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territoires
Le Réseau Action Climat alerte ce mardi 3 juin sur la grande vulnérabilité des territoires ultramarins français, précarisés, face à la hausse des températures et à leurs cortèges de phénomènes extrêmes.
Alors que la facture climatique s’alourdit, le climatologue Jean Jouzel et Bertrand Delignon, de la Macif, redoutent l’explosion des sécheresses en France ainsi que la submersion du littoral.
Vitali Klitschko, maire de la capitale ukrainienne, a estimé dans un entretien diffusé vendredi à la BBC que l'Ukraine pourrait être contrainte céder des territoires afin d'obtenir une "paix temporaire" avec la Russie. Un scénario que l'ancien champion de boxe juge toutefois "injuste".
Que préconisent les États-Unis pour parvenir à un accord de paix entre l'Ukraine et la Russie ? Les propositions de l'administration américaine n'ont pas été officiellement annoncées, mais plusieurs médias en ont publié de possibles contours.
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Dans les territoires occupés de l'est de l'Ukraine, les barrages russes rythment la vie des habitants. Chaque déplacement devient une épreuve, sous le regard des soldats postés à "chaque entrée et sortie de ville, de village, ou directement sur la route", selon Sofiia de l'ONG Helping to Leave, qui aide les Ukrainiens à fuir ces zones
Alors que les discussions se multiplient pour la résolution du conflit, la Russie a été claire sur le sujet des territoires ukrainiens qu'elle occupe.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président américain Donald Trump a affirmé mercredi soir que Moscou avait les "cartes en main" dans les négociations pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, entamant un peu plus l'espoir de Kiev de voir Washington défendre ses intérêts.
Le président ukrainien s’est dit prêt, mardi lors d’un entretien au « Guardian », à « un échange » de territoires avec le Kremlin, dans le cadre d’éventuelles négociations de paix sous l’égide des États-Unis.
Dans un entretien au «Guardian», le président ukrainien s’est dit ouvert ce mardi à des négociations avec Poutine, affirmant par ailleurs que «les garanties de sécurité sans l’Amérique ne sont pas de vraies garanties de sécurité».
Dans un premier temps, Arthur Keller propose une caractérisation systémique des principaux enjeux auxquels l'humanité doit faire face et des défis majeurs inédits qu'il nous faut relever. Il explicite la différence fondamentale qui existe entre approches multidimensionnelles et approche systémique, cette dernière permettant d'appréhender différemment les enjeux ainsi que l'espace des réponses pertinentes possibles. Il souligne les erreurs méthodologiques majeures qui sont commises dans la manière d’aborder ces enjeux. Dans un second temps, il s'attache à réfuter certaines options qui sont fréquemment présentées comme des « solutions » et à pointer les limites des outils existants pour reconcevoir les marges de manœuvre qu'il nous reste pour réagir. Dans un troisième temps enfin, il explique ce qu'il est (encore) possible d'entreprendre pour assurer la résilience des territoires, avec un zoom sur les enjeux de sécurité alimentaire, et proposera une approche globale, en fournissant aux participantes et
Volodymyr Zelensky avait jusqu'à présent exclu de céder des territoires en échange de la paix. Le chef d'État ukrainien s’est dit prêt, vendredi, à accepter des garanties de protection de l’Otan limitées dans un premier temps aux territoires contrôlés par Kiev.
Les consensus scientifiques sur les causes et conséquences du dérèglement climatique et la médiatisation des aléas qui y sont liés témoignent d’une prise de conscience de la menace pesant sur la stabilité de nos existences. La mise en œuvre de politiques environnementales depuis plusieurs décennies dans un contexte d’accélération d’effets délétères ne peut qu’acter l’échec de notre modèle consumériste à se réguler.
Le concept des zones protégées globales L’idée est de préserver des impacts chimiques humains des territoires pour obtenir des avantages dans plusieurs domaines à la fois : protection de la faune et de la flore, de la biodiversité, de l’eau souterraine et superficielle, de l’eau utilisée pour l’alimentation en eau potable, de la génétique (conserver des écosystèmes non perturbés par les produits chimiques fabriqués par l’homme)…
Aujourd’hui, nous allons parler des infrastructures dont nous avons hérité, comme les autoroutes, les stations de ski ou les usines à engrais. Des infrastructures toujours plus nombreuses et toujours plus polluantes, pour remplir des besoins toujours plus superflus, rendant nos territoires toujours plus inhabitables. Face à la crise socio-écologique, certaines infrastructures devront disparaître. Mais lesquelles choisir ? Et comment bien les démanteler ? En somme, comment apprendre à renoncer ? Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Alexandre Monnin. Alexandre est philosophe, directeur du master "Stratégie et Design pour l’Anthropocène", et directeur scientifique d’Origens Medialab. Ses recherches portent sur la redirection écologique, le démantèlement d'infrastructures, et le renoncement.
Dans une tribune au « Monde », la géographe Magali Reghezza-Zitt alerte quant aux risques majeurs que l’inaction climatique engendre : chaque dixième de degré supplémentaire augmente de façon exponentielle les extrêmes hydroclimatiques.
Le “réensauvagement” – permettre le retour de territoires à l’état sauvage – sera au cœur des débats de la COP16, qui commence à Cali, en Colombie, le 21 octobre. Objectif : enrayer la destruction de la biodiversité. Mais le réensauvagement constitue une solution incomplète, et controversée. Décryptage.
Face aux crises majeures inédites qui se profilent
L'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mercredi la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens dans les "12 mois" et appelé à des sanctions contre Israël, en colère contre cette résolution non contraignante, la qualifiant de "cynique".