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consumerism
Et pourtant, l’habitabilité de notre planète en dépend. Le 6e rapport du GIEC est clair sur ce point : “Une politique climatique efficace doit s’appuyer sur la sobriété et l’équité”.
Indécence urbaine : présentation du livre de Guillaume Faburel publié aux Editions Flammarion. Les grandes villes sont responsables des crises majeures de notre temps. Elles imposent des rapports consuméristes et productivistes au monde sans offrir en retour une écologie à la hauteur de la dévastation orchestrée par l’idéologie urbaine. L’équivalent d’une ville comme New York sort de terre tous le
Consumérisme décervelant, démocratie participative introuvable, nationalisme et haines… Le réveil d’une citoyenneté consciente du désastre ambiant est plus que jamais indispensable.
En Chine, les « hôtels à porcs » se multiplient pour répondre à la demande croissante des consommateurs et s’adapter aux épidémies qui ravagent le bétail. Il était une fois, trois petits cochons qui vivaient avec leur maman dans une petite maison… Correction. Il était une fois, 600 000 porcs entassés dans une méga-ferme en béton de 26 étages. Avec ça, le loup n’a qu’à bien se tenir.
Are you a 'subject', a 'consumer'… or a 'citizen'? The authors Jon Alexander and Ariane Conrad argue that our societies need a new narrative, and it starts by ditching the stories sold by authoritarianism and consumerism.
Des bottes de pluie ou même des après-ski en plein désert d’Atacama : dans le nord du Chili, les décharges sauvages de vêtements et de chaussures usagés grossissent à la mesure de la production effrénée de la mode à bas coût à l’échelle mondiale.
Utiliser un grand évènement sportif comme le Tour de France comme vitrine d’entreprises ne date pas d’hier. Dans le domaine, l’idée voit le jour dès 1924 alors que Wolber, une petite société française spécialisée dans la fabrication des pneus de bicyclette, profite du Tour pour distribuer des cartes postales publicitaires.
Alors que les entreprises comme l’État n’ont jamais autant parlé d’écologie, la publicité peuple la sphère publique comme privée, alimentant la grande machine consumériste et productiviste. Quelles solutions imaginer pour sortir de ce cruel paradoxe ?
Devant la menace d’un effondrement global de la vie et des civilisations, il est impératif de s’interroger sur les causes et les remèdes du phénomène. Cause première : le système capitaliste.... Chaque phase du capitalisme (industrialisation, consumérisme, virtualisation) a accentué et accéléré cet épuisement. Et désormais, c’est le monde qui a lui aussi besoin de notre soutien. Quels remèdes ? Il s’agit de penser une transformation fondamentale,....
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Un dimanche matin sur Instagram. La page #ootd permet d'avoir un aperçu de toutes les ultimes tendances de la mode, en temps réel. Le hashtag #ootd - "outfit of the day", ou "tenue du jour" - est naturellement l'un des plus populaires du réseau social. En cinq minutes, plus de 800 nouveaux posts apparaissent, portant le total à plus de 315 millions.
George Monbiot. George delves deep into the invisible ideologies trashing our planet. In this video George talks in depth about capitalism, consumerism and neo-liberalism.
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Entretien avec Daniel Tanuro, auteur de « Trop tard pour être pessimistes ! Écosocialisme ou effondrement », qui voit dans le capitalisme vert une imposture.
Depuis la crise de 1929, les industriels fabriquent toujours plus de marchandises à la longévité toujours plus limitée. L’impératif environnemental implique de ralentir la consommation frénétique des biens. Mais comment remettre en cause le pilier d’un système que soutiennent presque tous les gouvernements ? Une idée simple et d’allure inoffensive pourrait ouvrir la brèche.
Consumerism is the major cause of global warming and wrecking the planet for future generations. It is driven by a growth economy that favors the ever-expanding consumption of the already very affluent and has allowed the gap between the richest and poorest to grow to inflammatory proportions, both within the nation-state and globally. Today 16 percent of the global population consumes 80 percent of its resources. Americans alone are responsible for around 25 percent of global carbon emissions, and their ecological footprint is five times the global capacity of 1.8 hectares per capita.