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Alors que les députés wallons doivent approuver, ce mercredi, le budget 2025 de la Région, les associations environnementales Canopea, Natagora et WWF appellent à nouveau le gouvernement wallon à établir un plan de financement à l’horizon 2030 "qui devra se baser sur un inventaire clair des dépenses actuelles allouées à la biodiversité ainsi que sur une estimation du déficit à combler pour arriver aux objectifs et obligations internationales et européennes en matière de biodiversité d’ici à 2030".
Les consensus scientifiques sur les causes et conséquences du dérèglement climatique et la médiatisation des aléas qui y sont liés témoignent d’une prise de conscience de la menace pesant sur la stabilité de nos existences. La mise en œuvre de politiques environnementales depuis plusieurs décennies dans un contexte d’accélération d’effets délétères ne peut qu’acter l’échec de notre modèle consumériste à se réguler.
Les courants marins de l’océan Atlantique, qui façonnent une grande partie du climat mondial, changent de manière préoccupante. L’un des phénomènes les plus inquiétants est l’affaiblissement de la circulation méridionale de retournement de l’Atlantique (AMOC), un système de courants vitaux pour l’équilibre climatique de la Terre. En effet, ce processus, connu sous le nom de « grand convoyeur océanique », joue un rôle clé dans la régulation des températures et des conditions météorologiques à travers le monde. Selon des chercheurs, l’effondrement des courants de l’océan Atlantique pourrait être imminent, avec des conséquences catastrophiques au niveau mondial.
La Fondation Paix et Réconciliation a recensé 361 assassinats de défenseurs de l'environnement depuis 2018 en Colombie, dans son rapport présenté mercredi. L'ONG fustige le "haut degré d'impunité" des assassins, pour la plupart des dissidents de l'ex-guérilla des Farc et membres de l'ELN.
Laurent Testot est conférencier et journaliste indépendant, spécialisé en histoire globale et environnementale, contributeur régulier du magazine Sciences Humaines. Il exerce également comme formateur, notamment pour l’IHEST (Institut des hautes études pour la science et la technologie, ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche). Il dirige la collection de livres « Histoire globale » chez Nouveau Monde éditions.
L'étrange hypothèse qui structure ce livre est que la seule chose plus dangereuse que la guerre pour la nature et le climat, c'est la paix. Nous sommes en effet les héritiers d'une histoire intellectuelle et politique qui a constamment répété l'axiome selon lequel créer les conditions de la paix entre les hommes nécessitait d'exploiter la nature, d'échanger des ressources et de fournir à tous et toutes la prospérité suffisante.
Un premier groupe d’entreprises va publier son rapport sur la nature en janvier 2025. 416 organisations se sont désormais engagées à utiliser le cadre de reporting de la Taskforce on nature-related financial disclosures (TNFD). Ce cadre permet aussi d’alimenter les premiers rapports CSRD.
Pendant deux siècles, l'homme a cru pouvoir dominer la Nature. Aujourd'hui, nous savons que nous allons devoir vivre en fonction de ses propres lois. C'est une époque unique dans l'histoire de l'Humanité qui est en passe de se terminer d'ici… 25 ans. Nous ne pouvons plus tergiverser. Il faut agir.
À compter de ce 1er août, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut générer en une année. Ce « jour du dépassement » illustre l’immense pression que les humains infligent continuellement à la planète. Calculée tous les ans par l’ONG Global Footprint Network, la date de ce jour symbolique signifie qu’environ 1,75 Terre serait nécessaire pour couvrir le mode de vie actuel de l’humanité. En d’autres termes, lors des 5 prochains mois, les ressources naturelles consommées par l’activité humaine ne pourront être régénérées par la planète bleue, créant des tensions qui s’accumulent année après année. « Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, actuellement il est possible de consommer plus que ce que la nature régénère, dans la mesure où nous pouvons par exemple couper les arbres plus rapidement qu’ils ne repoussent, surexploiter les stocks existants de poissons, etc. De cette manière, comme en comptabilité financière, on peut dépenser plus que ce que l’on gagne », explique Mathis Wackern
Avec humour et bienveillance, le biologiste et naturaliste Marc-André Selosse déconstruit les préjugés qui nous ont empêchés de comprendre la nature (y compris humaine) et d’ajuster nos actions en conséquence. Il nous montre de plus près ce monde que nous pensions connaître, en contant les histoires des microbes, des plantes et des animaux qui nous entourent depuis fort longtemps. Intelligence des plantes, compétition naturelle, autonomie, équilibres naturels, séductions humaines et parades animales... Le lecteur ressort enthousiaste de ces explorations, parfois troublé dans ses convictions quotidiennes, et enfin relié à cette nature qu’il pensait éloignée de lui.
