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Ces deux traités limitaient jusqu’ici certains risques de dommages collatéraux sur les civils, ces bombes et ces mines pouvant rester actives très longtemps sur le terrain après avoir été lancées ou installées. Mais la Lituanie a annoncé s’être désengagée du traité sur les armes à sous-munitions le 6 mars, suivie par la Pologne et les pays baltes, qui ont annoncé, le 18 mars, renoncer à bannir les armes antipersonnel.
La Pologne, les trois pays baltes et la Finlande, tous frontaliers de la Russie, "sont proches" d'un accord sur leur retrait du traité interdisant les mines antipersonnel, a indiqué jeudi la ministre lituanienne de la Défense.
Une vie après la mort. C’est en quelque sorte ce qui attend les avions mis au rebut par les compagnies aériennes. Certains, rachetés par des transporteurs de pays pauvres, voleront à nouveau. Mais beaucoup seront entièrement désossés et revendus sous forme de pièces détachées. Un recyclage indispensable au bon fonctionnement du transport aérien, explique “The Economist”.
Changement climatique, pressions démographiques, inquiétudes sur la qualité de l’eau du robinet… Face à ces défis, comment garantir l’approvisionnement en eau et préserver les ressources ? Parmi les solutions : la réutilisation des eaux usées traitées (Reut).
Une information judiciaire a été ouverte le 13 février par un juge du pôle santé du tribunal de Paris à propos du traitement, possiblement illicite, des eaux minérales du géant suisse, selon une information du «Monde» et de Radio France.
En l’espace de quelques semaines, un virus mystérieux surgi en Chine aura mis le monde à l’arrêt dans une pandémie meurtrière. Si la crise est derrière nous, certains de ses répercussions et enseignements demeurent.
Les 175 pays réunis à Busan, en Corée du Sud, ne sont pas parvenus à finaliser le texte dans les temps, ralentis par les pays pétroliers.
Les pays des Nations unies ont échoué à s'entendre sur un traité mondial sur le plastique à l'issue de la cinquième session de négociations. Les discussions vont être prolongées, avec des États pétroliers de plus en plus isolés.
L'Union européenne comme le Mercorsur ont beaucoup à perdre d'un accord qui pourrait être finalisé avant la fin de l'année. Un vote à la majorité qualifiée au Conseil de l'UE pour éviter le véto des États membres et des parlements nationaux constituerait un déni démocratique flagrant.
Plusieurs pays, dont la France, ont dénoncé « l’obstruction continue » dans les négociations d’un petit groupe d’Etats – surtout des producteurs de pétrole – qui estiment que le futur accord doit uniquement concerner la gestion des déchets et le recyclage du plastique, sans remonter jusqu’à sa production.
Réunis à Busan, en Corée du Sud, les représentants de plus de 170 pays ont échoué ce dimanche 1er décembre à parvenir à un accord. Le plastique est pourtant un fléau aux conséquences funestes pour la santé, l’environnement et le climat.
Les négociations menées pendant une semaine à Busan, en Corée du Sud, pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique, ont échoué à aboutir à un accord et continueront à une date ultérieure, a annoncé dimanche le diplomate qui préside le processus.
Les pays réunis en Corée du Sud se sont quittés dimanche sans trouver d’accord, en raison de l’obstruction d’un petit groupe d’Etats opposés à l’objectif de réduire la production. Les négociations doivent se poursuivre en 2025.
Au moins 220 représentants de l’industrie fossile et chimique participent aux négociations sur un traité mondial à Pusan. Ils s’opposent à toute réduction de la production de plastique.
Dernière ligne droite pour les négociations sur un traité contraignant visant à réduire la pollution plastique.
En Corée du Sud, 178 pays entament lundi le dernier cycle des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique, à Busan, en Corée du Sud. Les participants ont "63 heures de travail" pour s'entendre sur des telles que le plafonnement de la production de plastique, l'interdiction éventuelle de substances chimiques toxiques ou encore le financement des mesures qui seront prévues par le traité.
Le cinquième et dernier cycle des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique s’est ouvert lundi à Busan, en Corée du Sud, au lendemain de la fin chaotique à Bakou de la COP29 sur le climat dont les résultats ont déçu les pays en développement. "Cette conférence est bien plus que la rédaction d’un traité international. C’est l’humanité qui se mobilise face à une menace existentielle. Les décisions que nous prendrons dans les sept prochains jours façonneront l’histoire", a déclaré lundi le diplomate équatorien qui préside les débats, Luis Vayas Valdivieso.
Les Nations unies se réunissent jusqu'au 1ᵉʳ décembre à Busan, en Corée du Sud, pour tenter d'aboutir à un traité sur la pollution plastique. Henri Bourgeois-Costa, de la Fondation Tara Océan, plaide pour un texte ambitieux.
Les délégués de 175 pays sont attendus du 25 novembre au 1ᵉʳ décembre à Pusan, en Corée du Sud, pour finaliser un traité mondial visant à mettre fin à la pollution plastique. Les positions très éloignées des négociateurs laissent planer le spectre d’un échec.
Des données chiffrées sur le traitement médiatique des enjeux environnementaux dans les programmes d’information