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La capacité des parcs belges de batteries va être multipliée par dix, selon une enquête menée par De Tijd, publiée aussi dans L'Echo jeudi. Les promoteurs ont soumis des dizaines de nouvelles demandes pour la construction de grands parcs de batteries, l'objectif étant d'y stocker l'excédent croissant d'énergie renouvelable.
La Commission européenne a annoncé lundi l'ouverture d'une enquête approfondie pour vérifier si le soutien public de la Belgique à la prolongation du nucléaire est conforme aux règles de l'UE en matière d'aides d'Etat.L'an dernier, l'Etat belge a conclu un accord avec le groupe français Engie, l'exploitant de ses centrales, pour prolonger de dix ans la durée de vie des réacteurs Doel 4 et Tihange 3, situés respectivement près d'Anvers (nord) et de Liège (est).
Prolongation du nucléaire: Bart De Wever demande de faire tourner Doel 4 et Tihange 3 plus longtemps
(11/07) - Belga,Le formateur fédéral Bart De Wever (N-VA) a informé Engie qu'il voulait parier "au maximum" sur l'énergie nucléaire, rapportent L'Echo et De Tijd jeudi. L'intention est que Doel 4 et Tihange 3 restent ouvertes plus longtemps que la prolongation de 10 ans convenue précédemment.
Le 21 mars, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et le Premier ministre belge accueilleront des dirigeants mondiaux lors du tout premier sommet sur l’énergie nucléaire à Bruxelles.
Le groupe français Engie a confirmé mercredi son engagement à prolonger de dix ans, jusqu'en 2036, l'activité de deux réacteurs nucléaires en Belgique, dans le cadre d'une coentreprise à parts égales avec l'État belge, une configuration inédite. Un accord définitif a été signé, qui prévoit de "mettre en oeuvre les meilleurs efforts pour redémarrer les unités de Doel 4 et Tihange 3 dès novembre 2025", a déclaré Thierry Saegeman, patron d'Engie Belgique, lors d'une conférence de presse avec le Premier ministre belge Alexander De Croo.
La Belgique veut-elle sortir des énergies fossiles ? La Belgique veut-elle sortir du nucléaire ? En pleine COP 28, Ecolo et le MR affichent leurs divergences. Résultat, comprendre la politique belge de transition vers une énergie décarbonée relève de la dissonance cognitive.
La Belgique fermera mardi soir un réacteur nucléaire vieux de 40 ans à Tihange près de Liège (Est), le deuxième en quatre mois, dans le cadre de sa politique de sortie progressive de l'atome qui reste controversée.Il restera alors cinq réacteurs nucléaires en activité dans le pays, exploités par le groupe français Engie.La Belgique, qui en comptait sept jusqu'à l'été 2022, en a "débranché" un premier le 23 septembre à Doel, près du port d'Anvers (Nord).
Le gouvernement belge et Engie ont annoncé lundi la signature d'un accord qui doit concrétiser la prolongation pour dix ans, à compter de novembre 2026, de deux des sept réacteurs nucléaires exploités en Belgique par le groupe français.Les deux parties négociaient âprement depuis des mois les conditions de cette prolongation décidée en mars 2022 par la Belgique pour garantir son approvisionnement en énergie au-delà de 2025, sur fond d'incertitudes liés à la guerre en Ukraine.
A l’heure d’écrire ces lignes, aucun accord n’a encore été annoncé entre le gouvernement fédéral et le groupe...
Des manquements dans la politique de sécurité de la centrale nucléaire ont été observés.
Les deux réacteurs nucléaires belges dont la durée de vie doit être prolongée de 10 ans en raison de la guerre en Ukraine seront exploités dans une coentreprise à créer entre l’État belge et le groupe français Engie, selon "un accord de principe" annoncé conjointement vendredi.
Le gouvernement a demandé à Engie de reporter la fermeture du réacteur de Tihange 2 du 1er février à fin mars 2023 pour aider à garantir la sécurité d'approvisionnement électrique cet hiver. Pour l'énergéticien, c'est trop tard, écrit Le Soir dans son édition de samedi.
La ministre Zakia Khattabi (Ecolo) demande à la Belgique de voter contre l'introduction du gaz et du nucléaire dans la taxonomie verte proposée par la Commission.
Les écologistes plaident pour un grand accord en matière énergétique au sein du gouvernement reposant sur trois piliers: une nouvelle série de mesures destinées à baisser la facture, une accélération de la transition énergétique et la fixation du calendrier final de sortie du nucléaire. Ces trois éléments sont "uns et indissociables", a souligné la ministre de l'Energie, Tinne Van der Straeten, dans les colonnes du "Standaard".
Le président de la N-VA, Bart De Wever, propose de régionaliser la compétence portant sur l'énergie nucléaire, actuellement aux mains du fédéral.
Le renouvelable a poursuivi sa progression en Belgique. Cela s’explique principalement par une augmentation des capacités installées onshore (+11%) et solaires (+17%). La production éolienne offshore reste stable par rapport à l’année dernière, ce qui est logique car les capacités n’ont pas évolué.
Ceux qui voulaient de la clarté avant la fin d'année dans ce dossier vont être déçus.
La Belgique arrêtera comme prévu ses sept réacteurs nucléaires actuels à l'horizon 2025, mais ne ferme pas la porte au nucléaire de nouvelle génération, selon un accord conclu jeudi matin entre les partenaires de la coalition gouvernementale.
