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météorologique
Le rapport annuel de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) confirme que 2024 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Il liste aussi d'autres tristes records : de concentration de CO2 dans l'atmosphère, de réchauffement des océans, de fonte des glaciers, de montée des eaux... Ce rapport souligne aussi le très grand nombre de déplacés en raison des catastrophes climatiques : cyclones, inondations ou encore incendies.
Bas les Musk. Des employé·es du département américain de l’«efficacité gouvernementale» – structure décrétée par Donald Trump et placée sous la coupe d’Elon Musk -, sont entré·es de force dans les locaux de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, ce mercredi. Leur objectif : mettre la pression sur les scientifiques.
Près de 250 millions d’enfants dans le monde ont vu l’impact des événements météorologiques extrêmes en 2024 sur leur vie scolaire. La canicule a été la principale cause, avec au moins 171 millions d’écoliers concernés.
Des vents de plus de 130 km/h toucheront dans la nuit de jeudi à vendredi l’Ecosse et l’Angleterre. Le littoral normand, breton et le Pas-de-Calais subiront aussi des rafales et des pluies.
Récemment, les autorités météorologiques ont annoncé qu’un phénomène météorologique inhabituel de type La Niña, qui devait commencer l’été dernier, est désormais en cours. Bien que ce phénomène, lié aux variations climatiques naturelles dans l’océan Pacifique, ait mis plus de temps que prévu à se manifester, il devrait rester plus faible et plus court que d’habitude. Ce retard dans le développement de La Niña suscite l’intérêt des chercheurs et des climatologues qui tentent de comprendre les facteurs sous-jacents de ce phénomène climatique complexe.
Selon plusieurs études, le changement climatique pourrait augmenter le risque de séismes dans le monde. En cause, la fonte des glaces, la montée des eaux et la multiplication des évènements météorologiques extrêmes, qui déstabiliseraient les plaques tectoniques.
Les événements météorologiques extrêmes sont plus fréquents et plus forts. Les vagues de chaleur qui se produisaient tous les cinquante ans frappent déjà tous les dix ans. Elles pourraient devenir quasiment permanentes dans de grandes parties du monde, et des records bien plus intenses se produiront alors.
Le changement climatique a déclenché des conditions météorologiques extrêmes et de chaleur record en 2024, a alerté lundi l’Organisation météorologique mondiale de l’ONU (OMM), le secrétaire général des Nations unies exhortant le monde à abandonner le « chemin vers la ruine ». L’année écoulée devrait être la plus chaude jamais enregistrée, a déclaré l’OMM. Dans le même temps, les émissions de gaz à effet de serre ont atteint de nouveaux records.
Le cyclone Chido a eu des conséquences dramatiques à cause d’une combinaison de facteurs : sa puissance, sa trajectoire et des infrastructures très fragiles.
En septembre 2024, alors que l’ouragan Helene frappait violemment la Floride, la station spatiale internationale (ISS) a révélé des phénomènes fascinants dans la mésosphère, une région peu étudiée de l’atmosphère terrestre. Ces observations inédites ouvrent une nouvelle fenêtre sur les interactions complexes entre les conditions météorologiques extrêmes et les couches supérieures de l’atmosphère.
Les autorités philippines ont ordonné samedi l’évacuation de plus de 250 000 personnes et le retour à quai des bateaux à l’approche du «super typhon» Man-yi, qui fond sur l’archipel depuis l’est.
Selon une étude publiée ce jeudi 31 octobre par le consortium de scientifiques World Weather Attribution, la hausse des températures planétaires a intensifié les dix phénomènes météorologiques les plus meurtriers des vingt dernières années.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Davide Faranda Directeur de recherche CNRS (permanent) en sciences du climat au laboratoire LSCE de l’Université Paris-Saclay. Son expertise principale est l’attribution des événements météorologiques extrêmes au changement climatique. Il aborde la Science de l'attribution qui permet de définir si des événements extrêmes sont liés ou non au changement climatique d'origine anthropique, comprendre les ouragans et ce à quoi il faut se préparer.
Dans un rapport consacré à «l’état des ressources en eau» publié ce lundi 7 octobre, l’instance onusienne s’alarme: en 2023 les rivières ont enregistré des niveaux de sècheresse inédits depuis trente ans.
L’écoulement des cours d’eau et l’apport dans les réservoirs ont été inférieurs à la normale dans de nombreuses régions du monde au cours des cinq dernières années. Selon le rapport sur l’état des ressources en eau dans le monde, cette baisse de régime se répercute sur la quantité d’eau disponible pour les populations, l’agriculture et les écosystèmes, aggravant la pression qui s’exerce sur les réserves de la planète.
Une étude révèle que près de 70 % de la population mondiale sera confrontée à des conditions météorologiques extrêmes au cours des deux prochaines décennies, si la tendance actuelle d’émissions de gaz à effet de serre se poursuit.
Très peu d'études ont jusqu'à présent exploré l'impact que les conditions météorologiques extrêmes auront sur différents pays.
Les records de températures, d’orages violents et d’inondations révèlent de nouveaux extrêmes rendus possibles par le changement climatique.
Un voilier de luxe a sombré au large de la Sicile, apparemment touché par une trombe marine. Le naufrage a fait 6 morts, et une personne est encore recherchée.
Après les pluies à répétition des derniers mois, les cultures céréalières ont souffert, et l’agriculture bio ne fait pas exception. Dans l’Yonne, les paysans racontent une productivité en chute et un avenir qui s’assombrit. Perreux (Yonne), reportage L’air est lourd, autant que l’humeur est morose.