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territoires
Dans les territoires occupés de l'est de l'Ukraine, les barrages russes rythment la vie des habitants. Chaque déplacement devient une épreuve, sous le regard des soldats postés à "chaque entrée et sortie de ville, de village, ou directement sur la route", selon Sofiia de l'ONG Helping to Leave, qui aide les Ukrainiens à fuir ces zones
Alors que les discussions se multiplient pour la résolution du conflit, la Russie a été claire sur le sujet des territoires ukrainiens qu'elle occupe.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président américain Donald Trump a affirmé mercredi soir que Moscou avait les "cartes en main" dans les négociations pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, entamant un peu plus l'espoir de Kiev de voir Washington défendre ses intérêts.
Le président ukrainien s’est dit prêt, mardi lors d’un entretien au « Guardian », à « un échange » de territoires avec le Kremlin, dans le cadre d’éventuelles négociations de paix sous l’égide des États-Unis.
Dans un entretien au «Guardian», le président ukrainien s’est dit ouvert ce mardi à des négociations avec Poutine, affirmant par ailleurs que «les garanties de sécurité sans l’Amérique ne sont pas de vraies garanties de sécurité».
Dans un premier temps, Arthur Keller propose une caractérisation systémique des principaux enjeux auxquels l'humanité doit faire face et des défis majeurs inédits qu'il nous faut relever. Il explicite la différence fondamentale qui existe entre approches multidimensionnelles et approche systémique, cette dernière permettant d'appréhender différemment les enjeux ainsi que l'espace des réponses pertinentes possibles. Il souligne les erreurs méthodologiques majeures qui sont commises dans la manière d’aborder ces enjeux. Dans un second temps, il s'attache à réfuter certaines options qui sont fréquemment présentées comme des « solutions » et à pointer les limites des outils existants pour reconcevoir les marges de manœuvre qu'il nous reste pour réagir. Dans un troisième temps enfin, il explique ce qu'il est (encore) possible d'entreprendre pour assurer la résilience des territoires, avec un zoom sur les enjeux de sécurité alimentaire, et proposera une approche globale, en fournissant aux participantes et
Volodymyr Zelensky avait jusqu'à présent exclu de céder des territoires en échange de la paix. Le chef d'État ukrainien s’est dit prêt, vendredi, à accepter des garanties de protection de l’Otan limitées dans un premier temps aux territoires contrôlés par Kiev.
Les consensus scientifiques sur les causes et conséquences du dérèglement climatique et la médiatisation des aléas qui y sont liés témoignent d’une prise de conscience de la menace pesant sur la stabilité de nos existences. La mise en œuvre de politiques environnementales depuis plusieurs décennies dans un contexte d’accélération d’effets délétères ne peut qu’acter l’échec de notre modèle consumériste à se réguler.
Le concept des zones protégées globales L’idée est de préserver des impacts chimiques humains des territoires pour obtenir des avantages dans plusieurs domaines à la fois : protection de la faune et de la flore, de la biodiversité, de l’eau souterraine et superficielle, de l’eau utilisée pour l’alimentation en eau potable, de la génétique (conserver des écosystèmes non perturbés par les produits chimiques fabriqués par l’homme)…
Aujourd’hui, nous allons parler des infrastructures dont nous avons hérité, comme les autoroutes, les stations de ski ou les usines à engrais. Des infrastructures toujours plus nombreuses et toujours plus polluantes, pour remplir des besoins toujours plus superflus, rendant nos territoires toujours plus inhabitables. Face à la crise socio-écologique, certaines infrastructures devront disparaître. Mais lesquelles choisir ? Et comment bien les démanteler ? En somme, comment apprendre à renoncer ? Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Alexandre Monnin. Alexandre est philosophe, directeur du master "Stratégie et Design pour l’Anthropocène", et directeur scientifique d’Origens Medialab. Ses recherches portent sur la redirection écologique, le démantèlement d'infrastructures, et le renoncement.
Dans une tribune au « Monde », la géographe Magali Reghezza-Zitt alerte quant aux risques majeurs que l’inaction climatique engendre : chaque dixième de degré supplémentaire augmente de façon exponentielle les extrêmes hydroclimatiques.
Le “réensauvagement” – permettre le retour de territoires à l’état sauvage – sera au cœur des débats de la COP16, qui commence à Cali, en Colombie, le 21 octobre. Objectif : enrayer la destruction de la biodiversité. Mais le réensauvagement constitue une solution incomplète, et controversée. Décryptage.
L'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mercredi la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens dans les "12 mois" et appelé à des sanctions contre Israël, en colère contre cette résolution non contraignante, la qualifiant de "cynique".
Cette résolution non contraignante, adoptée mercredi, a provoqué la colère d’Israël, la qualifiant de « cynique ».
Le nombre d'Ukrainiens prêts à céder des territoires à la Russie en échange de la paix a triplé récemment, ressort-il d'un nouveau sondage publié mercredi par l'Institut de sociologie de Kiev. Ce chiffre a régulièrement augmenté depuis le début de la guerre, mais n'avait jamais été aussi élevé qu'aujourd'hui.
L’avis rendu par l’organe judiciaire de l’ONU n’est pas contraignant, mais pourrait accroître la pression juridique croissante sur l’Etat hébreu concernant la guerre dans la bande de Gaza.
Mer d'Azov : l'extravagant plan russe de stations balnéaires dans les territoires ukrainiens occupés
(21/06) - France24,Les détails d’un vaste programme russe pour développer le tourisme et créer des stations balnéaires au bord de la mer d’Azov, y compris dans les territoires ukrainiens occupés, ont été publiés dans les médias russes. Si ce plan peut sembler extravagant pour un pays en guerre, il vise à rendre la présence russe irréversible dans cette région.
Nous publions les bonnes feuilles du dernier livre de Geneviève Azam, « Il était une fois l’A69 », dans lequel la chercheuse décortique les origines historiques du projet et appelle au « soulèvement des enclavé⋅es ». Cet article est une copublication avec la revue Terrestres dont Geneviève Azam est membre de la rédaction. Après la Seconde Guerre mondiale, au nom de la modernisation capitaliste, l’État a imposé un violent et destructeur remembrement des campagnes. Depuis une vingtaine d’années, c’est le (...)
Réuni en sommet à Manama, à Bahreïn, la Ligue arabe a appelé jeudi au déploiement de "forces internationales de protection et de maintien de la paix de l'ONU dans les territoires palestiniens occupés" par Israël jusqu'à la mise en place d'un État palestinien. Un appel qui coïncide avec l'annonce par Israël de son intention d'"intensifier" ses opérations au sol à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.