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Dimanche soir, Elia et la Ministre fédérale de l'énergie Tinne Van der Straeten ont annoncé les résultats de la vente aux enchères du mécanisme de rémunération de capacité (CRM) : il y a plus de capacités disponibles qu’il n’en faut pour arrêter nos centrales nucléaires en Belgique d'ici 2025. Et ce, à un coût inférieur aux estimations initiales. Plus rien ne s’oppose à la sortie du nucléaire. L’accord de gouvernement doit être respecté.
L'énergie nucléaire, telle qu'actuellement déployée, ne répond pas, sur le plan environnemental, éthique et sanitaire, aux principes du développement durable, estime dans un avis le Conseil supérieur de la Santé (CSS). L'organe y juge également que l'arrêt des centrales nucléaires est possible en Belgique pour un coût relativement limité, y compris en termes d'impact CO2.
L’énergie nucléaire, telle qu’actuellement déployée, ne répond pas, sur le plan environnemental, éthique et sanitaire, aux principes du développement durable, estime dans un avis le Conseil supérieur de la Santé (CSS).
La loi sur la sortie du nucléaire votée en 2003 doit impérativement être revue. Nous demandons une prolongation de dix ans des réacteurs nucléaires les plus récents. Cette énergie bas-carbone doit faire partie de la feuille de route de la transition énergétique.
La Belgique compte 7 centrales nucléaires (Doel 1, 2, 3 et 4, et Tihange 1, 2 et 3) qui, ensemble, représentent environ la moitié de notre production d'électricité.
L'annonce de la consultation publique sur l'impact environnemental du maintien jusqu'en 2025 des centrales nucléaires de Doel 1 et 2 a été publiée ce vendredi au Moniteur. Une moitié de l'Europe pourra participer, du 15 avril au 15 juin prochains, à ce qui constitue la plus grande enquête publique jamais réalisée en Belgique. Ce devoir n'avait pas été réalisé en 2015 lorsque le gouvernement Michel avait prolongé les deux réacteurs de dix ans pour garantir la sécurité d'approvisionnement du pays en électricité, alors que la Belgique s'était engagée en 2003 à désactiver ces deux réacteurs à cette échéance.
Le doute trouble, mais la certitude leurre. Ayons l’énergie du débat, aussi dans le débat sur l’énergie.
Transformer nos centrales nucléaires en centrales à gaz d'ici 2030 hisserait la Belgique à la deuxième place du pays le plus polluant d'Europe, juste derrière la Pologne.
Sécuriser les provisions nucléaires était un des points principaux à l'agenda de la ministre de l'Energie Tinne Van der Straeten (Groen). Et elle a lancé la réflexion sur une externalisation du fonds Synatom, cette filiale d'Engie Electrabel chargée de gérer ces provisions. Aujourd'hui, un pas a été fait dans cette direction par Synatom puisqu'un nouveau fonds, baptisé Belgian Nuclear Liabilities Fund (BNLF), a été créé. Cette sicav à actionnaire unique sera supervisée par la Commission des provisions nucléaires (CPN) et l'Etat belge conservera un certain contrôle puisque ses deux représentants au sein du conseil de Synatom exerceront le même rôle pour BNLF.
Une ministre verte à la manœuvre de la prolongation de deux réacteurs nucléaires? La situation est cocasse mais bien réelle. En effet, outre le dossier de prolongation des centrales après 2025, celui du fonctionnement des unités de Doel 1 et 2 jusqu'à cette date butoir fait partie des tâches dont doit s'acquitter la ministre fédérale de l'Énergie, Tinne Van der Straeten.
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Engie Electrabel envisage de construire quatre nouvelles centrales gaz-vapeur pour couvrir dès 2025 les besoins en électricité, écrit samedi L’Echo. Elles représenteraient ensemble une capacité de 2.950 mégawatts (MW), soit l’équivalent des quatre centrales nucléaires de Doel.
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Les citoyens belges paieront les conséquences de l’arrêt du nucléaire. Nos politiques auront-ils le courage de prolonger l’exploitation de Doel 4 et Tihange 3, et ainsi de privilégier la décision la plus favorable aux citoyens et à la Belgique de demain ?
En juillet dernier, en marge de résultats semestriels fortement impactés par la crise du coronavirus, l'énergéticien français Engie avait annoncé à grand fracas entamer un "recentrage stratégique" afin de se concentrer sur le développement des énergies renouvelables et des infrastructures.
Lundi, Engie a annoncé, en interne, l'arrêt de ses investissements pour la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires en Belgique. Une décision qui agite évidemment le monde politique. Le sujet est clivant et la situation pour le moins complexe.
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Prolonger les centrales nucléaires? Le serpent de mer divise la Belgique entière depuis la loi de sortie, qui prévoit leur fermeture entre 2022 et 2025. Alors quand un climatologue de renom, Jean-Pascal van Ypersele, opposé de longue date à l’énergie atomique, se prononce en faveur d’une prolongation de centrales au-delà de la date butoir, les partisans de l’atome prennent la balle au bond. À l’image du Forum nucléaire: "L’ancien vice-président du Giec plaide pour la prolongation de quelques centrales nucléaires", a tweeté le lobby du secteur, renvoyant vers les propos que le climatologue de l’UCLouvain a tenus dans le journal De Zondag.