Saviez-vous que la 1ère loi de protection de la nature en France visait à protéger les paysages au caractère artistique ? Depuis cette loi de 1906, que reste-t-il de cette idée d'une nature-musée ?
Alors que les élections législatives doivent se tenir le 4 juillet au Royaume-Uni, de nombreuses organisations écologistes, dont Extinction Rebellion et WWF, ont organisé cette marche pour faire pression sur les représentants.
Le Conseil (États membres) de l'Union européenne a adopté définitivement, lundi à Luxembourg, le projet de règlement européen sur la restauration des écosystèmes dégradés. Ce vote a été soutenu par 20 États membres représentant 66,07% de la population de l'UE, soit une majorité qualifiée. Seuls six pays ont voté contre. La Belgique s'est abstenue. Le vote met fin à deux années de dure controverse politique au sein de l'Union européenne. Projet phare du Pacte vert européen dans son volet biodiversité, cette législation fixe aux États membres l'objectif de restaurer au moins 20% des écosystèmes dégradés (terres et des mers) de l'UE d'ici 2030 et l'ensemble des écosystèmes ayant besoin d'être restaurés d'ici 2050.
La loi controversée sur la restauration de la nature pourrait finalement être adoptée après un revirement inattendu de l’Autriche. Le vote du Conseil de l’Union européenne est prévu ce 17 juin. Adoptée par le Parlement européen à l’issue de débats houleux, la loi sur la restauration de la nature vise à enrayer la destruction des écosystèmes naturels. Cependant, ses détracteurs, comme les Pays-Bas, estiment qu’elle constitue une entrave pour les agriculteurs et les entreprises.
« L’écologie à la française » conçue par Emmanuel Macron n’a pas de quoi nous rendre fiers, démontre l’auteur de cette tribune. Elle ne respecte pas le droit de la nature face aux intérêts économiques.
Birdlife(a) et d’autres ONG environnementales européennes dressent le bilan de la dernière législature pour les groupes politiques européens, et tous les partis nationaux(b). Décryptage
Si la protection de l'environnement figure parmi les critères qui orientent le vote des Belges, c'est souvent le climat qui est au cœur du débat. Pourtant, les événements récents montrent que la nature est aussi éminemment politique. Le déclin de la biodiversité met en péril la viabilité des territoires et sa protection ne peut reposer exclusivement sur la création de réserves. Natagora plaide pour que chaque décision politique soit guidée par la nécessité impérieuse de préserver cette trame complexe et indispensable à notre existence. Découvrez les 7 priorités que nos équipes ont présentées aux présidents et présidentes de partis.
Voter pour la biodiversité, c’est possible! Découvrez comment dans ce numéro.
Des dizaines d'ONG de défense de l'environnement s'inquiètent d'un "démantèlement des mesures vertes" au sein de l'Union européenne et pressent les responsables politiques d'"arrêter avant qu'il ne soit trop tard", dans une lettre ouverte publiée lundi. "La nature n'est pas en conflit avec la capacité de notre société à prospérer, elle est à son fondement même. Mais certains politiciens dans les capitales européennes, et dans les institutions de l'UE à Bruxelles, accélèrent les crises de la nature et du climat, risquant les vies des personnes qu'ils représentent", met en garde la lettre publiée sur leurs sites internet respectifs.
L’analyse de 186 études d’évaluation de différentes mesures de conservation de part le monde prouve l’efficacité globale de ces dispositifs. Mais il faut en faire plus pour éradiquer la chute du vivant en cours.