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Cisjordanie : nouvelles attaques de colons israéliens contre des soldats, un site militaire incendié
(30/06) - Afp,Plusieurs dizaines d’Israéliens se sont rassemblés dans la nuit devant une base militaire en Cisjordanie occupée, où certains d’entre eux ont attaqué les forces de sécurité et vandalisé des véhicules et une installation militaire, a annoncé lundi l’armée.
Alors que les regards étaient braqués sur le conflit entre l’Etat hébreu et la République islamique, les extrémistes juifs ont multiplié les attaques contre les villages palestiniens. Mercredi, à Kafr Malik, l’armée israélienne a tué trois civils après « des jets de pierres ».
Dans un article publié par le quotidien «Haaretz», ce vendredi 27 juin, des militaires israéliens racontent avoir reçu l’ordre de tirer sur les foules de Gazaouis rassemblés pour recevoir de l’aide alimentaire, alors même qu’ils ne représentaient aucun danger.
Pour la spécialiste du droit international Monique Chemillier-Gendreau, la solution à deux États ne peut être le résultat d’une négociation, mais doit être imposée à Israël, notamment par des sanctions.
Le président américain mobilise des fondamentalistes chrétiens, idéologiquement proches des suprémacistes israéliens, en soutien à la campagne multiforme de destruction de Gaza, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Un homme aurait utilisé un lance-flammes artisanal et un engin incendiaire pour brûler des manifestants, rassemblés dimanche 1er juin dans la ville de Boulder.
Les militaires ont ouvert le feu alors que des milliers de personnes convergeaient vers un centre de distribution américain.
À Paris, comme dans treize villes européenne était organisée une manifestation d'Israéliens réclamant l'interruption de la guerre à Gaza. L'historien et ex-ambassadeur Elie Barnavi a pris part à la mobilisation, dénonçant une "folie". "Nous avons la responsabilité de mettre fin à ce génocide", a souligné sur France 24 l'une des organisatrices du rassemblement.
Un bateau de la Flottille de la liberté a été pris pour cible par des drones israéliens ce vendredi 2 mai, affirment les membres de l’ONG. Un incendie s’est déclaré et la coque du bateau a été percée. Aucune victime n’est à déplorer.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
Plus de 1 000 Israéliens ou Franco-Israéliens, dont des universitaires et des artistes, appellent la communauté internationale à appliquer contre l’Etat hébreu toute sanction possible afin d’obtenir un cessez-le-feu immédiat.
La communauté internationale a largement critiqué vendredi les tirs israéliens sur des Casques bleus de la Force intermédiaire des Nations unies pour le Liban (Finul), blessant deux soldats de l'ONU vendredi.
Plus de 6 bâtiments sur 10 de l’enclave ont été détruits, ou possiblement endommagés. Plus de 60% du réseau de distribution électrique de l’enclave et 68% des routes sont endommagés.
Israël a à nouveau bombardé vendredi la capitale libanaise ainsi que la principale route menant en Syrie. La ville de Tulkarem, en Cisjordanie, a également été visée. L’Iran affirme que ses alliés du Hezbollah et du Hamas ne reculeront pas.
Une vidéo extraite d’un documentaire du média public turc TRT World montre des Israéliens prendre des bateaux pour observer Gaza et réfléchir à la réimplantation de colonies dans le nord de l’enclave. Des images représentatives de la volonté de recoloniser le territoire palestinien exprimée depuis plusieurs mois par une frange radicale de la société israélienne.
Fatigués de partir et repartir inlassablement, les déplacés palestiniens ne veulent plus bouger malgré les ordres d’évacuation quasi-quotidiens lancés par l’armée israélienne. «Aucun endroit n’est sûr» à Gaza, répète l’ONU.
Des frappes israéliennes sur le camp de Nousseirat dans le centre de la bande de Gaza et dans Gaza-ville ont fait au moins 24 morts samedi, selon les responsables des services de santé. Parmi les victimes figure un journaliste et sa famille, portant à 161 le nombre de journalistes palestiniens tués par des tirs israéliens depuis le 7 octobre.
Israël continue de bombarder la bande de Gaza mardi, émettant des ordres d'évacuations qui ont contraint des centaines d'habitants à fuir à nouveau plusieurs secteurs du sud du territoire palestinien, déjà dévasté par près de neuf mois de guerre. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) estime "qu'environ 250 000 personnes ont été touchées par ces ordres".
Samedi 8 juin, Tsahal a libéré 4 otages israéliens grâce à une opération spéciale dans le camp de Nuseirat, situé au centre de la bande de Gaza. Selon les chiffres fournis par le Hamas, ce raid aurait néanmoins causé la mort d’au moins 274 Palestiniens, ce qui a provoqué de fortes réactions au sein de la communauté internationale.