat publie ce jour un rapport international révélant une augmentation alarmante des discours de désinformation climatique dans les médias d’information.
Alors que 2024 sera la première année au-dessus d'1,5°C de réchauffement climatique, une étude révèle que cela pourrait accélérer l'extinction des espèces animales.
Cosigné par une dizaine de membres du collectif Scientifiques en rébellion, l’ouvrage, qui replace la question de l’engagement des chercheurs dans une perspective historique, rappelle que dépolitiser la science conduit à protéger les intérêts dominants.
Selon un rapport de l’Agence d’observation atmosphérique et océanique américaine, la région polaire vient d’opérer un «changement spectaculaire» : elle n’est désormais plus un puits de carbone, mais bien une source supplémentaire.
De précédentes études, dont celles du GIEC, estimaient que la neutralité carbone d'ici 2050 permettrait de limiter le réchauffement climatique sous les 2 °C. Une nouvelle étude basée sur une IA de prédiction avancée avance cependant que cet objectif est en réalité presque hors d’atteinte.
Les pertes économiques liées aux catastrophes naturelles et climatiques ont atteint les 300 milliards d'euros en 2024.
La toundra arctique dégèle et émet désormais plus de carbone qu’elle n’en stocke, ce qui aggravera les effets du dérèglement climatique.
Comme le prouve une hécatombe d'éléphants au Botswana, la crise climatique peut favoriser les empoisonnements de la faune à l'échelle mondiale
Les soixante-trois projets de terminaux d’exportation de GNL prévus d’ici à 2030 pourraient émettre plus de 10 milliards de tonnes de CO2 à cet horizon, quasiment l’équivalent des émissions annuelles des centrales à charbon, selon l’ONG Reclaim Finance.
Ci-dessous, les points de vue de trois spécialistes sur le plan national d’adaptation au changement climatique, présentés tour à tour lors d’une audition publique organisée par Generation Ecologie le 26 novembre – et, concernant la première intervention de Gonéri Le Cozannet, lors d’un colloque « Cour des comptes – CNRS » du 21 novembre.
Une étude, publiée dans « Science », attribue la forte hausse de la température en 2023 au fait que la Terre renverrait moins d’énergie solaire vers l’espace. D’autres scientifiques estiment qu’il s’agit d’un effet combiné des émissions de gaz à effet de serre et d’une forte variabilité naturelle du climat.
Le Sahara, souvent associé à un désert aride et hostile, pourrait bien nous surprendre. Des recherches récentes montrent que cette région n’a pas toujours été une étendue de sable sans vie. Il y a plusieurs millénaires, le Sahara était verdoyant, et son potentiel retour à un état plus végétalisé pourrait bouleverser l’équilibre climatique mondial.
La Cour internationale de justice doit définir les obligations des Etats en matière de changement climatique, mais aussi lorsqu'ils ont causé des dommages importants au système climatique.
Pourquoi l’effondrement pourrait être beaucoup plus proche que prévu : que se passe-t-il lorsque le cœur de l’océan Atlantique s’arrête de battre ?


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